| | Martial de Bellifère (terminé) | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Martial de Bellifère (terminé) Ven 23 Juin 2017 - 18:41 | |
| [42] présente Martial De Bellifère Alexander Ludvig « Il est des cicatrices qui vous marquent profondément, plus encore que les chaires elles s'incrustent dans l'âme. » - impétueux - fière - juste - Arrogant- misogyne - loyal - téméraire - buté - indocile - honnête - cynique - charmeur- rancunier- belliqueux- autoritaire- conservateur- protecteur
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Love |
Je régnerais sur ces terres car tel est mon bon droit. Martial n'aimait rien mieux que la cartographie. Enfin peut être deux chose: le pouvoir et la guerre. La première étant pour lui le moyen d'obtenir les deux autres.
Love | Âge : Date et lieu de naissance : 31 janvier 977, à Hacheclair (Bellifère) Statut/profession : Prince héritier de Bellifère Allégeance : À son duché en tout premier lieu, à l’empereur Augustus ensuite Dieux tutélaires : Kern, le guerrier Groupe principal : La voix des armes Groupes secondaires : Noblesse
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Martial de Bellifère, tel est un nom que vous ne puissiez ignorer, tout du moins je l'espère. Je vais toutefois vous conter son histoire pour gommer les lacunes que vous pourriez avoir.
Elle a débuté le matin du 31 janvier de l'an 977. Un enfant était né voué à un brillant avenir, celui d'être le futur duc de Bellifère. Un événement manqua toutefois de contrarier le destin. L'inconscient étant chose formidable, il cadenassait ce que la raison ne pouvait comprendre. Bien sur comment enfant si jeune aurait-il pût accepter mort si preste de son père ? A peine âgé de huit printemps alors, il ne le pouvait pas, tout simplement. Il était en ce cas, là temps ou l'esprit se protégeait. Se refermant sur lui même, attendant patiemment l'heure où il pourrait se révéler, enfin. De l'enfant qu'il fut timide et prudent, il ne restait traces, pis Martial les avait enfouis reléguées aux portes même de ce qui avait existé. Ne voyez pas la malice de sa part, il avait grandit, appris. A Bellifère nul ne pardonnait la faiblesse, aucune place n'étant faites à de telle lâcheté. Peuple fière si il en était, qui magnifiait l'art du maniement de l'épée et l'amour de la guerre, qui avait d'ailleurs fait sa renommée. Martial avait alors durcit son cœur pour assurer sa survie. Sa grand mère pour seul modèle, cela ne lui suffisait en rien. Lui qui aspirait à haut destin, requérait les conseils avisés d'un sage, d'un homme, pas d'une vieille femme pleutre, paralysée par ne serait ce que l'idée d'un combat. Elle disait ainsi protéger les siens, son peuple, leur peuple. Foutaises. Hommes si preux ne redoutaient nul être. Qu'il viennent ces Faës, ce n'était pas lui Martiel de Bellifère, qui ploierait genoux devant eux, plutôt trépasser par l'épée. De cet art il n'avait rien à apprendre. Les guerriers vivaient... et mouraient ensemble. La confiance étant alors un salut. Le jeune homme n'était pas prompt à accorder telle intimité, hormis lors d'un combat. Il croyait sincèrement en tout ses frères d'armes, la défaite n'étant guère une possibilité.
Enfant, Martial avait un allié de poids, ou plus précisément une alliée, en la personne de sa cousine Madeleine. De cousine elle n'avait d'ailleurs que le nom, mot trop étroit pour l'affection sans borne qu'il lui vouait. Attrait qu'elle lui rendait fort bien. Leur complicité n'avait sur Ibélène nul égal. Jeune tout du moins, Martial respectait profondément sa comparse en ce qu'elle était pour lui, une oreille attentive et une âme douce. Avec le nombre des années, le regard tendre de la Bellifèrienne était devenu proprement insupportable au jeune prince. Ne voyant dans ses yeux tendre qu'un vestige de sa propre fragilité de naguère. Il ne voulait inspirer que respect et admiration, nulle place là à la pitié, même celle de Madeleine, surtout la sienne à dire le vrai. Besoin impérieux que de lui prouver l'homme fort et valeureux qu'il était devenu, non sans son aide bien sur, mais cela il le taisait impérieusement.
Blond de cheveux, de taille haute et de posture honorable, un sourire narquois étirait toujours ses traits. Le maniement précoce des armes avaient dessiné la stature de Martial de sorte que les courbes de son corps étaient sculptées et proprement harmonieuses. Sa mâchoire anguleuse dans la droite ligne d'un menton volontaire, ne laissait ombre quand à ses origines. Tout en lui semblait crier son allégeance à Bellifère. Ses yeux d'un bleu marin, se parait souvent de reflets glacials qui imposaient silence. De part sa carrure et son rang, Martial avait une certaine habitude d'être écouté. Il n'autorisait personne à défier son autorité; ou réglait l'affaire par duel.
Ce trône qu'il convoitait tant, était son dut. Héritier légitime de Juste de Bellifère, il se devait d'en être digne. Toutefois, sa couronne semblait le fuir. A vingt cinq ans révolu, il n'était de fait, pas encore couronné. Les coups du sort n'avaient point manqués. En premier lieu la dulcinée qu'il c'était choisi Mélisende de Séverac, fille du Comte de Séverac, premier conseiller ducal de Sombreciel, c'était vue lui être ravie. Comme il est coutume en son duché, Martial avait enlevé la damoiselle. Pas là signe de sombre dessein, il en allait ainsi en ces terres. Néanmoins la belle n'arriva jamais en la demeure du belliférien. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, Martial n'insista guère, il n'était là question que de politique et en cela il ne manquerait pas de trouver prestement autre charmante pour être à ses côtés. Par un hasard délicieux, celui-ci reçut d'ailleurs rapidement une lettre étonnante du duc d'Erebor qui lui proposait dûment la main de sa sœur, Alméïde d'Erebor. Le cœur n'y était pas, mais Martial y consenti bon grès, mal grès. Néanmoins, le destin s'acharnant, sa promise lui fut à nouveau arrachée par Castiel duc de Sombreciel, lui proposant en dédommagement sa cousine bâtarde Séverine Belastre. Mais cet homme semblait- 'il changeant, fit acte de perfidie en enlevant sa cousine, avant même toute rencontre de Martial et de sa promise. De toute autre Martial n'en aurait eut cure, mais il s'agissait là de Madeleine. Toujours chère à son cœur, malgrès la distance qui semblait désormais les séparer, il ne laisserait jamais aucun homme la blesser, d'une quelconque manière que ce fut. Toutefois, même si cela lui coûtait, pensant au bien être de son peuple avant toute chose, le jeune homme n'esquissa geste. La guerre devait être contre Faëria, aucune querelle intestine ne devait mettre cela en péril. Aussi pour l'heure ne dit il mot.
Le silence était souvent de mise lorsqu'il était questions de sentiment. Martial avait toutes les difficultés du monde à montrer son affection, car de telles démonstrations était pour lui invitations à ses ennemis, à se servir des personnes qui lui étaient cher à son encontre.
Le jeune belliférien aurait pût se montrer bafoué d'être ainsi lié à une bâtarde, peut être l'aurait il dût et pourtant, lorsque plus tard il plongea dans les prunelles couleurs d’ébène, une lueur l'en retint. La beauté brune de Séverine recelait une aura presque mystique qui intriguait Martial, la magie n'était pourtant pas là en oeuvre. Elle n'était en rien semblable aux jeunes filles qu'il avait, en d'autres temps, côtoyé. Elle paraissait plus libre tout en se montrant, au moins en apparence, docile. Intrigante tout bonnement. Il avait toutefois dût lui rappeler que dans son duché, l'homme commandait, et dans leur union c'était lui qui avait tout pouvoir. Il n'en retirait là guère satisfaction, mais c'était ainsi et elle ne devait plus jamais l'omettre.
Martial exergue depuis toujours les mages et leurs voue une haine sans bornes. Ne comprenant pas leur art, il privilégie donc la prudence, pensant qu'il vaux lieux pour le bien de tous, éradiquer cette aberration, par la lame de l'acier. Ce qu'il s’emploiera à faire une fois duc
Penses-tu que la Rose Écarlate a eu raison de dissoudre la trêve, ou le prends-tu comme une trahison ? Elle a eût raison bien sur, cette trêve n'avait que trop duré
Le savoir du Temps t’inspire-t-il de la curiosité, ou aurais-tu préféré qu’il demeure banni ? Cela ne m'inspire que de la crainte, j'aurais bien sur préféré qu'il demeure là où il était bannis
Que penses-tu de Lorgol, la ville aux Mille Tours ? Est-ce que tu t'y promènes sereinement ou est-ce que la capitale des peuples libres t'oppresse ? Je ne mis rend que contraint et forcé, tant de mauvaises engeance regroupé en un seul point ne peut être bon.
Dans la vie, je m'appelle Charlotte, Lotty pour les topains et j'ai 25 ans. J'ai découvert le forum via google, aux détours d'une recherche pour le moins fructueuse et voici ce que j'en pense : . Séverine de Bellifère- Martial de Bellifère Le froissement des souvenirs perdus 7 juin 1002 Martial n'aimait rien mieux que la cartographie. Il était en son sens essentiel de savoir où naviguer, où se diriger, pour mener ses projets de conquêtes à bien et l'observation et l'élaboration de nouvelles cartes permettaient cela. Installé à son bureau dans sa salle d'étude, l'odeur d'encre et de papier frais l'entourant, Martial se sentait à sa juste place. Bien sur il savourait les prémisses de pouvoirs qui lui étaient allouées, mais c'étaient dans ses moments seul où le calme et la sérénité régnaient, qu'il puisait une certaine force. Nul n'avait le droit de pénétrer dans son entre, aussi y régnait il un certain désordre où toutefois il n'avait aucun mal à se retrouver. Des cartes disséminés aux quatre coins, certaines épinglées aux murs, d'autre roulées précautionneusement sur des tables, des mots parfois griffonnées fois dans les marges, il était difficile d'imaginer Martial si appliqué pour qui ne le connaissait que peu. Il était pour son peuple Martial De Bellifère héritier légitime de la duchesse Ermengarde De Bellifère et c'était ce qu'il était, en partie tout du moins. Certaines nuits lorsque le sommeil le fuyait, il avait le sentiment que ce statut lui était trop petit, qu'il était promis à un avenir plus grand, plus prestigieux. Oui, Martial était ambitieux et son nom marquerait l'histoire, il y veillerait. Toutefois, lorsque les journées avaient été particulièrement rude, il n'aspirait qu'a fuir toutes ses responsabilités, à simplement voyager au delà des horizons, découvrir ce qui restait encore à l'être. Bien sur, il se gourmandait intérieurement rapidement pour pareille pensé indigne d'un prince. Mais même lui était faillible même si il le taisait farouchement. Le courage n'étant pas de refuser ses peurs mais de les accepter comme partie intégrante de l’existence. Sagesse peut être qu'un jour Martial apprendrait. Il était pour l'heure, trop jeune et trop fière pour ne serait ce qu' y songer. Il n'avait rien n'a apprendre des combats étant un guerrier accomplis, mais tout restait à faire en matière de politique. Il avait cette fougue propre à son peuple que quelqu'un devait lui apprendre à maîtriser, en matière de diplomatie tout du moins.
Les heures sombres de la nuit étaient désormais reine et il était grand temps pour Martial de rejoindre sa chambre et également sa promise Séverine Belastre, désormais de Bellifère. Aucun d'eux n'avaient choisi l'autre, il s'agissait là d'un mariage de convenance rien de plus. Mais qu'importait au fond, l'amour semblait chose si dérisoire a qui avait le pouvoir. Néanmoins, il n'était pas écrit qu'ils devaient tout deux vivre dans le malheur. Un tel sentiment ne les uniraient peut être jamais, mais si le respect et une certaine connaissance respectives les unissaient, cela suffiraient sans doutes à un certain bonheur. Pour cela, la Cielsembroise devait comprendre là ou était sa juste place. Jamais cruel pour purement l'être, Martial savait toutefois ce faire obéir de sa volcanique épouse. Son premier office, mais non des moindres, avait été de lui apprendre les règles de bienséance en matière de vêture. Avoir un corps désirable était chose appréciable certes, mais pas là raison suffisante à l’exhiber aux yeux de tous. Il était vrai que Martial aurait put voir s'être attribuer épouse plus laide. Au moins de cela il s'en trouvait ravi, Séverine était une femme magnifique et il éprouvait une certaine fierté de l'avoir à son bras, mais naturellement pudique, il n'en disait mot. Depuis quelques temps, celle ci se montrait souvent songeuse, presque distraite, mais il n'était peut être là que les symptômes du mal de son pays natal, sans doutes tout à fait naturel aux vues de la situation. Aussi rejoignait-il sa chambre d'un pas mesuré. Lorsqu'il fit son entré , Séverine l'attendait le sourire aux lèvres. Vêtu d'une simple chemise de nuit fluide, accompagnant chacun de ses gestes de mouvement de tissus voluptueux, rendant toute justice à ce corps charmant. Martial ne s'y attarda cependant pas, un moment plus intimes viendrait peut être plus tard. Pour l'heure il était, une fois n'est pas coutumes, d'humeur à converser avec son épouse. Congédiant d'un geste de la tête Prudence, Martial reporta toute son attention sur sa nouvelle épouse.
« Votre journée vous a t'elle était agréable ma dame ? »
il était ce jourd'hui d'humeur sereine, là trace de ses heures passées à s'adonner à la cartographie.
Dernière édition par Martial de Bellifère le Dim 2 Juil 2017 - 14:57, édité 20 fois |
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| Coucou Martial, c’est moi qui vais m’occuper de ta fiche Ne t’inquiète pas si c’est long, je liste tout dans l’ordre pour que ce soit plus simple de s’y retrouver. C’est parti → Avatar et feuille de personnage• Ton avatar n’est pas à la bonne taille • Tu n’as pas activé ta feuille de personnage, il faudrait le faire et remplir les champs présents ( allégeance etc...) • Pareil, tu dois remplir les champs âge et «je suis» pour que l’on puisse facilement t’identifier → Citation• C’est « chair » et non « chaire », ce n’est pas tout à fait la même chose ! → Caractère• C’est « fier», puisqu’aux dernières nouvelles martial est un homme . Et une fois tu mets des majuscule, les autres non, tu peux uniformiser l’ensemble s’il te plaît ? • Tu n’as pas repris l’ensemble des termes du caractère du PV. Un oubli ? → Anecdote• J’ai l’impression qu’il y a deux anecdotes mélangées . → Identité• Tu n’as pas rempli le champ «âge». • Il n’y a pas d’image de ton perso à côté de son identité, et tu as laissé les crédits de Love. Il faudrait que tu les remplaces par le pseudo de ceux à qui tu as pris l’image. → Histoire• Il y a réellement beaucoup de fautes, d’orthographe ou d’inattention. Je ne suis pas la dernière à en faire mais pour le coup, c’est assez difficile à lire ! • Tu passes très très vite sur son enfance, et pourtant il y en aurait des choses à raconter, la mort de son père et grand-père, le fait qu’il s’enfonce dans le silence, qu’il soit en retrait... ce serait intéressant de le décrire, surtout que cela tranche avec l’adolescent qu’il devient par la suite. • Pareil, tu n’évoques presque pas le sujet d’Ermengarde et de ce qui divise la duchesse et son petit-fils, ni la volonté de Martial de se forger une identité, une carapace qui ferait que personne n’ose le défier ou se moquer de lui. • Tu dis que Castiel enlève ta cousine avec perfidie, mais l’enlèvement a été discuté en amont avec Ermengarde, et Martial était au courant. Qu’il ne soit pas d’accord, cela se comprend, mais ce n’était pas une surprise. Surtout que cela faisait plusieurs mois que les tractations politiques allaient dans ce sens. Martial a gâché les plans de sa grand-mère en essayant d’enlever Mélisende, en vérité . Et le dédommagement de Sombreciel est à la hauteur de la noblesse de Madeleine (Tu peux notamment lire ce message pour en savoir plus, ainsi que la fiche de Madeleine de Sombreflamme). • Ce qu’il ressort de ta fiche, c’est l’impression que tu as juste effleuré Martial : on ne sait pas qui il est, ses alliances, ses envies, ses ressentis. On ne te demande pas une fiche de trois pages word, mais vraiment, j’ai l’impression que tu ne rentres pas vraiment dans le personnage. Tu évoques sa haine des mages en fin de fiche, comme un détail dont on ne sait rien, tu évoques le mariage avec Séverine, mais pas la guerre où, de part sa position, Bellifère tient une place très importante. Martial prend-t-il les armes ? Insiste-t-il pour se voir enfin confier le trône ? Bref, Martial est lisse, réellement, et c’est dommage. → Questions• Rompre la trêve, cela signifie autoriser le retour des magies et savoirs bannis. Or, tu dis que tu es ravi que la trêve soit rompue avant de dire que tu aurais préféré que le savoir du Temps demeure banni . → Test RP• J’ai refais le code de ta fiche, c’était un peu emmêlé . • Il est un peu jeune pour « tout savoir des combats», non ? Il aspire à devenir un grand guerrier, et ce n’est pas à 25 ans qu’il peut être un guerrier accompli ! • Il faudrait juste veiller à aérer un tout petit peu plus ton test, il est assez compliqué à lire sinon. • Limite on en apprend plus sur Martial dans ton test RP que dans ton histoire . Son amour de la cartographie par exemple, il aurait été judicieux de l’expliquer. • Martial est un jeune homme rigide et très attaché aux coutumes de son duché, et cela ne le perturbe pas outre mesure de s’imposer par la force à son épouse. Ni de l’avoir enlevé, d’ailleurs. Elle est là pour lui, pour le satisfaire, et s’il peut avoir envie de discuter avec elle, il n’est pas du genre à écouter les conseils. En conclusion, il y a vraiment beaucoup, beaucoup de fautes à corriger, un peu partout dans ta fiche. Il y a de nombreux champs qu’il te reste encore à remplir également. J’ai beaucoup de mal à savoir si tu as saisi le personnage de Martial, parce que dans ton histoire, tu n’exprimes que peu de choses. Certes, Martial est un de nos PV, mais c’est à toi de te l’approprier, de nous raconter ses aspirations et qui il est. Parle de son enfance, de sa cousine, de sa grand-mère, de comment il a appris à se battre... Est-il un élève doué ou non ? D’où lui vient cette passion pour la cartographie ? Tu ne précises pas non plus son amour pour son Duché, sa volonté de devenir duc. Il est impatient Martial, il ronge son frein en attendant d’avoir enfin la chance de montrer qu’il sera un duc prometteur. Je pense que c’est vraiment l’histoire qui pèche. N’hésite pas à te rapprocher de ta marraine pour faire évoluer tout ça . |
| | | La Cour des Miracles • Admin Mélusine de Séverac Messages : 5858 J'ai : 34 ans Je suis : marquise de Sinsarelle, dame de Séverac, Voleuse de la Cour des Miracles Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Cour des MiraclesMes autres visages: Quitterie ♦ Ljöta ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade ♦ Chasteté | | | | La Cour des Miracles • Admin Mélusine de Séverac Messages : 5858 J'ai : 34 ans Je suis : marquise de Sinsarelle, dame de Séverac, Voleuse de la Cour des Miracles Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Cour des MiraclesMes autres visages: Quitterie ♦ Ljöta ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade ♦ Chasteté | Sujet: Re: Martial de Bellifère (terminé) Dim 16 Juil 2017 - 20:17 | |
| Bonjour Martial, Sans nouvelles de ta part, j'archive ta fiche et supprime ton compte. N'hésite pas à revenir quand tu seras plus disponible ! |
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