| | Seule la loyauté différencie le fidèle de l'imposteur. | |
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| Sujet: Seule la loyauté différencie le fidèle de l'imposteur. Mar 27 Mar 2018 - 22:00 | |
| ODAYA OCHAVEN. présente Diane de la Fère ft Cate Blanchett " Tout vient à point, à qui sait attendre " Diane est une femme que l'on remarque. Charismatique, elle charme les cœurs et les esprits, inspirant respect et confiance. De part son âge, mais aussi de part son expérience. Bien qu'il ne faille pas se voiler la face, l'aura magnétique qui se dégage d'elle est là depuis des années, bien avant qu'elle n'obtienne l'expérience qu'elle a désormais. Elle sait d'ailleurs user de son aura pour obtenir ce qu'elle veut, la manipulation ne l'effrayant pas le moins du monde. Au contraire même, manipulatrice, elle sait user des mots pour obtenir ce qu'elle veut, se souciant peu des maux de son interlocuteur tant qu'elle a ce qu'elle désire. Pour autant, elle n'est pas capricieuse. Sa vie, auprès de ses parents, comme à la caserne lui a appris à se satisfaire du nécessaire. Du minimum. Pas plus superficielle que ça, elle prend soin d'elle - comme toute cibellane qui se respecte, mais la praticité et le confort l'emporteront toujours. Après tout, chevaucher un dragon se fait difficile avec une robe et de la poudre sur le visage. Son audace, ne lui a jamais fait défaut. Certes, parfois, elle l'a mené dans des situations délicates, inconfortables, mais elle n'en démord pas pour autant. Elle a grandi et a évolué avec ce trait de caractère, n'hésitant pas à faire ce que d'autres n'auraient pas osé, tout en calculant chaque option possible au préalable. Loyale, elle ne jure pas sa fidélité à la légère. Intrinsèquement loyale à ceux qu'elle le désire, elle est strictement incapable de se retourner de ceux à qui elle a juré allégeance. D'où sans doute sa position et l'autorité qui se dégage d'elle. Forte tête, elle est entêtée, incapable de lâcher prise une fois qu'elle a une idée derrière la tête, incapable de laisser tomber un plan en cours de route. Oh, et évidemment, ne tentez point de la raisonner, vous y perdriez une partie anatomique ou la raison. Désinvolte, son attitude peut apparaître parfois très légère, légèrement en deçà des attentes de son poste. Il n'en est rien pour autant, sachant toujours parfaitement ce qu'elle fait et ce qu'elle pense. Tolérante, voire extrêmement tolérante, elle est loin d'être étroite d'esprit, bien qu'elle ait toujours du mal avec les extrémistes. Quels qu'ils soient. Râleuse, elle n'est jamais complètement satisfaite, sans doute du fait de son perfectionnisme. Incapable de remettre à demain quelque chose qu'elle peut faire tout de suite, elle ne s'arrête qu'une fois son objectif obtenu. Qu'importe l'heure, le temps, ou la personne en face d'elle. Curieuse, elle aime apprendre et en savoir toujours plus, ses années passées à l'Académie lui ont donné le goût de la culture et de l'apprentissage. Encore aujourd'hui, elle aime se plonger dans un livre et apprendre toute sorte de choses. Tout le temps. Patiente, elle sait faire preuve de courtoisie même alors que la tempête ravage son esprit, même si tout son corps en dira le contraire. Il suffira d'une parole, d'un geste, pour que son corps prenne le relai et qu'elle agisse. Sans pour autant se départir d'un petit air mesquin et de paroles compatissantes des plus polies. Enfin, jusqu'à son seuil de tolérance, évidemment. Profondément libre, elle savoure sa liberté grâce à sa dragonne et refusera d'être liée à autre chose qu'à la magnifique créature qui partage sa vie, au côté de son familier. Caractérielle, n'allez pas croire que les années ont adouci son tempérament, au contraire, l'âge lui donne des libertés qu'elle n'avait pas dans sa jeunesse. Ainsi donc, aux côtés de son amie ailée, il n'est pas rare qu'elle abuse de ce privilège pour remettre à sa place les avortons se croyant supérieurs. Ou pire, ceux pensant avoir tout appris et tout vu, à peine sortis des jupons de leur mère. |
️ Poison Ivy |
Ses yeux d'ambre se posèrent sur la jeune femme. La créature était énorme, gigantesque, magnifique et pourtant, Diane n'eut pas peur un seul instant. Ni même quand sa voit retentit dans sa tête, pour l'informer qu'elle n'en faisait qu'à sa tête. Bourrasque, s'appelait-elle et désormais, elle était sienne. Diane lui répondit - dans le creux de son esprit - qu'elle n'appartenait à personne et certainement pas à une créature couverte d'écailles.
️ blakehelps | Âge : 48 années se sont déjà écoulées. Date et lieu de naissance : 13 avril 955, à Lune d'Argent, en Cibella. C'était une douce journée qui permit à la famille composée déjà de deux filles, de voir la naissance d'une troisième. En parfaite santé. Statut/profession : Maréchale de Flamme, Chevaucheuse de la dragonne Bourrasque et mage de l'Automne (illusion). Allégeance : A Gustave de Faërie et à Gaëtane, duchesse de Cibella. Dieux tutélaires : Aura Groupe principal : Les gardiens de la tradition Groupes secondaires : Chevaucheurs - Mages
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13 avril 955◊ la naissance d'une forte personnalité. Née d'un père mage de l'Été, spécialisé en destruction, appartenant à l'armée de Cibella et d'une mère soigneuse de dragons auprès de la division des Chevaucheurs d'Alfaë, le nourrisson qu'elle était vit le jour sans difficulté. La grossesse, paisible moment de neuf mois, durant laquelle l'enfant ne donna pas plus de coups que ses aînées, signa le début d'une enfance paisible. Rythmée par la Cité Impériale.
20 mars 960 L'enfant, tout juste âgée de 5 années, court autour de sa mère, pressée de rejoindre les dragons. Cette dernière, comme tous les jours, s'occupe des créatures ailées des Chevaucheurs d'Alfaë. Voilà désormais des années qu'elle prend soin de chaque créature passant sous ses mains, s'assurant de leur santé, de leur bien-être, sans jamais risquer de les blesser. Il va sans dire que le caractère - parfois fougueux - de Diane lu était souvent efficace. Après tout, elle était l'une des rares soigneuses à tenir tête à des créatures capables de l'écraser d'une griffe, ou de la brûler vive. De quoi attiser n'importe quel respect.
10 janviers 962 ◊ les dragons sont des chiens volants. Elle court la gamine, vite. Trop vite. Carambole, le pied en chevauche un autre et l'enfant de sept ans s'étale de tout son long sur le premier dragon croisant sa route. Tétanisée, un court instant, par la vision du dessous d'une créature ailée, elle l'est encore plus alors que les narines de l'énorme bestiole viennent la renifler. Avant de s'éloigner d'elle. C'est ce soir-là, que sur le chemin de la demeure familiale, elle confia à se mère que les dragons n'avaient rien de bien inquiétant. Au final, ce n'était que des gros chiens capables de cracher du feu non ? Oui, certes, ils volaient, mais pourquoi tout le monde en faisait un plat ?
20 avril 968 ◊ premiers éclats de magie. Dernière-née d'une famille de trois enfants, Diane n'avait pas les espoirs d'une vie remplie de grandes aventures ou d'énormément de responsabilité. Déjà très jeune, elle avait compris la chance d'être la dernière, l'avantage de ne pas être l'aînée et les perspectives d'avenir que lui laissaient sa naissance. Pour autant, elle n'en profitait guère, ne cherchant aucun favoritisme de la part de ses parents. Au contraire, elle travaillait pour elle-même, afin de pouvoir faire quelque chose de ses dix doigts. D'ailleurs, dès cette époque, elle envisageait sérieusement - comme sa mère - de se diriger vers les soins des Dragons. Un métier passionnant, qui ne cessait de satisfaire sa curiosité - déjà grandissante - et qui lui permettait d'avoir un quotidien hors du commun. Voir son père en tant que mage lui donnait également envie, mais le côté lié à la guerre la rebutait quelque peu. D'autant plus quand elle comprenait, au fil des années, le rôle qu'il pouvait avoir sur le terrain, rôle bien plus grand que les préoccupations d'une enfant de treize ans, qui craignait de trop en comprendre. Quelle ne fut pas sa surprise quand, quelques jours après sa treizième année, la magie se déclara en elle. Un chagrin de coeur fut suffisant pour déclencher une légère tornade. Suffisant également pour que ses parents lui apprennent que, comme ses deux aînées avant elle, la magie coulait dans ses veines. Sa première réaction ? L'inquiétude. A quoi était-elle destinée ? Puis, rapidement, ses peurs retombèrent. La magie était partout en Cibella, partout dans sa vie, dans son quotidien. Dans ce qu'elle aimait le plus au monde, pourquoi devait-elle avoir peur de cette nouvelle partie de sa vie, de sa personnalité ? Sans difficulté, elle se décida à aller à l'Académie et sollicita son entrée à celle-ci. Finalement, elle aurait une vie trépidante, d'aventures et remplie de nouveaux savoirs. Elle en était ravie.
Juin 973 ◊ fin des études. Cinq années passées à l'Académie venaient de s'écouler. Cinq années riches en connaissances, en apprentissage, cinq années qu'elle avait parfaitement appréciées. Des années d'études, parfois difficiles, parfois éprouvantes, mais qui lui avaient donné une destinée. C'était plaisant de découvrir une autre facette de soi, d'apprendre à l'apprivoiser, à la connaître puis, à dépasser les limites que l'on se fixe. La magie. Oui, elle la connaissait depuis toute petite. Comme elle connaissait les dragons depuis son enfance. Mais c'était une chose de la connaître, une autre de la maîtriser, de la sentir et d'en faire quelque chose. Désormais Mage de l'Automne, spécialisée en Illusion, elle était ravie. Heureuse. Plus que tout, elle craignait de toucher à la magie plus sombre, même à celle qui pouvait conduire à la Guerre. Ce n'était pas ce qu'elle voulait faire - sans pour autant dénigrer le rôle de son père. Pour sa part, elle se contentait de tromper la vision de ceux qu'elle voulait. Pas longtemps. Pas de manière très forte, mais suffisante pour leur faire croire, l'espace d'un instant, à quelque chose d'autre.
Fin Juin 973 ◊ liaison à Bourrasque Diane a toujours été libre. Toujours. Libre de penser, libre d'agir, libre de dire ce qu'elle voulait. Certes, le politiquement correct n'a jamais été une qualité, mais qu'importe ? En tant que femme cibellane, elle pouvait se permettre de remettre les hommes à leur place. Il est vrai que le voyage à Lorgol, avec les moeurs et les coutumes distinctes des siennes a été... Disons, mouvementé. Pour elle certes, mais surtout aux importuns qui ont croisé son chemin. Ainsi donc, il était évident qu'elle ferait ce qu'elle souhaiterait. De sa vie. Devenue mage, il restait une chose qu'elle voulait accomplir. Ou du moins, essayé. Ayant toujours grandi entourée des dragons, ayant toujours souhaité monter sur leur dos et connaître la beauté du ciel, elle savait que si l'occasion se présenterait, elle irait se présenter aux Dragons. Ce qu'elle fit. Sans la moindre hésitation.
Arrivée devant eux, beaucoup ne se sont pas intéressées à elle. Une seule l'a fait, Bourrasque. Son regard a transpercé l'âme de Diane, comme si, d'un battement de sa grande paupière, elle pouvait tout voir, tout comprendre. La première chose qui résonna dans son esprit fut le rire de la dragonne. Puis ce fut sa déclaration. A l'entendre, elle était désormais sienne. Le rire de Diane a retentit autour d'elle. Elle n'appartiendrait à personne. Jamais. Leur amitié, leur lien, leur fidélité l'une à l'autre est ainsi née. Deux caractères forts, une loyauté farouche, une volonté de fer et une liberté qui ne peut être enchaînée, elles étaient faites pour s'entendre.
Eté 983 C'était un entraînement comme les autres. Rien de différent. Rien de compliqué. Bourrasque et elle ne faisaient que répéter, travailler, s'entraîner. Sur terre, dans les airs. Inlassablement. Ni l'une ni l'autre ne passaient les erreurs de l'autre. N'arrêtant jamais d'en exiger plus, de vouloir être meilleure. Aux côtés des autres chevaucheurs, la jeune Diane réalisait son travail, encore et toujours. A la fin de la journée, alors qu'elle quittait ses quartiers à pied pour une balade dans Lorgol, un chat, un simple chat, s'imposa à elle. Devant elle, ses pensées s'infiltrèrent dans les siennes et en quelques secondes, la jeune femme compris. Elle avait dès lors un familier. Méphisto. Etrangement, elle ne s'attendait pas à en posséder un. Ni même à ce que sa relation soit si différente que celle avec Bourrasque. Et pourtant si complémentaire.
29 ans, année 984 ◊ mariage à Alphonse de la Fère Jusqu'alors inintéressée par le mariage, bien plus volontaire dans son métier et sa condition de Chevaucheuse, âgée de 29 ans, Diane était encore célibataire. Ses parents, lui rappelant alors que ses deux aînées avaient fondées leur foyer et leur famille, lui intimèrent de ranger ses cuirs et de se marier. Bonne enfant, elle se plia à cette pression qui ne cessait de s'intensifier. Alphonse, alors âgé de soixante-et-un ans fut ravi de se marier avec elle. Doux, délicat, cordial avec elle, il fit preuve d'une droiture et d'une gentilesse qu'elle apprécia. Des années durant.
20 décembre 987 ◊ décès d'Alphonse de la Fère Trois années. Son mariage dura trois belles années. Certes, leur union resta stérile et ne permit pas à Diane de fonder une famille. Mais ce fut une vie de couple douce, joyeuse, rythmée par des petits bonheurs simples et délicats qui fondèrent une amitié sincère, basée sur la confiance et le respect mutuel. Elle ne tomba pas amoureuse d'Alphonse, mais le respecta et le chérit comme il le méritait. Quand il s'éteignit, paisiblement, dans son sommeil, elle céda à la tristesse de le voir partir, bien qu'elle savait aussi que, désormais, sa vie lui appartenait pleinement. Jamais plus, elle n'aurait à se marier à nouveau.
Quelques mois plus tard, alors que tous acceptaient son deuil et la vie qu'elle menait, Diane confia le domaine à une intendante de confiance. Refusant de passer sa vie dans un domaine qui l'enfermait et la contraignait à un rôle qu'elle refusait. Elle retrouva Bourrasque et ses cuirs, retrouva les Chevaucheurs et sa liberté avec grand plaisir.
Année 988 ◊ capitaine du vol de Cibella Trente-neuf années s'étaient écoulées. Des années rythmées, plaisantes, délicieuses. Des années qui lui avaient données de bons et de mauvais souvenirs, mais qui avaient forgés son caractère sans aucune difficulté. Désormais plus sûre d'elle qu'elle ne l'avait été, Diane avait rapidement retrouvé sa place au sein du Vol de Cibella. Si bien qu'elle en devint la capitaine, dirigeant d'une main ferme, mais juste, des centaines d'hommes et de femmes.
Année 992 ◊ arrivée de Tristan au sein de l'escadron de Lagrance Mage du Sang. Voilà donc une spécialité magique qu'elle n'aimait pas croisé. Pas qu'elle les craignait - même si Bourrasque maintiendrait sûrement que si - plutôt qu'elle ne comprenait pas. Que ce soit les tenants de la magie qu'ils maîtrisaient, ou le caractère mystique qui entourait cette profession. Bien sûr, elle reconnaissait leur nécessité et leur efficacité, mais était-ce réellement le seul moyen d'y parvenir ? Plus curieuse qu'autre chose, Tristan avait - dès le début - montré un caractère assez changeant, qui s'avérait parfois très utile, comme parfois très embêtant. Pour autant, Diane l'appréciait. Tant pour les discussions qu'ils avaient - ce dernier ne manquant jamais de répondre à ses questions, que pour l'investissement dont il pouvait faire preuve. Pour autant, elle ne cessait d'avoir des frissons le long de l'échine à chaque fois qu'elle réfléchissait trop longuement à sa magie.
année 994 ◊ liaison de Royale à Abigaïl Diane se souviendrait toute sa vie de l'arrivée de la jeune Mage. Une robe de mariée, une crinière sauvage au vent et une détermination à faire tomber des villes entières. Pas surprenant que la Dragonne dirigeant le vol de Rubis l'ai choisi. Dès les premiers regards, la Capitaine avait compris. Devant elle, se tenait une future Chevaucheuse prometteuse. Et, évidemment, Diane s'était alors empressée de vérifier ce qu'elle faisait, de vérifier ses entrainements, de s'assurer de son pressentiment.
année 1001 ◊ cécité de Quitterie S'il y a bien une Chevaucheuse qui est douce, gentille et pour autant tout en capacité de faire son travail, dévoilant une force de caractère parfois insoupçonnée, c'est bien Quitterie. Jeune mage attachante, elle a complètement perdue la vue lors de l'année 1001. Comme - si Diane l'avait bien compris - son aînée. Chose assez triste qui, dès lors, avait brisé le coeur de la Maréchale. Remuant ciel et terre pour lui permettre de rester parmi les Chevaucheurs, elle réussit simplement à lui permettre d'accéder au rôle de réserviste à la division de Port-Liberté. Victoire ? D'une certaine manière. D'un autre, ça énervait réellement Diane. Déjà, parce qu'elle ne comprenait pas pourquoi Quitterie devait être interdite de Vol, Serment ayant les capacités de la porter et de s'orienter dans l'espace - les dragons n'étant pas stupides. Et ensuite, parce qu'elle pouvait se révéler d'une toute autre utilité. Diane ne cessait de penser à l'osmose qui devait se créer entre les deux êtres et aux possibilités - encore inexplorées - qui pouvaient se dessiner. Pour autant, elle ne faisait part à personne de ses pensées, refusant de les voir s'étioler sous un raisonnement juste et fondé.
3 avril 1001 ◊ nomination au poste de Maréchale de Flamme. Les années passèrent et Diane fit toujours convenablement son travail. Il est vrai que son caractère avait fini par faire sa réputation. Aux côtés de sa loyauté, de son entêtement et de son perfectionnisme à toujours travailler correctement. Sans le vouloir, sans prétendre à ce titre, elle grimpa dans les échelons et fini par être désignée au poste de Maréchale de Flamme, suite au décès tragique d’Elyo Hautmistral au printemps 1001. Elle n'hésita pas. Accepta. Bien qu'elle n'avait jamais songé à l'être, elle était ravie qu'on lui propose cette opportunité, une opportunité qui lui permettrait de s'investir plus pour son royaume, pour les valeurs qu'elle défendait.
25 au 27 janvier 1002 ◊ guerre et coup de poing Cela faisait mille ans que la trêve entre Ibélène et Faërie a été signée. Une trêve qui avait été fêtée en Samhain, regroupant tous les royaumes. Une trêve qui, malencontreusement, s'acheva. Lors d'une rencontre officielle à Lorgol, Richard le Harnois, alors Maréchal de Serre, s'est permis des réflexions misogynes à Diane. En sa position de Maréchale de Flamme, il aurait été plus convenant de ne rien dire. De l'ignorer. Sans est alors, très logiquement, suivi un coup de poing dans son visage, afin de lui expliquer les règles du savoir-vivre et de la diplomatie. Une altercation qui a sonné la fin de la trêve et le début de la guerre. Il y a bien des choses qu'une cibellane peut tolérer, mais s'il y en a bien une qui ne passera jamais, c'est sans doute l'incapacité des hommes à reconnaître les capacités féminines. Diane ne doit à personne son parcours et ses capacités, comme tous les autres, elle est digne de la dragonne qui l'a choisit et digne de sa position. Richard a semblé l'oublier. Un court instant. En espérant qu'il ai retenu la leçon.
avril - mai 1002 ◊ roue brisée L'épidémie. Elle en avait entendue parler, bien sûr. Pour autant, elle espérait - naïvement sans doute - que ça épargnerait ses chevaucheurs. Ce ne fut pas le cas. Ca ne fut pas son cas, non plus. Dans cette réalité, la jeune enfant ne devint pas chevaucheuse. Elle se destina bien à l'Académie, apprenant la magie et découvrant son don, le cultivant, s'enrichissant de connaissances avec plaisir et délectation. Mais, une fois sortie de l'Académie, son horloge biologique lui fut rappelée. Elle retourna alors en Cibella, pour y trouver un mari et y fonder une famille. Bien qu'exerçant en tant que mage pour le royaume, faisant profiter de ses services, elle n'y trouva jamais aucun bonheur. Grandir en ayant vu sa mère s'occuper des dragons avait fait naître en elle un besoin grandissant de Vol et de liberté. Qu'elle n'atteignit jamais. Mage et épouse, sa vie était suffisamment remplie pour paraître heureuse et, pourtant, bien loin des regards de sa famille, une certaine tristesse se créait de jours en jours. Jusqu'à la persuader qu'elle n'était pas heureuse, qu'il lui manquait quelque chose et qu'on lui avait voler sa vie. L'épidémie fut alors éradiquée et Diane reprit pied dans sa vie. Dans sa liberté. Refusant alors, au plus profond d'elle-même, de se forcer à jouer un rôle pour satisfaire qui que ce soit d'autre qu'elle-même.
juin 1002 ◊ aventure, sauvetage Elle connaissait que très bien la bravoure des Chevaucheurs et leur courage. Tout comme leur entêtement parfois intempestif. Celui dont firent preuve les capitaines d'Outrevent et d'Ansemer confirmèrent ses pensées. Non seulement ils partirent - sans autorisation - en Bellifère afin d'y sauver la soeur de Quitterie, Quintille Aubenacre, mais en plus ils y allèrent avec tout un équipage. Autant dire qu'à leur retour, les murs de la caserne vibré et toute oreille trainant dans les passages n'est pas restée longtemps : étourdie par les cris de la Maréchale. Ce peu de gens savent pour autant, c'est que les cris couvraient simplement le sourire sur son visage et les pépites dans ses yeux. Ils avaient outrepassés leur prérogatives, certes, mais pour sauver une vie et arrêter un barbare. Qu'avait-elle réellement à leur reprocher dans ces conditions ?
21 - 22 septembre 1002 ◊ remède trouvé Elle sorti de ce cauchemar grâce au remède trouvé par les Alchimistes de Roc-Épine et aux Chevaucheurs lagrans Tristan d'Amar et Élise de l'Orangeraie, qui ont servi de cobayes. Quand la jeune femme apprit les risques qu'avaient pris Tristan et Elise, elle n'hésita pas une seule seconde. Elle les félicita. Les remercia pour l'héroïsme dont ils avaient fait preuve. Le royaume avait une dette envers eux, une dette qu'elle n'était pas prête d'oublier.
10 décembre 1002 ◊ trêve dans la guerre La guerre fait rage, les corps tombent et les dirigeants poursuivent les affronts. Diane suit les ordres et fait ce qu'il y a à faire, même quand la Trêve est annoncée. Chaque camp doit se reposer, reprendre ses forces, mais jusqu'à quand ?
29 mars 1003 ◊ l'empereur d'Ibélène est mort Triste nouvelle, surtout pour le peuple d'Ibélène. A Diane, ça lui fait une belle jambe et arrange la guerre qui ne tardera pas à revenir, dès que la trêve sera terminée. Peut être qu'ainsi Ibélène cédera.
La Chasse Sauvage est libérée et arpente librement le continent. Qu'est-ce que cela t'inspire ? o Beaucoup d'inquiétude en vérité. Savoir que n'importe qui, sans le vouloir, sans le savoir, finisse emportée par la Chasse, au détriment de sa volonté et de ses actes la terrifie. Et si elle-même devenait l'un des Cavaliers Noirs ? Que se passera-il ? Serait-elle capable de s'en prendre à ceux à qui elle a juré fidélité ? Elle a beau se mentir et se persuader que non, jamais elle n'en sera capable, les cauchemars qui hantent ses nuits et son esprit lui dévoilent une toute vérité. Ce fardeau-là, elle ne le contrôlera pas s'il échoue sur ses épaules. Alors elle prie pour ne pas croiser la route des Cavaliers, ni entendre les cris des Banshees. Elle espère qu'une solution sera trouvée et qu'ils seront renvoyés là d'où il vient. Qu'importe leur origine. Elle prie pour que jamais ça ne lui tombe dessus, plutôt mourir que devoir perdre raison et esprit.
Il y a un mort-vivant sur le trône d'Ibélène : l'empereur Octave a été tué, puis ressuscité. Que t'inspire ce genre de magie ; et que penses-tu d'Octave suite à cela ? o La magie a toujours fait partie de la vie de Diane. Toujours. Depuis son enfance, jusqu'à sa vie actuelle. Elle coule même dans son sang. D'une certaine façon, elle pourrait trouver ça normal, acceptable. N'était-elle pas mage de l'Automne, spécialisée en Illusion ? Et pourtant.. Quand il s'agit de déformer légèrement la réalité, pour donner l'illusion de quelque chose, elle est totalement partante. D'accord. Parce qu'il ne s'agit que d'un effet momentané. D'un effet transitoire. Mais redonner la vie ? Alors que la mort à frapper ? C'est une situation qui l'angoisse et la terrifie. De quoi les mages seront capables après cela ? Pourront-ils faire revenir à la vie tout le monde, et donc, n'importe qui ? Bien sûr, elle comprend la volonté de vouloir conservé le trône, d'autant plus avec quelqu'un de connu, en qui les citoyens ont confiance, mais ce n'est pas une raison. En tant que guerrière, une fois le soldat tombé, le deuil se prépare et le combat s'achève. Il n'y a pas de retour en arrière, elle juge ça contre-nature.
Que penses-tu de Lorgol, la ville aux Mille Tours ? Est-ce que tu t'y promènes sereinement ou est-ce que la capitale des peuples libres t'oppresse ? o Lorgol l'oppresse, tout en l'interrogant. Comment autant de personnes différentes, venues de tout Arven pourraient vivre convenablement ensemble ? Comment ? Elle trouve la vie de Lorgol passionnante, tout comme les instances s'y exerçant. Puis, évidemment, pour avoir réalisé ses études de mage à l'Académie, elle s'est attachée à la ville et à ses spécificités. Elle aime y être, mais jamais trop longtemps. Cibella reste son royaume, le seul endroit sur cette terre où elle se sent parfaitement à l'aise, chez elle.
Dans la vie, je m'appelle Floriane et j'ai 23 ans. J'ai découvert le forum via la petite voix de Aura et voici ce que j'en pense : je l'aime énormément et beaucoup trop pour ma santé mentale.
Récapitulatif Diane de la Fère Mise à jour des registres et bottins Cate Blanchett Compte principal : Non
Ne conserver que les lignes remplies Magie : Automne / Illusion / Vue Familier : Méphisto / Chat / Masculin Dragon : Bourrasque / Automne / Féminin / 850 ans Hiérarchie : Chevaucheurs / Maréchale de la Flamme
Dernière édition par Diane de la Fère le Ven 27 Avr 2018 - 21:18, édité 24 fois |
| | | | Sujet: Re: Seule la loyauté différencie le fidèle de l'imposteur. Mar 27 Mar 2018 - 22:00 | |
| Diane de la Fère et Quitterie des Deux-Ancres Visite de courtoisie 05 avril 1003 Comparé à certaines, Diane a déjà eu une longue existence. Enfin, longue. Si l'on compare cette dernière à celle de sa dragonne, Bourrasque, elle a été extrêmement courte. Et pourtant, au cours de cette dernière, elle a vu de tout - et du grand n'importe quoi. Elle a vu des mages prétendre au titre de Chevaucheur et se louper magistralement, elle a vu des guerriers tomber, des alliances se faire et se défaire, ainsi que la guerre entre Faërie et Ibélène - dont elle est responsable, d'ailleurs. Pour autant, il y a deux choses qu'elle n'avait pas encore vue.
La première, la cécité d'une chevaucheuse. Celle-là, elle ne l'avait pas vu venir. Qu'encore la maladie ou un accident provoque la perte d'un membre, elle acceptait l'idée. Mais qu'une cécité, sourde, à petite dose, vienne changer la vie d'une jeune chevaucheuse ? Au nom d'Aura, non. D'autant plus quand le Savoir et la Magie pourraient avoir des réponses - qu'elle n'avait pas. C'était un fait qui, loin des regards de la caserne, de ses confrères, bouleversait les codes de la Maréchale. Une situation qu'elle n'avait jamais envisagée. Il était pourtant de son devoir de protéger et d'encadrer ses chevaucheurs. Ainsi donc, elle devait toujours penser à tout. Que ce soit à l'équipement, aux entrainements, à la formation, à la stratégie ou à tout ce qui touche autour des chevaucheurs. Elle prenait à cœur son métier, encadrant du mieux qu'elle pouvait son équipe et gardant une proximité - toute relative - avec les dragons, qu'elle avait la chance de côtoyer depuis son plus jeune âge (ayant vu sa mère soigner les dragons cibellans). Quitterie était une jeune femme pleine de qualité et d'investissement, qui savait faire son travail, ne rechignant jamais à mettre la main à la patte et qui avait trouvé en Serment un soutien infaillible. Ne pouvait-il donc pas devenir ses yeux, alors que celle-ci perdait la vue ? Une question qui avait bien tourné dans son cerveau, jusqu'à la mené au Conseil de l'Académie. Des vieux croutons ne montant pas sur un dragon avaient eu l'audace - oui l'audace ! - de décider qu'elle n'était plus apte. Plus apte, et puis quoi encore ? Ni une, ni deux, ses talons avaient claqué sur le sol de l'Académie et le caractère fort qu'elle était avait fait entendre sa voix. Oh, un sacré moment. Bourrasque s'en souvient, elle avait refusé de l'attendre au bout, d'environ, dix minutes après l'entrée dans le bâtiment de Diane. A son retour, Diane était sortie, furieuse. Elle n'avait obtenue qu'une maigre consolation, Quitterie restant réserviste. Elle n'allait pas laisser ça se faire. Ainsi donc, dans sa conscience partagée avec celle de son familier et de sa dragonne, la Maréchale des Flammes avait envie de voir si, avec de l'entraînement, les yeux de Quitterie pouvaient ne plus être un handicap. Évidemment, elle n'en souffla mot à personne et n'interdit jamais les chevaucheurs à voler avec Quitterie. Soutenant officiellement le discours de l'Académie, que Quitterie ne s'y méprenne pour autant : elle n'était absolument pas d'accord avec leur philosophie.
La seconde était le rapprochement entre Rackham et Quitterie. Rien de particulier dirons-nous. Jusqu'au jour où un marmot s'y est mêlée. Elle se souvient encore de l'annonce de Quitterie - discrète et efficace - lui annonçant sa grossesse. Assise dans son bureau, devant la missive, la Maréchale l'avait bien lu une centaine de fois. Son corps, rigidifié par la surprise, ne cessait de pousser ses yeux à relire, encore et encore les phrases qui se dessinaient sous ses yeux. Bourrasque, mesquine - ou taquine - lui avait fait remarquer qu'aucune statue ne monterait jamais sur son dos, qu'il était donc peut-être temps pour sa chevaucheuse de faire quelque chose. Ainsi, elle se retrouvait sur la selle de cette dernière, volant en direction de Port-Liberté, décidée à voir de ses propres yeux, ce que l'union de Rackham et de Quitterie avait donné. En tout cas, elle ne doutait pas qu'il ferait un futur chevaucheur particulier. Surtout s'il héritait du tempérament du père, avec la maladresse de la mère. S'immobilisant en vol, diminuant la fréquence des battements de ses ailes pour se poser en douceur, Bourrasque s'installa à quelques pas du manoir des deux jeunes mariés. " Je reviens vite. " Laissa entendre Diane à son amie ailée. " Je n'y crois pas une seule seconde. " Lui répondit-elle, avant de s'allonger et de fermer un œil. D'une démarche souple, autoritaire, la Maréchale se dirigea vers le manoir, grimpa les portes, frappa et entra. Suivant l'aimable personne qui lui avait ouvert jusqu'à la chambre de Quitterie, elle fut vite convaincue d'être sur le bon chemin en entendant des gémissements. Et ceux-là n'étaient pas créés par un dragon - oh que non. Avant d'entrer, elle respira un grand coup, souffla et frappa à la porte. La douce voix de Quitterie lui intima de passer la porte. " Quitterie. " Sourire poli sur le visage, elle hoche la tête vers la chevaucheuse. Avant de se souvenir qu'elle n'y voyait plus rien. Rapidement, Diane fait le tour du lit. " Puis-je m'installer à tes côtés ? " Elle ne savait pas comment aborder la jeune femme, quoi dire, quoi faire et attendit donc son accord. Ses yeux - perdus, se posèrent sur le bambin. " Félicitations. " Grincement plutôt que jovialité, Diane avait toujours eu du mal avec les enfants. Elle sentit bourrasque s'amuser de ses pensées, avant de se détourner de ces dernières. S'il y avait bien une chose que la femme qu'elle était ne regrettait pas, c'était bien la maternité. Elle tenait trop à sa liberté pour s'endetter pendant autant d'années. Oh que oui ! Et ce n'était pas Bourrasque qui allait dire le contraire, le peu de temps où Diane l'avait laissé n'avait pas été une franche partie de plaisir, alors si son humaine pouvait éviter de trouver un nouvel humain, disons que ça l'arrangeait énormément.
Dernière édition par Diane de la Fère le Ven 27 Avr 2018 - 21:36, édité 1 fois |
| | | La Confrérie Noire Aubrée de Sombregemme Messages : 2266 J'ai : 21 ans Je suis : Apprentie Assassin de la Lame Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Grâce de Séverac et à la Confrérie NoireMes autres visages: Rhapsodie & Octave | | | | Les Chevaucheurs Tristan d'Amar Messages : 4809 J'ai : 33 ans Je suis : Capitaine de Vol de l'Escadron de Chevaucheurs de Lagrance
Marquis d'Amar Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Fluctuante. S'il était fidèle à l'impératrice, il l'est nettement moins à l'empereur, bien qu'il se soit éloigné de Chimène de son vivant, par son attitude envers les mages du Sang. Il est malgré tout toujours fidèle à son duc, à son duché, et à Faërie.Mes autres visages: Grâce de Sombregemme | | | | | | | | La Noblesse • Admin Alméïde de Sombreflamme Messages : 17441 J'ai : 33 ans Je suis : dame de Sombreciel et médecin Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Castiel, duc de Sombreciel, mon époux ; l'empire d'IbélèneMes autres visages: Ilse, Liselotte, Teagan | | | | La Cour des Miracles • Admin Mélusine de Séverac Messages : 5858 J'ai : 34 ans Je suis : marquise de Sinsarelle, dame de Séverac, Voleuse de la Cour des Miracles Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Cour des MiraclesMes autres visages: Quitterie ♦ Ljöta ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade ♦ Chasteté | | | | | | | | | Sujet: Re: Seule la loyauté différencie le fidèle de l'imposteur. Mar 27 Mar 2018 - 22:42 | |
| *vomi* Je. Non. Désolé. Je ne peux pas le faire. *crache et vomi en compagnie d'Adamante* *Est remplacé par la voix de Tim * Rebienvenue et hâte de lire ta fiche ! Courage ! *Regarde sceptique la Chasse se diriger vers Diane * Edit forcé du tiroir par Vous-savez-qui : 'En tout cas c'est pas la loyauté qui va l'engrosser.' (Et c'est gratuit. ) |
| | | | | | | La Confrérie Noire Hermine Chantelune Messages : 394 J'ai : 38 ans Je suis : Écoutante du Poison Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Confrérie Noire, au duc Castiel, à la dame Mélusine de SylvamirMes autres visages: Castiel • Louis • Octavius • Maelenn • Lionel • Matvei | | | | | | | | Les Chevaucheurs Bertin Vif-Envol Messages : 2689 J'ai : 38 ans Je suis : Chevaucheur dans le Vol de Lorgol, mage de l'Hiver (protection) Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : FaërieMes autres visages: Zacharie de Sombrétoile | | | | Les Mages Gabrielle de Faërie Messages : 1665 J'ai : 29 ans Je suis : Princesse impériale, mage du Printemps ; baronne du Ru-d'Argent Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Faërie et son peupleMes autres visages: Astarté des Sables • Agathe Martel • Sifaï Sinhaj • Tancélie le Sustain | | | | La Noblesse Antonin de Faërie Messages : 190 J'ai : 23 ans Je suis : Prince héritier de Faërie ; mage de l'Automne (diseur de vérité) Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Gustave de FaërieMes autres visages: Séverine Belastre, Marjolaine du Lierre-Réal, Lancelot l'Adroit, Liry Mac Lir et Anwar Sinhaj | | | | La Confrérie Noire Gauthier Coeurbois Messages : 1185 J'ai : 45 ans Je suis : Adepte du Poison Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Confrérie NoireMes autres visages: Martial ; Jehanne ; Hector ; Meldred | | | | | Sujet: Re: Seule la loyauté différencie le fidèle de l'imposteur. Mer 28 Mar 2018 - 8:22 | |
| Richard, je crois me souvenir que Bourrasque avait apprécié te catapulter en bas des remparts de Lorgol, souhaites-tu y retourner ? Après tout, Bourrasque aime à rendre service Et s'il te plaît, laisse mon utérus en dehors de toute discussion, je sais qu'il t'attire irrémédiablement, mais ça devient véritablement gênant Abigaiiil, merci beaucoup Avec plaisir pour le rp, dès la validation faite ! Merci Hermine Rackham ça sera avec plaisir Et merci ! Merci Bertin ! Merci Gabrielle, elle tombe à point nommé ! Merci Antonin Gauthier, quel doux compliment que voilà, surtout venant de toi Plus sérieusement, merci |
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| Je suis totalement d'accord Mayeul - Citation :
- Et s'il te plaît, laisse mon utérus en dehors de toute discussion, je sais qu'il t'attire irrémédiablement, mais ça devient véritablement gênant
Faudrait déjà prouver que t'en ai et c'est pas gagné, la gueuse. Demande des conseils à Bourrasque au pire, l'est plus douée que toi - Ce qui n'est pas difficile au fond. ~ Richard. *** La prochaine je passe par mp, promis ! Encore bon courage pour ta fiche et au plaisir de te lire et de voir Diane disparaître dans un POUF magique. |
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