| | octave › la vie n'est pas une chanson, un jour tu apprendras ça à ton grand désespoir. | |
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| Sujet: octave › la vie n'est pas une chanson, un jour tu apprendras ça à ton grand désespoir. Mar 2 Aoû 2016 - 13:50 | |
| Octave d'Ibélène ft. maximilien irons « I rose too high, loved too hard, dared too much. » |
Âge : Octave est âgé de vingt-quatre ans. Date et lieu de naissance : Au berceau de l'Empire, à Ibelin, le 14 février 977. Statut/profession : Prince héritier de l'Empire — n'est-ce pas amplement suffisant? Allégeance : À l'Empire. À l'Empereur, surtout. Groupes : Ibélène, parmi la Noblesse. Anecdote : L'Empereur a abandonné pour lui tout espoir le jour où il s'est particulièrement énervé et a décidé de l'entraîner lui-même au maniement de l'épée, et qu'il a compris que l'incompétence de son fils au combat venait du fait qu'il protégeait bravement ses doigts, au mépris même du reste de son corps, de peur de les casser ou abîmer et de ne plus jamais pouvoir jouer de la musique...
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Dans la vie, je suis...
Une chose délicate et fragile, murmure-t-on d'Octave le fils aîné de l'Empereur et son héritier. Il n'y a pas grand chose à dire d'un prince qu'on a laissé trop libre en lui faisant croire que peut-être, éventuellement, l'Empereur était un être immortel qui ne mourrait jamais: Octave a toujours vu l'Empereur comme un être... inhumain. Pas surhumain: inhumain. Et c'est toujours avec une grande fascination qu'il a regardé cet homme, ce dieu, cet Empereur, en se disant que jamais il ne mourrait. Ça le rassurait beaucoup de penser ça, quand il était petit. Regardez-le, l'Empereur...! Si fort, si grand, si puissant. Jamais il ne mourrait. Alors Octave n'a jamais prévu d'hériter, a toujours pensé à l'Empire comme à quelque chose de lointain. Qui n'appartenait pas le moins du monde à son univers.
Il s'est intéressé à d'autres choses que la politique, le combat et les autres. Les jeux de réflexion, les puzzles, les instruments de musique, les poèmes. Sa mère l'a trop couvé, dit-on aussi, l'a trop aimé et transformé en un garçon sensible. Trop sensible; personne n'a oublié la fois où il s'est mis à pleurer lors la seule chasse impériale où l'Empereur l'a emmené, au moment de la curée... parce que le sang lui fait peur, en grande quantité, et il pâlit énormément à la moindre effusion. Une chose sensible alors, et vaine. Octave aime bien bien s'habiller, porter les plus beaux atours parce que malgré lui, Octave aime bien séduire. Que ce soit avec sa voix ou avec un bon mot, il se prétend de pouvoir dérider même le plus sévère des instructeurs — en revanche, de là à faire se fendre une risette sur la lippe de l'Empereur... Toujours imperméable à ses charmes, distant et tellement différent, les rejets constants de l'Empereur ont donné à Octave le besoin malheureux de se gorger de l'attention et l'affection d'autrui, le prince allant jusqu'à se plier en quatre pour satisfaire quelqu'un et le voir sourire à son égard.
Mais malgré tout, on ne peut nier qu'il y a quelques qualités, le prince héritier. Même si timide, il a toujours une chose douce et gentille à dire, un désir évident d'éviter les conflits; même si sensible et rêveur, Octave aime se montrer droit et juste, un peu comme l'Empereur à sa manière; et même si il est fragile, n'aime pas la vue du sang, ne supporte pas l'idée de la violence et est incapable de tenir une épée sans se faire du mal, Octave aime penser qu'il aura le courage (chose que l'on prétend qui n'existe pas dans le coeur de l'héritier) de prendre sa place quand il le faudra. Mais l'Empereur reste et demeurera une figure éternelle et immortelle, lointaine et distante comme un dieu. Alors en attendant, parce qu'il sait qu'il n'a rien d'autre à faire, Octave profite de la seule manière qu'il connait: la musique.
Et voilà comment j'en suis arrivé là. Ils disent qu'ils rêvent de châteaux, de princesses et de fortunes; mais ils ne savent pas ce qu'ils veulent. Tout le monde croit qu'il veut naître prince; personne ne sait ce que ça signifie. Le souvenir le plus marquant qu'Octave possède de son père est le jour où il lui a offert sa première épée — sa première vraie épée. Il avait treize ans, il était quasiment un homme fait, Rugissante, l'épée, était une merveille d'orfèvrerie et de forgerie, un bijou autant qu'une arme. Il se souvient que son père l'a enjoint à l'utiliser jusqu'à ce que ses membres le lâchent, jusqu'à ce que ses talons saignent sur le sable de la cour d'entraînement du palais, jusqu'à ce que les larmes souillent ses joues. Mais malgré tous les efforts de son père, Octave n'a jamais fait un bon épéiste. N'a jamais fait un bon prince. Il se souvient plus particulièrement de sa mère, il a plus de souvenirs d'elle. Quand il était petit, elle le prenait sur ses genoux avec douceur et répondait à ses questions et ses peurs et jamais elle ne le forçait à quoique ce soit. Il se souvient de la fois où elle lui a offert son premier luth. Il avait quinze ans, c'était le jour de son anniversaire après la fête, il était un homme fait et Ensorcelante, le luth, était la plus belle chose qu'il ait jamais vu. Sa mère lui a appris à s'en servir, lui a donné les meilleurs professeurs et les meilleurs conseils. L'amour d'Octave pour la musique a été instantané; si il avait été un garçon délicat, timide et médiocre, toujours en retrait et toujours désireux de se faire oublier, après ça, il a connu des périodes de passion et de révolution, bien concentré sur son art et bien décidé à le faire accepter de son père. La chose s'est calmée avec le temps et quasiment dix ans plus tard, Octave, même si il adore toujours la musique, en fait un plaisir privé. Au palais, du moins... Le dernier cadeau en date de sa soeur était un jeu d'échecs, en ébène et en ivoire, la plus belle chose qu'il ait jamais vu. Ils ne sont pas parvenus à finir la partie avant que Sixtine renverse le plateau et s'en aille en tempêtant de la chambre, hurlant à l'imbécilité et l'inutilité de son frère et futur Empereur. En ramassant les pièces, Octave a trouvé la reine fêlé, le roi cassé. Il a ordonné qu'on les détruise entièrement, toutes ces pièces, tout ce plateau. Il ne supporte pas l'idée d'être un pion sur une surface plane. Et puis enfin, le souvenir le plus marquant de sa vie. Octave se souvient de la première fois qu'il s'est produit en auberge avec son luth, à Ibelin. Il se souvient de la nervosité, de l'impatience, de l'adrénaline, de la peur d'être reconnu aussi. Il se souvient du silence quand il s'est mis à chanter, il se souvient de ses doigts un peu nerveux qui loupèrent quelques notes mais se rattrapèrent joliment, il se souvient des regards surpris et séduits, il se souvient des grands rires et vivats quand il eut fini. Il se souvient avoir chanté pour la gloire de l'Empereur et son père. Il se souvient avoir eu l'impression de chanter à propos d'inconnus. Octave aimerait être différent, vraiment. Mais il ne peut pas et il n'y arrive pas: il a trop peur de se briser les doigts sur une épée, de se briser le coeur dans un regard de son père, de perdre une soeur en parlant à Sixtine, de décevoir une mère en lui ouvrant son coeur comme quand il était enfant. Si il avait main mise sur son futur, Octave en ferait un conte: le prince fuyant le palais, la nuit, son luth et une cape de voyage sur le dos, rien de plus, et puis les routes, les champs, la nature et l'horizon, juste l'horizon. Mais voilà. On ne choisit pas son avenir, quand on naît prince, ni ses responsabilités. Écrasé par l'histoire d'une famille dont il méprise le bellicisme autant qu'il le redoute, destiné à hériter d'un trône que personne ne veut réellement lui donner, passionné par quelque chose qui n'a rien de princier, Octave essaye de faire de son mieux. Mais comme bien souvent, ça n'a pas l'air suffisant dans les yeux de l'Empereur. Pourtant, celui-ci y a mis du temps et de l'argent, si ce n'est du coeur, à façonner un héritier parfait. Les précepteurs se sont succédés, tous intéressants, tous impuissants. Ce n'est pas tant que l'Empereur a hérité d'un fils stupide, qui n'aime pas à apprendre et s'intéresse à autre chose: il a hérité d'un fils timide et un prince ne peut jamais être timide. Un prince qui ne participera pas aux débats à moins d'être forcé, un prince qui ne répondra aux questions qu'une fois persuadé qu'elles sont envoyés dans sa direction, un prince qui ne sait rien imposer, ni ordre ni demande ni question. Et que fait-on d'un prince timide? On essaie de le briser. De le faire sortir de sa carapace, de lui briser les doigts, de casser Ensorcelante et de lui mettre Rugissante à la place dans la main. Mais à quoi bon? Le prince timide n'a jamais su retenir les leçons pratiques et si les mots restent à jamais gravés quelque part dans sa tête, ils perdent du sens dès qu'il doit les appliquer. Il a grandi dans ce palais trop vaste, entouré de gens trop distants et épaulé par une famille désordonnée et un peu dysfonctionnelle, avec un père exigeant, une mère envahissante et une soeur jalouse. Il a grandi en voulant courir dehors et en voulant jouer du luth pour tout le monde, alors on l'a enfermé dans des pièces vides et on l'a forcé à s'échapper du palais en toute illégalité la nuit. Il a grandi en voulant vivre une aventure, une vraie aventure avec un moment de doute, des fidèles compagnons, un climax incroyable et un ennemi éternel alors on l'a incité à ne jamais trop s'éloigner de ses gardes, à ne jamais prendre de risque aussi. Après tout, on ne voudrait pas perdre le prince d'Ibélène, n'est-ce pas? Des fois, Octave se dit que sans lui, l'Empire se porterait mieux. Il a une si forte et si belle histoire, cet Empire. Ses aïeux, tous des géniaux martiaux, tous des grands dirigeants: il suffit de voir son père, par exemple, qu'Octave a toujours considéré avec beaucoup de respect et d'admiration, de fierté aussi. Mais il ne s'est jamais senti de taille, malgré les multiples préparations, multiples précepteurs, multiples années: à croire qu'il n'est définitivement pas fait pour être prince et qu'il ne trouvera que son destin dans la musique... sauf qu'il est bien trop lâche pour se lancer. Et ça, c'est peut-être l'histoire de sa vie, tout simplement. Dans ma tête, ça se bouscule L'impératrice Chimène a été couronnée suite à l'Ordalie de Diamant. Penses-tu qu'elle est légitime sur le trône de Faërie, ou défendrais-tu plutôt les droits de Gustave de la Rive ? Octave, quand il était plus jeune, était entouré par une horde de conseillers politiques qui ont essayé de lui inculquer leurs manières et qui ont plus ou moins réussi: si il n'a jamais fait un prince de combat, il a toujours bien aimé la diplomatie et la réflexion. La situation actuelle entre Faërie et Ibélène a toujours requis tant de ces deux qualités et Octave n'a jamais voulu se prononcer avant que sa mère fasse étalage de son envie de reprendre le trône de Faërie. Alors face à cette question, Octave ne peut répondre que d'une chose: il ne défend que les droits de sa mère, qui fait grand fracas de son désir de s'emparer du trône de Faërie. Quel meilleur moyen que de faire de Catarine l'Impératrice de ce pays voisin d'Ibélène pour en unifier le continent? Et la passion de sa mère pour la chose est tout à fait... bruyante, et Octave a toujours aimé exaucer sa mère. Donc son soutien va à l'Impératrice d'Ibélène avant tout, parce qu'elle lui a parfaitement expliqué qu'en plus d'y avoir droit, c'en était un devoir que de la mettre sur le trône de Faërie: tout pour préserver famille et héritage de ce pays voisin à Ibélène.
Envisages-tu de prendre part au conflit si une guerre entre Ibélène et Faërie devait se déclarer ? Quel parti prendrais-tu, et pourquoi ? Comment participerais-tu à la lutte ? Aura-t-il le choix? Non. Comment souvent. Son père l'enverra où il pensera que c'est judicieux, et Octave se voit plus en missions politiques et diplomatiques que sur le champ de bataille; même si il a fermé les yeux la plupart de sa vie sur ses compétences, même Augustus sait qu'il serait incapable de se battre parmi une armée ou un petit bataillon. Même si il n'aime pas en être le prince, Octave aime Ibélène et croit en son pays, en son Empire: il fera tout, tout pour éviter de trop grosses pertes et pour épargner au peuple de s'enliser dans une guerre sans fin. Il fera tout — sauf prendre le trône.
Que penses-tu de Lorgol, la ville aux Mille Tours ? Est-ce que tu t'y promènes sereinement ou est-ce que la capitale des peuples libres t'oppresse ? Octave aime cette ville. Après tout, c'est la ville de toutes les libertés et il ne rêve que de ça. Il y est allé en voyage à plusieurs reprises, pour des broutilles ou des prétextes, et il logeait et restait à la Ville Haute en lorgnant d'un air intéressé la Ville Basse; mais comme tout bon noble à la carrure fragile, il n'y a jamais déposé le moindre orteil, se cachant derrière ses gardes et sa lâcheté handicapante et en laissant son imagination fertile se faire des images des quartiers les plus sordides de Lorgol. Et peut-être que, effectivement, il y chez Octave une appréciation de la ville aux Mille Tours parce qu'il sait précisément combien son père déteste l'endroit. Toutefois, les occasions pour le prince de s'y rendre se font de plus en plus rares: à croire qu'il fait parfois autre chose que quêter la liberté en voyageant. Oui, définitivement, Octave apprécie cette ville, qui a pour elle tout ce dont il rêve: libertés et infinies possibilités. L'herbe verte d'EreborDerrière l'écran Dans la vie, je m'appelle hawkguy et j'ai bientôt 19 ans. J'ai découvert le forum via une future membre (paradoxe paradoxe) et voici ce que j'en pense : il est très bien ficelé et très beau. Max Irons • Icône
Dernière édition par Octave d'Ibélène le Jeu 25 Aoû 2016 - 23:10, édité 8 fois |
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| Je vais m’occuper de toi, Octave Alors je voulais te dire, en premier, que tu avais une plume très plaisante à lire ! J’ai hâte de te voir en RP réellement ! Quelques petits points sont à revoir, toutefois :) Par rapport à Octave, d’abord : j’aimerai que tu développes un peu plus ton histoire, te l’approprie davantage :cœur: Je reste sur ma faim, alors que les quelques anecdotes que tu as évoquées me semblent plutôt prometteuses ! Je ne te demande pas un roman, mais d’étoffer un peu plus son histoire. :) Développer, peut-être, ses devoirs en tant que Prince, l’enseignement des précepteurs, sa présence à des évènements officiels… Les réponses à tes questions – la seconde est impeccable. Concernant la première, je voudrais clarifier un petit point, pour être sûre que l’on se comprenne bien : Catarine n’est pas un rapace, et vu la politique de paix entre les deux empires d’Augustus, ses conseillers ont du tenter d’apprendre à Octave à se montrer sûr de son bon droit, mais pas un rapace. Ils ne lorgnaient pas sur Faërie – ce n’est que depuis l’arrivée de Chimène en Impératrice que, Catarine ne la pensant pas à la hauteur de ce que leur sœur avait entrepris, veut récupérer le trône pour préserver son héritage. Ils ne zyeutaient pas dessus avant cela. Et du coup, le soutien simultané à sa mère et à sa tante ouvertement n’est pas forcément adéquat. Par rapport à Lorgol – Octave peut se sentir à son aise dans la Ville Haute. Dans la Ville Basse, sans l’appui de quelqu’un de la Cour des Miracles, il ne sera pas protégé comme ça, et au moindre risque, sa garde l’en sortirait séance tenante. Il peut se faire passer incognito dans la Ville Haute, mais il est peu probable qu’il soit le bienvenue dans les bas-fonds de Lorgol. Il se ferait détrousser et assassiner immédiatement - surtout sachant qu'il s'agit d'un noble chétif. Qui plus est, son garde ne prendrait pas le risque d’être son ami – son père le ferait probablement affecter ailleurs, voire peut-être tuer selon la situation. Son fils n’a pas besoin d’amis, mais de protection. Je pense que cela passerait pour une faiblesse. Si c’est un réel ami, qui l’accompagne en plus de sa garde, c’est autre chose, mais je n’étais pas certaine. :) Voilà voilà, je préfère clarifier les choses, et qu’on retravaille ça ensemble si besoin ! C’est pas grand chose, tu as majoritairement bien cerné Octave, ça devrait aller vite ! |
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