Il ne faut pas toujours se fier à la couverture...
J'ai vu le jour dans les terres d'Outrevent plus précisément à Souffleciel, né dans une famille aimante de ce que je me souvienne, je suis fils unique dans une famille qui n'est pas des plus riches en terme de bien ou de titres. Mais la richesse que j'ai eue se trouve dans l'amour et la loyauté que j'ai pu sentir, avoir et donner durant toute mon enfance. À l'âge de quatre ans, j'ai perdu mes deux parents, mon père en premier lieu dû à une maladie et tel deux inséparables ma mère folle de chagrin fini par mourir quelques années après ça. Le reste de ma famille et moi-même nous avons assisté à l'enterrement de mes parents, sur un petit tumulus avec un jeune arbre planter à l'arrière de celles-ci. Je me souviens qu'il faisait froid à cette époque et que nous étions habiller chaudement, vêtus de nos vêtements quotidiens, je ne savais pas quoi faire ni dire à ce moment-là, je pense que j'ai mis longtemps à me remettre de leurs disparitions, j'avais une grande écharpe qui dissimuler le bas de mon visage avec un capuchon sur la tête pour ne pas prendre froid et mes yeux embrumés par mes larmes, tout ça en silence pour ne pas éveiller les regards vers moi, mon parrain me tenant par la main alors qu'il caresse le dos de ma main pour essayer de me rassurer. Mais tout n'étais pas noir pour moi, j'ai étais élever par mon parrain et par ma marraine, deux personnes incroyablement remplies d'amour, ils n'avaient pas connus la joie d'avoir un enfant alors c'est pourquoi ils ont décidés de me prendre sous leurs ailes pour faire de moi l'homme que mes parents auraient voulut voir devenir.
J'ai toujours vécu à Souffleciel et mon cœur est totalement destiné à cette terre qui m'a vu naître et grandir, ma famille ne pensais pas que j'aurais une vie différente de la leurs tout était fait pour que cela ne change pas. Mais au fond de moi, je sentais que je ne voulais pas de cette vie, je voulais que mon destin soit différent et que le nom des Rivebois ne soit pas qu'un des nombreux noms qui n'aideront jamais son pays à être prospère. Ma marraine m'a appris à être galant et respectueux envers les autres, même des inconnus ainsi que tout les principes de respect dû à ceux de haut rang. Quant à mon parrain, il m'a instruit à la lecture et l'écriture, ainsi que des principes basique de stratégie. Tout ceci commença à l'âge de huit ans et au fil des années, tout ceci continua pour pouvoir m'affûter comme une lame et pour pouvoir augmenter mes connaissances. Même si je ne suis pas le genre à être un jeune garçon très sociable, mais je préfère acquérir les connaissances que mon parrain et ma marraine veuillent me donner. Mais j'aimer beaucoup les soirées où mon parrain rentrer pour me raconter des histoires qu'il inventer question de laisser mon imaginaire faire le travail, me racontant des histoires tout les soirs, toutes différentes, mais avec une chute à chacune. J'apprenais de toutes et je réfléchissais à propos de tout ça chaque jour ce qui est totalement impressionnant, c'est que j'arrive à tout retenir et a assimiler toutes les moral qui sont à la clef de tout ça. J'étais totalement accro à ces histoires, car ils les faisaient vivre avec une interprétation des plus fantastique, après je n'étais qu'un enfant, mais personne ne peut imaginer combien ces histoires me donnaient envie de voyager partout dans le monde et de rencontrer des gens un peu partout pour pouvoir m'entourer de personnes qui sont partout à travers le monde et c'est ça qui me fait rêver même si à ce moment-là, je ne savais pas du tout ce que le monde pouvait me réserver.
À l'âge de mes quinze ans, je me demandais ce que cette journée aller bien pouvoir me réserver mise à part le fait d'aider mon parrain et ma marraine dans les champs, mais ce dont je ne m'attendais pas ce jour-là fut un déclencheur dans ma vie qui allait totalement tourner ma conception même de mon avenir totalement à l'opposé de mes attentes. Des jeunes adultes venaient toujours me provoquer ou me taquiner en me disant que je ne ferais jamais rien de ma vie, soudain quand je me mis à hurler qu'ils devaient partir et d'une torche que l'un des jeunes tenaient en main, car la nuit était levée, la flamme se mit à s'intensifier, embrasement incontrôlé, le jeune qui tenait la torche la jeta par peur. Je sentais mes forces se vider à vive allure avant de perdre connaissance. Je ne pris connaissance de l'ampleur de ce qui venait de se passer que quand je repris connaissance plusieurs heures plus tard dans mon lit avec ma marraine, inquiète assise sur mon lit à passer ces mains dans mes cheveux qu'elle m'expliqua ce qui s'était réellement passer. Je ne comprenais pas pourquoi j'avais ce don, ou malédiction tel était le point de vue de chacun en se monde par rapport à la magie, mais elle m'expliqua calmement que mon parrain allait m'emmener à Lorgol pour que je puisse intégrer l'académie de magie et du savoir. Posant sa main chaleureuse sur ma joue elle me dit de me reposer et que nous partirons dans quelques jours pour cette ville dont je ne connaissais rien sauf parmi les récits que mon parrain m'avait raconter bon nombre de fois.
Les jours passaient et se ressemblaient tous, mais le regard des gens avait changer envers moi, on me regardait comme un monstre pour la plupart, je ne savais pas où me mettre et comment réagir face à ce changement de situation qui fut si soudain dans ma vie. J'ai l'impression d'être un paria aux yeux de tous, mais ce jour-ci était bien plus spécial que les autres, nous nous dirigions moi, mon parrain et ma marraine vers le portail qui allait m'amener à l'académie pour l'entretien que je devais passer pour intégrer l'académie. Arrivé près du portail, mon parrain s'approcha ému ce qui fut la même chose pour ma marraine et tout en venant me prendre dans ces bras, il me dit de leurs données des nouvelles quand je le pourrais et avant que je ne puisse répondre, ma marraine me tombe dans les bras, sanglotant comme une mère qui voit son enfant quitter le nid. Elle me dit de prendre soin de moi et que Levor veillera toujours sur moi où que je sois et qu'importe ce que l'entretien donnera qu'elle sera toujours fière de moi. Je l'embrasse sur le front tout en posant mes mains sur ces joues rougies par la tristesse, essuyant ces larmes avec mes pouces en répondant à cela que je ne changerais jamais qui je suis et que je ferais de mon mieux pour être présentable et respectable auprès de celui qui va m'accueillir lors de cet entretien. Je leurs souris déposant mon regard sur eux, je ne sais pas si je vais être accepté ou non, mais il est temps de prendre mon destin en main et de voir ce que l'avenir me réserve.
Arrivant dans l'académie de magie et du savoir, je ne me trouvais pas présentable dans mes habits qui montrer totalement la différence entre Outrevent et Lorgol que je ne connaissais pas. J'avais cette écharpe autour du cou et je retire doucement mon capuchon pour admirer les lieux sans trop savoir quoi faire. J'interpelle avec respect un homme qui pourrait sûrement me dire où me présenter pour avoir des renseignements par rapport à l'entretien qui m'attend. Je me présente à ce qui me semble être une réception ou un truc s'y approchant, je suis la personne qui m'accompagne jusqu'à une salle où se trouve trois hommes d'un certain âge déjà et pendant l'entretien, je leur explique comment mon pouvoir, c'est manifester et je constate qu'ils prennent des notes sûrement pour prendre une décision quant à mon intégration, du moins c'est ce que je pense. Je précisais aussi que je souhaitais rejoindre l'académie question de pouvoir me contrôler et de ne pas pouvoir blesser des personnes que j'aime, ce qui serait quelque chose que je ne supporterais pas si ça arrivait. Le temps me parut long avant que j'apprenne que j'étais accepté à l'académie, mes yeux étaient pétillants d'impatience de pouvoir commencer à apprendre à contrôler cette partie de moi et pour être franc, je ne demande rien de plus que de pouvoir contrôler mes pouvoirs.
Les études furent plutôt simple à assimiler avec les années qui passent, tenant toujours au courant mon parrain et ma marraine que tout allait bien et que j'essayerais de rentrer quand je le pourrais pour leur raconter tout ce que j'ai vécus dans cette ville de Lorgol qui est fantastique à mes yeux. Je profite de mon temps libre pour affûter mes connaissances sur le monde qui m'entoure tout en cherchant à bien assimiler toutes mes informations. Alors que je suis assis en train de lire un livre sur les différents royaumes et les dieux qui peuple le monde, je fus surpris de voir un chien assis a coter de la table, je ne l'ai ni entendu entrer et de le voir sage a coter de moi me fait penser que quelqu'un doit être venus alors que je ne l'avais pas entendu pénétrer dans la pièce. Alors que je cherche du regard aux alentours si quelqu'un était présent dans la pièce, une voix me parvint, mais pas une voix comme si quelqu'un me parler aux travers de la pièce, mais plus comme si c'était directement dans ma tête. Cette dite voix tente de me rassurer en me disant qu'il est mon familier, je tourne mon regard vers ce chien massif au pelage noir et tout en pensant, je me demande si cette voix vient de lui, il vient confirmer mon interrogation ce qui me surprend d'autant plus. Nous avons appris au fil des cours que le lien avec un familier n'est pas toujours possible et alors que je lui demande s'il a un nom. L'animal, familier, je ne sais pas comment le qualifier, car je n'ai jamais eu la chance de voir un familier auparavant et c'est un peu... Déroutant, alors que je suis en train de regarder l'animal, il me dit qu'en fait, c'est une femelle et qu'elle se nomme Aënor. Je souris avant de me mettre à sa hauteur et de venir joindre mon front avec le sien en signe de respect comme nous le faisons dans ma famille avant de retourner à ma lecture tout en apprenant à connaître ce familier.
Suite à mes six ans d'études, j'avais profité d'avoir finis ça pour faire mon premier tatouage, c'est quelque chose qui me tient a cœur depuis que je suis au milieu de mon apprentissage en magie. J'ai aussi entendu parler des chevaucheurs que j'ai déjà aperçus et je pense que je vais essayer de devenir chevaucheur, qui ne tente rien n'a rien après tout. Je repasse chez mon parrain et ma marraine pour leurs données des nouvelles et de raconter tout ce que j'ai vécus lors de cette dernière année, heureusement pour eux que nous n'étudions pas à l'extrême Sud-est de l'empire de Sombreciel et que les portails existent sinon je ne pourrais pas les voir aussi souvent que ça. Alors que nous prenions une tasse de café au coin du feu pour nous réchauffer et pour pouvoir discuter tranquillement, je leurs annonces que je vais aller passer la sélection pour devenir chevaucheur, pas seulement pour pouvoir me rendre utile pour l'empire d'Outrevent, mais pour pouvoir protéger et aider la population en général et que si je n'y arrive pas que ce ne sera pas un grand échec en soit et que j'ai tout à gagner à essayer de passer le test. Je vois le regard fier de mon parrain se poser sur moi alors que ma marraine est plus dans la crainte ce qui est normal, car on ne sait pas ce qui peut se passer, et même si je venais à réussir, les conflits font des morts dans les deux camps et c'est sûrement à ça qu'elle pense en cet instant. Après une semaine à les aider, je décide de retourner à Lorgol, mais cette fois-ci pour me rendre à l'amphithéâtre de sélection, je dois bien avouer que je suis stressé.
Le jour J, le fameux jour où je vais savoir si je suis fait pour devenir un cadet ou non, légèrement stresser, je n'en suis pas moins déterminé bien au contraire, je m'avance vers le milieu de la salle habiller d'habits des plus communs et passe-partout. Mais mon regard lui ne ment pas, je prie Levor pour qu'il m'offre la chance de servir l'empire d'Outrevent, alors que j'attends quelques minutes, un bruit sourd de battement d'ailes se fait entendre et alors que je le vois arriver dans mon champ de vision, il se pose devant moi avec une puissance tel qu'elle me déstabilise un peu, mais je le fixe, ce dragon imposant et majestueux. Tu m'étonnes que ce soient les rois des cieux, alors qu'il s'avance vers moi, je ne bouge pas, stoïque et alors qu'il abaisse sa tête à mon niveau il me regarde droit dans les yeux. Un regard qui me transperce comme s'il me sonder, mais je ne montre aucune résistance, aucune crainte malgré que mon cœur batte de plus en plus vite, c'est la première fois que je vois un dragon d'aussi près. Ô Levor, même si je ne suis pas choisi, je te remercie de cette opportunité que tu m'as offerte. Et alors que je m'attendais à ce qu'il reparte d'où il venait, mais non, il s'assoit et dans un geste que je qualifierais de fou, je viens déposer ma main sur la tête massive du dragon avant de venir me coller contre lui dans une étreinte qui ressemble pas mal à un remerciement alors que j'entends résonner dans ma tête sa voix et qu'il commence à se présenter à moi, une fois celle-ci fini, je prends le temps de me présenter et de commencer à lui raconter qui je suis. Ce dragon qui s'appelle Ardeur à l'air d'être un dragon avec qui nous allions être fusionnels.
L'entraînement fut le plus rude que j'ai connu de toute ma vie, certes si j'avais connu le travail de la terre, j'aurais dû faire face à un travail rude et pénible, mais j'ai eu la chance de changer ce destin qui m'était assigner depuis ma naissance. L'évolution possible de ma famille est une chance que je me dois de saisir, même si je ne serais que simple chevaucheur à la sortie de ma formation, je sais que je pourrais me rendre utile pour tout les habitants de l'empire d'Outrevent. Je ne suis que fils de paysan, mais ce n'est pas une faiblesse selon moi, j'en suis ressortis plus fort qu'auparavant, peut-être que sans ça, je n'aurais jamais pu me donner à fond lors de ma formation à l'académie ? Qui sait, mon destin maintenant est entre mes mains et je compte bien continuer mes efforts et avec Ardeur, nous agissons à l'unisson, les débuts furent difficiles bien évidemment, mais nous avons appris à nous connaître, savoir comment réagit l'un et l'autre et nous avons appris à être complémentaire, me servant de son feu pour pouvoir m'en servir avec mes pouvoirs. Je me sens en osmose avec lui, il est une partie de moi que je n'aurais jamais soupçonné et je suis fier qu'il m'ait choisi, c'est un honneur pour moi qui n'étais rien depuis mon commencement en ce monde.
Cinq années sont passées et je n'ai cessé de progresser à chaque obstacle qui s'est dresser face à moi lors de ma progression en tant que futur chevaucheur, les tatouages arrivèrent en même temps que les années s'écouler petit à petit. J'aime les tatouages pour la simple raison que c'est une façon de laisser une emprunte de mon vécu, puis qui s'est ça deviendra peut-être une nouvelle tradition de famille. Tout comme les formations pour devenir mage ou chevaucheur, nous nous forgeons pour devenir des bras armés de souverain, mais c'est un honneur de pouvoir me battre pour Outrevent, je ne sais pas si j'avais étais fais pour être soldat si je n'avais pas eus la chance d'avoir l'éveil de mes pouvoirs magiques. Ma formation prenait fin et je savais que j'allais être déployer à Souffleciel, mais j'avais entendus depuis quelques années que le conflit entre Outrevent et Béllifère, mais je combattrais jusqu'à mon dernier souffle si il le faut pour que le duché d'Outrevent puisse l'emporter. Après tout ne suis-je pas ici pour ça ? C'est le travail de tout à chacun de pouvoir défendre la terre où l'on vit.
Un an s'écoula paisiblement, j'étais à mon affectation, mais un évènement majeur allait avoir lieu aujourd'hui, c'était le mariage d'une de mes cousines d'une de mes tantes qui se trouve du côté de ma mère et je ne pouvais pas rater ça pour rien au monde. Je ne peux pas aller contre cette décision de toute façon, je n'ai pas envie de gâcher la possibilité que ma cousine puisse être heureuse, mais je ne sais pas il y a quelque chose que je ne sens pas chez lui.Un an s'écoula paisiblement, j'étais à mon affectation, mais un évènement majeur allait avoir lieu aujourd'hui, c'était le mariage d'une de mes cousines d'une de mes tantes qui se trouve du côté de ma mère et je ne pouvais pas rater ça pour rien au monde. Mon instinct me dit qu'il cache quelque chose, alors que je demander la permission à mon capitaine Lionel de Rivepierre pour pouvoir m'y rendre, une fois son accord de donner, je m'y rends dans ma tenue de service pas le temps de me changer pour mettre une tenue moins officiel sinon j'allais être en retard. Ma tenue aux couleurs du duché d'Outrevent avec l'emblème du kilt et de l'épée sur mon torse en plein centre avec une longue cape blanche aux contours bleus, je me tiens à la droite de mon parrain que je viens saluer d'une étreinte chaleureuse avant de faire de même avec ma marraine qui est toujours aussi émotive lors d'évènement de la sorte. Je joins mes mains l'une dans l'autre en me tenant bien droit, nous sommes à l'automne comme la majorité des mariages en Outrevent et le temps est assez clément alors que la cérémonie commence alors que les invités se font silencieux devant la cérémonie traditionnelle qui prend place. Le lien de soie vient être posé sur le poignet des époux et je reste de marbre à cette idée, car je sais que quelque chose ne va pas dans ce mariage. Une fois cette étape finie, je viens présenter les vœux de mariage à ma cousine sans prêter attention à son mari avant de me retourner pour partir, alors que mon parrain fait la queue pour aller la saluer, il me saisit par le bras et me murmure qu'il sait que je n'aime pas l'époux de ma cousine Nolwenn, mais que je devrais faire avec. Alors que je retire mon bras vivement de son emprise, je lui jette un regard colérique et je lui dis précisément que ce mariage ne sera pas aussi glorieux qu'on ne le pense. Je finis par partir toujours autant en colère sous les yeux de ma marraine impuissante face a cette situation.
Deux ans passèrent et arrive l'heure du tournoi des trois opales, un tournoi qui allait réunir le meilleur de chaque duché, j'étais venu y assister pour soutenir mon capitaine qui était le représentant de notre duché. Mais aussi pour pouvoir voir les talents de combattant des autres duchés même si pour moi, le capitaine était le mieux placer pour pouvoir devenir champion. Le tournoi allait durer seize jours au total et j'allais être présent chaque jour question de pouvoir montrer à mon capitaine que l'un de ces nouveaux chevaucheurs était toujours là pour pouvoir le soutenir même s'il n'allait pas avoir le temps de voir que j'étais présent. Je ne suis pas quelqu'un qui se met en avant dans ce genre d'évènement. Accueillis par Ermengarde de Bellifère et Enguerrand Fer-de-Lance, j'écoute attentivement tout ce qui se dit. Tous les duchés ont vu leurs dirigeants être présent eux aussi pour ce moment qui s'annoncer des plus excitants à regarder. La première épreuve me surprit, L'Homme-Vapeur, une machine d'un ouvrage que je n'avais jamais vu auparavant. Je ne quitte pas mon capitaine des yeux et je pose ma main sur l'emblème d'Outrevent pour pouvoir lui porter chance, au vu de sa position et de celle des autres champion présents dans l'arène, je vois à peu près la configuration adapté. Le combat fait rage et je ne cesse de prier pour la protection de mon capitaine, je suis inquiet quand même, qui aurait penser voir une tel chose présente en cet instant. Lorsque la machine est mise hors de fonctionnement, je m'aperçois que la large majorité à était mise K.O par cette imposante machine et je suis surpris par tant d'ingéniosité. Mais je suis inquiet pour l'état de mon capitaine en espérant qu'il ne soit pas dans un sale état. Alors que l'Opale de lumière est remise au dénommé Hiéman le Baron de Sylvamir provenant de Valkyrion, l'Opale d'obscurité est donné à Grâce, voltigeuse de corail provenant d'Erebor.L’Opale de Flamme est remise à Maelys, Chevaucheuse Aigrépine de Mirage, provenant de Lagrance. Pas d'Opale pour le capitaine, mais au moins je suis fier du combat qu'il a mené pour cette première épreuve. Alors que la prochaine épreuve allait être annoncée, une déclaration surprenante me fit me poser des questions. Le Baron de Sylvamir avait était la victime d'un attentat, comment cela était-ce possible ? La duchesse Astrid avait désigné à la place du baron la princesse Ljöta, skjaldmö de Svaljärd. L'annonce de l'épreuve ne me rassurait pas d'autant plus, la reine de sang, une créature magique n'est jamais bonne a affronter surtout quand on ne sait pas de quoi il s'agit, j'espère que ce n'est pas une magie de sang, j'ai réellement horreur de ce genre de pratique. Apparemment, cette épreuve était plus destinée au spectacle que les champions ont dû voir plutôt que l'assistance,l’Opale de Lumière est remise à Marianne, dame d’Orsang et Voltigeuse d’Iode pour Sombreciel, provenant de Bellifère. L’Opale d’Obscurité est remise à Mayeul, baron de Vifesprit et Voltigeur de Nuage provenant de Sombreciel. Et l’Opale de Flamme est remise ce jour à Sa Grâce Ljöta, skjaldmö et princesse de Valkyrion. Une bien belle performance provenant de tout les champions des divers royaumes, Alors que le 28 septembre ont fini par apprendre que l'impératrice Chimène à disparu, beaucoup de choses se passent dans l'ombre que je n'explique pas, entre l'attentat sur un baron et maintenant ça... Je devrais peut-être rejoindre mon capitaine et le Duc Liam ? Mais je les gênerais peut-être ?
Alors que le discours de clôture arrive pour essayer de garder les relations diplomatiques en état. Alors qu'Enguerrand allait pour prendre la parole, il est tué sur le coup. Par réflexe, je sors mon arme au clair et je hurle dans l'assemblée dans la panique générale.
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Protégez le duc Liam !Reculant vers la position que je connaissais du duc, je remonte les escaliers question de me rapprocher de la loge du duc Liam. Je ne sais pas ce qui se passe et je suis un peu perdu par cette situation de chaos ambiant. Une voix masculine se dresse dans le Colisée.
« Ce Tournoi n’est qu’une mascarade. Regardez-les, regardez-vous : Ibéens et Faës ne peuvent s’entendre. La magie aura le dessus sur le savoir, et le savoir renforcera la magie : nous sommes l’Ordre du Jugement, luttant pour les magies et les savoir libérés, et nous allons vous le prouver. Vos douze champions sont une aberration, leur apparence d’unité n’est qu’un mensonge, et vous allez le constater. Ô souverain de l’équilibre, Ô champion de l’apocalypse, Ô suprême juge des destinées – dresse-toi, Héraut des Titans ! »Je scrute les alentours cherchant un appui d'un frère d'armes ou d'un haut dirigeant sur lequel me reposer pour pouvoir trouver un quelconque soutien dans ce chaos, je ne comprends rien, pourquoi l'un des duchés de Faërie aurait tuer un Ibéen ? Ça n'a aucun sens, pourquoi briser la paix qui date d'un millénaire ? Alors que les champions se font face, j'assiste impuissant a ce qui restera a jamais dans ma mémoire comme un jour sombre de mon existence et sans attendre, je me précipite vers le bord de la tribune pour hurler au capitaine Lionel.
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Ne faites pas ça mon capitaine ! C'est de la folie !Je ne savais pas qu'a cet instant, il ne pouvait m'entendre ou même raisonner de manière logique. J'appelle Ardeur pour qu'il vienne sur le toit du Colisée si nous aurions besoin de partir de toute urgence ou de défendre le duc en cas de problème. Tribunes effondrées, le sang fut verser, partout dans le Colisée je ne sentais que mort et désolation, je quitte ce lieu sur le dos d'Ardeur sans chercher à me retourner une fois que j'ai su que le Duc avait quitté les lieux en lui servant de garde aérienne.
1er Novembre 1002, le Capitaine Lionel de Rivepierre m'a demandé de venir pour ma première mission, j'allais devoir me rendre à Lorgol pour réunir des informations sur les hommes et femmes provenant d'Outrevent qui sortent de l'académie et ceux qui vont à la caserne en tant que cadet pour devenir voltigeur ou chevaucheur qui viennent de notre duché question qu'il puisse savoir quel force en réserve nous pourrions avoir dans un avenir proche. Je sais que je ne dois pas le décevoir, c'est la première fois que l'on me confit une mission d'une telle importance. Je n'ai pas le droit à l'erreur, alors je prends Ardeur pour chevaucher plus rapidement jusqu'à la frontière et une fois arrivée, je loue un cheval pour faire les kilomètres restant à une vitesse des plus soutenues, je me reposerais une fois cette mission mener à bien.