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Les Chevaucheurs Bertin Vif-Envol Messages : 2689 J'ai : 38 ans Je suis : Chevaucheur dans le Vol de Lorgol, mage de l'Hiver (protection) Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : FaërieMes autres visages: Zacharie de Sombrétoile | Sujet: Bertin Vif-Envol Lun 13 Nov 2017 - 4:15 | |
| Maître de mon destin Chevaucheurs
️Atayra |
Bertin
Vif-Envol
ft. Michiel Huisman
« Take my love, take my land Take me where I cannot stand I don’t care, I’m still free You can’t take the sky from me » |
En bref
️Atayra |
Âge : 37 ans Date et lieu de naissance : 2 avril 966, à Port-Liberté (Ansemer) Statut/profession : Chevaucheur de la dragonne Ambroisie (vol de Citrine), mage de l’Hiver (protection), instructeur à la Caserne de Flamme Allégeance : À Faërie, principalement à Ansemer, même si les circonstances semblent indiquer le contraire. Dieux tutélaires : Il a été place sous Messaion à sa naissance, mais n’a jamais trouvé réconfort en songeant au Dieu des mers.
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Parfois, il est possible de se demander comment il est parvenu à se faire sa place chez les chevaucheurs… Loin d’être incapable, parfois même appliqué, efficace, il a la réputation d’être un véritable procrastinateur. Il a cette tendance à tout remettre au lendemain. Lorsqu’il s’attaque enfin à une tâche, c’est généralement sans motivation. Les années lui ont appris à le cacher davantage qu’au temps de sa jeunesse, mais il n’en reste pas moins qu’il n’a jamais trouvé les menues tâches de sa vie quotidienne intéressantes. Nombreux sont ceux qui lui ont reproché sa nonchalance. Bertin est un homme impatient et obstiné. Plusieurs diront aussi qu’il tolère mal la critique. À ses yeux cependant ce n’est pas la critique qui l’insupporte, mais les jugements gratuits. Il a trouvé sa voie et ne compte pas s’en laisser détourner, surtout pas pour plaire à des gens qu’il ne connait pas. Indomptable jusqu’au bout des doigts, et ce depuis toujours.
Doué avec les mots, les gestes qui mettent les autres à l’aise, il est d’un naturel affable, charmeur même, particulièrement avec les jolies dames. Ceux et celles qui prennent le temps d’apprendre à le connaître et à voir au-delà de ses défauts le décrivent comme un être compréhensif et ouvert d’esprit. Malgré la réputation qu’il vient de gagner, ses amis connaissent sa loyauté et savent qu’ils peuvent compter sur lui. C’est un homme chaleureux, attentif et discret particulièrement avec ceux qu’il apprécie.
| Caractère
️Atayra |
Derrière l'écran Dans la vie, je m'appelle Martine et j'ai 31 ans. Sur le Net, on m'appelle plutôt Atayra. J'ai découvert le forum via une recherche Google qui m’a menée à l’annuaire forumactif, puis à Arven et voici ce que j'en pense : Arven est un chouette forum. La communauté est super et la qualité du RP rend jouer particulièrement agréable. Histoire Fin mars 966, le palais ducal, Port-Liberté. Le voyage auquel le duc d’Ansemer devait prendre part est repoussé de quelques jours. L’incertitude de la date exacte de départ ne fait qu’augmenter le nombre de va-et-vient au sein de la demeure alors que les derniers préparatifs s’étirent sur plusieurs jours et que tous attendent la naissance du second enfant que porte la duchesse. La naissance ne saurait tarder… 2 avril 966, le palais ducal, Port-Liberté. La maison est baignée dans le silence de l’attente. Les va-et-vient ont cessé. Tous sauf ceux du duc qui, arpentant le couloir, attend des nouvelles de sa femme et de leur enfant. Le travail a commencé pendant la nuit, si bien que la fatigue se mêle à présent à l’impatience et à l’inquiétude. Il ne tient plus en place. Puis, enfin, la délivrance, tant pour sa femme que pour lui-même. L’enfant est né, et tant la mère que le petit se portent bien. Le nom est choisi par le couple : Bertin. Prince Bertin d’Ansemer. Ça sonne bien. Quelques jours plus tard, c’est un duc heureux et comblé qui quitte le palais pour rejoindre le navire qui l’attend. Sa femme et ses enfants auront peut-être pu apercevoir son navire qui disparaissait à l’horizon sans se douter, bien sûr, que ce serait là le dernier regard porté vers celui qui fut mari et père. Le duc ne revint jamais, pris par la mer, sans doute… Occupée autant par son chagrin que par ses obligations de duchesse, sa mère n’a que peu de temps à leur consacrer. Bartholomé et Bertin grandissent donc sous la gouverne de nourrices et précepteurs chargés de donner l’éducation nécessaire aux deux jeunes princes qu’ils étaient. Le quotidien enfantin de Bertin s’est résumé à une série d’étrangers chargés de combler ses besoins immédiats et de le préparer à servir son duc, son frère. Il ne manquait de rien en grandissant, si ce n’était peut-être de la présence maternelle qu’aurait pu lui offrir celle qui lui a donné naissance si les circonstances avaient été meilleures… Mais la vie de duchesse n’offre que peu de temps pour la famille, et c’est donc vers son aîné, Bartholomé, qu’il s’est tourné pour découvrir les joies de la camaraderie familiale et, forcément aussi, les frustrations de la fratrie. Celles-ci se manifestaient régulièrement pendant les leçons auxquelles Bertin imposait sa présence au grand désespoir des précepteurs de l’aîné. Il était un enfant curieux, certes, mais seulement pour les sujets qui l’intéressaient. Hors Bartholomé étant l’héritier, il n’était pas surprenant de voir que ses sujets d’études ne concordaient pas forcément avec les intérêts son cadet. Les leçons d’Histoire ou de politique se trouvaient souvent interrompues par un petit frère borné qui refusait de suivre les directives des professeurs. À tous les coups, Bertin se voyait renvoyé auprès de sa nourrice qui ne manquait pas de le gronder. Pourtant, déjà à l’époque, il n’en faisait qu’à sa tête. Il ne voulait que jouer et s’amuser et refusait de comprendre que tous n’ont pas cette chance. Son comportement était fort peu approprié pour son rang, mais on y fermait à peu près les yeux lorsque sa mère n'était pas dans les environs pour le punir elle-même. La vraie punition, cependant, est venue lorsqu’il a été son tour de se plier à la volonté des précepteurs pour apprendre sensiblement les mêmes sujets que son aîné… Toutes ces leçons suivies à moitié, dont l’information était partiellement gravée dans sa tête, parfois un peu n’importe comment certes, mais dont il avait, songeait-il, les bases… Toutes ces leçons, il devait à présent les refaire. En entier. Sans rechigner s’il voulait éviter d’être sévèrement puni. « Tu as passé l’âge des sottises, Bertin ! Sois digne de ton rang, fais honneur à ton père ! » Oh, qu’il maudissait comment on osait utiliser le père qu’il n’avait jamais connu comme une menace ! Déjà peu discipliné, entêté au possible, ses combats constants contre ses précepteurs ont considérablement contribué à sa perte d’intérêt envers ses études. Il ne se plie plus aux leçons que contre son gré. Il apprend, certes, mais bien moins que ne l’auraient voulu les précepteurs qui croyaient fort en ses capacités si seulement il avait su trouver la motivation de trimer dur. Ou de trimer point. Le jeune prince se sentait incapable de s’enchaîner à son pupitre, à ces livres et ces parchemins qu’on lui faisait lire et mémoriser… Il préférait de loin les moments de liberté qu’il réussissait à voler ici et là, le plus souvent avec son frère pour courir sur les quais du palais, s’embarquant parfois à grands éclats de rire sur les Vivenefs accostées là. Ils en étaient toujours chassés, tôt ou tard, évidemment, mais c’était d’un plaisir ! Les années filant, cependant, ces moments ont gagné en rareté. Bartholomé était fort occupé avec ses propres devoirs et les navires et la mer qui les porte avaient perdu l’attrait enfantin qui y emmenait autrefois les deux frères. Ils rappelaient à Bertin le vide qu’il ressentait en songeant à son père surtout depuis qu’il avait appris – et compris – que son père y avait sans doute perdu la vie. Ou à tout le moins que c’est là qu’ils l’avaient perdu. Il s’ennuyait, Bertin. Même son lien très fort avec Bartholomé ne lui suffisait pas. Aussi accueillit-il l’apparition de sa magie au début 980 avec soulagement. Ce fut un choc de quitter son frère, son ami le plus intime, vers la fin de l’été 980 pour aller vivre à l’Académie et les premiers jours il ne put s’empêcher de s’inquiéter des années à venir si loin de sa famille. Pourtant, dès le départ, il trouve à l’Académie de nombreuses choses qui lui avaient manquées pendant son enfance sans qu’il n’en sache rien. La liberté que lui offrait l’Académie après les années d’austérité en Ansemer était agréable. Et que dire de celle, enivrante, que lui proposait Lorgol à chacune de ses visites ! Il se surprit à rêver d’une autre vie, emplit du désir d’une existence plus simple, plus libre que ce qui l’attendait à son retour… Il s’est efforcé de ne pas se laisser distraire de trop par ce sentiment qu’il découvrait. Il a trouvé dans ses études une ambition nouvelle, un but : protéger. Son frère, sa famille, ses amis. Ansemer. Faërie. Il ne savait pas exactement qui, ni quand. Ni même comment, à l’époque, mais il trouvait dans cette pensée une motivation, une attirance qui le poussaient à s’appliquer davantage dans ses études dans lesquelles il excella. De quoi rassurer sa mère qui était ravie de le voir enfin prendre son avenir en main. Ce qu’on ne lui disait pas, à l’époque, sans doute, c’était que la paresse de Bertin transparaissait jusqu’à l’Académie. Il faisait des efforts, s’appliquait dans la plupart de ses cours, si bien que ses maîtres pouvaient faire preuve d’indulgence à son égard lorsqu’il lui arrivait de commettre de mineurs écarts, mais on ne pouvait pas dire qu’il était un élève modèle. Il était simplement réellement doué pour cette magie qu’il chérissait. Déjà pourtant il était fort modeste sur ses capacités à la pratiquer. N’était-ce pas, après tout – selon ses propres dires du moins – la magie la plus facile à maîtriser ? C’est aussi pendant ses années à l’Académie qu’il découvre la compagnie des jeunes femmes de son âge. Oh, avec classe avouons-le, quelques mots échangés ici et là, les premiers bafouillis à une jeune fille qui l’intrigue, l’assurance gagnée au fil des années… Et, malgré tout, les premiers rejets, forcément. Sans sa mère pour lui rabrouer les oreilles sur les bonnes manières et les différentes classes sociales – surtout celle de son interlocutrice – il était libre de profiter, d’expérimenter… Et de vivre. Cette liberté nouvelle, même relative, l’enivrait. Cinq années n’avaient suffi qu’à éveiller en lui plus d’envies encore. L’idée de rentrer à la fin de son cursus à l’Académie, de retrouver le palais ducal à Port-Liberté avec ses responsabilités ne l’enchantait guère. Aussi, plutôt que de se résoudre à entreprendre le voyage de retour vers Ansemer à la fin de son cursus en 985 a-t-il laissé sa curiosité le guider vers Val-Dragon. Une impulsion peut-être, sans doute par suite d’une idée lancée à la blague par un camarade, songe-t-il à présent lorsqu’il y repense. À l’époque cependant, il ne pensait à rien en se présentant devant les dragons. Il s’attendait à être rejeté. S’en était presque un défi… qu’il a perdu puisqu’une dragonne du nom d’Ambroisie l’a choisi comme cavalier. Voilà qui a été une surprise pour tout le monde, y compris pour le principal concerné. Son séjour à Lorgol allait donc pouvoir se prolonger ! C’est avec des émotions mitigées qu’il s’est installé avec les autres cadets à la Caserne de Flamme, préférant de loin leur présence à la froideur d’un logement privé. Avec eux, il a entrepris d’étudier ce qu’il lui fallait savoir pour devenir Chevaucheurs puisque ce devait être sa destinée. Si l’Académie avait réussi à raviver un peu sa curiosité, sa passion pour l’apprentissage, l’effet s’était depuis estompé et il trouvait bon nombre de ses nouvelles leçons ennuyantes, ou embêtantes, c’est selon. Le tout au grand désespoir de ses instructeurs qui voyaient la qualité de son travail osciller, d’autant plus que sa dragonne n’était guère plus motivée à travailler que son cavalier. Malgré tout, les années qui ont suivi les révèlent comme une paire certes indisciplinée, mais dont la dynamique fonctionne bien. Si Bertin et Ambroisie ont maintes fois essuyé les remontrances des instructeurs, ça n’aura été que pour leur prouver qu’ils avaient tort et mieux performer au prochain exercice. Une question d’égo, peut-être. Et d’un désir naissant et pourtant profond déjà chez Bertin de servir Ansemer, Faërie avec leurs habiletés nouvellement acquises. Peu après son vingt-quatrième anniversaire, en 990, Bertin complète sa formation. Il est aussitôt posté en Ansemer à la caserne de Vivécume. C’est sourire aux lèvres, heureux d’être parvenu jusqu’au bout qu’il retrouve son duché natal. Il se serait volontiers installé à la caserne à l’époque pour conserver un semblant de liberté avec ses camarades. Une illusion que sa propre vie continuait, indépendante de la vie de noble qui lui était imposée. Il a dû partager son temps entre sa famille – il leur avait manqué, et ils lui avaient manqué aussi même s’il aurait eu du mal à le leur dire ouvertement – et ses compagnons à la caserne avec qui il cherchait à s’éclipser le plus souvent possible. C’était pour lui une façon de tenter de fuir les responsabilités princières qui étaient les siennes et dont il ne voulait pas. Celles de comte aussi, car Vivécume était son propre domaine – il en avait hérité des années plus tôt – qu’il lui fallait gérer. Il préférait de loin parcourir les cieux pour servir son duché que d’assister à une de ces interminables réceptions tenues par son frère, ou de passer des heures à s’ennuyer devant des rapports sur l’état de ses terres. Comme il l’a déjà dit à son frère : « Chacun sa façon de servir Ansemer, Bartholomé. Tu ne peux pas t’attendre à ce que je suive tes traces. Je ne suis pas toi. » Il faut dire que Bertin a toujours eu sa propre vision des choses et ses propres méthodes lorsqu’il est question d’Ansemer. Tandis que son aîné est immanquablement attiré par la mer, ce sont les cieux qui attirent le cadet. S’il apprécie parcourir les nappes d’eau qui bordent son duché, ce n’est que par la voie des airs, montant Ambroisie avec qui il chasse les pirates sans répit. Nombreux sont ceux qui ne comprennent pas son manque d’attrait pour la navigation, mais il est catégorique : il ne montera pas sur un bateau. Cela fait de lui un bien étrange prince du duché côtier, mais cela lui importe peu. D’ailleurs, s’il s’était soucié de l’avis des autres, il aurait accepté le poste de capitaine des Chevaucheurs d’Ansemer en 1001 lorsqu’il lui a été offert, mais le pouvoir ne l’intéresse pas, ni les responsabilités qui viennent avec le poste d’ailleurs. Que les gens le critiquent s’ils le veulent, le jugent même, sur ce sujet il n’en a rien à faire. Même son frère ne pourrait le convaincre du contraire. Surtout pas ces dernières années… Cela s’explique très simplement, même si aux yeux de Bertin la situation n’a absolument rien de simple, ce qui est particulièrement frustrant pour le trentenaire. Il peut comprendre, jusqu’à un point, que son frère soit malheureux dans son mariage. Il a été forcé à coup de sournoiserie à épouser une femme qu’il n’a sans doute jamais aimée, condamné à passer sa vie avec une duchesse qui ne suscite pas le moindre intérêt chez lui. Pourtant, selon Bertin, cela ne justifie en rien le rejet qu’il a imposé dès le départ à Jehanne. Peut-être son frère aurait-il pu être heureux avec elle s’il lui avait seulement laissé une chance de faire partie de sa vie. S’il l’avait respectée. Mais ça n’avait pas été le cas et, déjà dès les premières années suivant le mariage ducal, Bertin parvenait à voir l’état dans lequel le traitement de Bartholomé mettait son épouse. C’est dans l’espoir d’égayer la jeune femme qu’il s’est mis à lui rendre visite lors de ses passages à Port-Liberté. Ces visites, tout à fait amicales d’abord, se sont muées pourtant bientôt en rendez-vous intimes. Ces brefs moments de compassion, chaleureux instants volés à la monotonie de la vie au palais, ont fait naître en eux un amour qu’ils ne soupçonnaient ni l’un ni l’autre, contre lequel ils tentèrent peut-être de résister… avant de s’y abandonner et de le consumer en secret. Le fruit de leur amour naquit il y a sept ans, en 996, sans que personne ne se doute de quoi que ce soit. Une petite fille qui, dès sa naissance, sait tromper le duc et tous ses sujets et se faire reconnaître comme héritière du duché. Cette petite fille donc, que Bertin est condamné à traiter comme une nièce afin de protéger leur secret à tous les trois malgré ses propres désirs… Il en souffre chaque fois qu’il la voit. Son cœur se serre et il lui tarde toujours de réussir à trouver un peu de temps pour jouer avec elle. Il n’a jamais fait part de sa douleur à personne, sauf peut-être à Jehanne lorsqu’ils parviennent à voler un moment ensemble. Elle saurait, de toute façon. Elle le connait trop bien. Cette souffrance muette, cachée, est peut-être plus encore que le secret lui-même ce qui l’éloigne de son frère. Comment ne pas en vouloir à celui qui fait souffrir la femme qu’il aime, même s’il sait très bien qu’il n’a aucun avenir avec Jehanne ? Comment ne pas en vouloir à celui qui le prive de sa fille, de son propre sang ? Ils restent proches, les frères, en apparence. Ils se soutiennent et si Bertin refuse de s’impliquer dans la vie politique du duché, il n’en reste pas moins disponible pour en discuter avec Bartholomé. Ce sont toujours des discutions préférables à celles qui pourraient tourner autour de Jehanne ou, pire, des amantes passagères du duc. • Pendant le livre I : Bartholomé offre à Bertin le poste de capitaine. Celui-ci refuse. Pire encore peut-être, il démissionne de sa position de major et demande à être transféré à Port-Liberté sous prétexte de pouvoir ainsi mieux partager son temps entre la Chevauche, Vivécume et sa famille. Bertin assiste au Tournoi des Trois Opales avec sa famille. Il tente de ne pas montrer trop ouvertement ses attaches politiques pendant l’année, jugeant que cela serait mal vu comme Chevaucheur. Pourtant, il supporte la prise de pouvoir de Gustave comme Bartholomé. • Pendant le livre II : Aussi inquiet qu’il soit lorsque la guerre est déclarée, il est heureux de pouvoir rester à Port-Liberté pour veiller sur la sécurité d’Ansemer. Il y met du sien en l’absence de ses camarades partis au front, car c’est une des rares tâches qui lui tiennent à cœur. C’est du confort de sa chambre au palais ducal de Port-Liberté qu’il est touché par l’épidémie. Prudent, il n’a pas connu les dramatiques conséquences d’une surutilisation de sa magie. Il n’en est pas moins resté marqué par la perte de son lien avec Ambroisie qu’il a trouvé particulièrement difficile. La retrouver a été un soulagement et il craint le jour où elle pourrait le quitter définitivement. Rapidement remis de l’épidémie, il est envoyé sur le front de guerre lagran à l’automne. Il ne parle guère de son séjour là-bas et seule Jehanne peut-être sait à quel point ça a été un choc pour lui. ▬ TRAME ALTERNÉE (Intrigue 2.3 La Roue Brisée) → Bertin y était marié avec Jehanne et Bertille était leur fille légitime. Ils étaient heureux comme pas deux. Il s’est réveillé autour du 17 avril 1002. → Il a choisi de conserver ses souvenir. • Pendant le livre III : La trêve est comme un vent de délivrance pour Bertin. L’inquiétude au ventre, il se met en route vers Port-Liberté. Incapable de trouver le sommeil, complètement épuisé, il s’écroule sur les toits de la ville à son arrivée et est grièvement blessé. Heureusement pour lui, Quitterie le remet d’aplomb. Son début d’année est marqué par une convalescence trop longue et trop difficile à son goût, mais aussi par un merveilleux voyage à Vivécume avec Jehanne et Bertille. Une semaine de pur bonheur avec celles qu’il aime de tout son cœur. Une semaine aussi, apprendra-t-il plusieurs mois plus tard, aux lourdes conséquences. C’est qu’à la suite de leurs retrouvailles, Jehanne porte à nouveau son enfant. Lorsque Bartholomé l’apprend, Bertin tente tant bien que mal de contrôler les dommages. Cela semble fonctionner pour un temps, permettant à Bertin de se concentrer sur la remise sur pied de Vivécume qui a été pillé le 12 juin 1003 par les pirates de l’Audacia. La vérité explose sur le pont du navire « le Bertin » lors de son voyage inaugural. Les frères s’affrontent, les voix montent. Bertin perd ses titres, sa famille, et est banni d’Ansemer. Il s’installe à Lorgol à la fin août et devient instructeur à la caserne de Flamme peu après. C’est là qu’il tente de se remettre de la perte de sa famille et de leur enfant qui n’avait pourtant demandé qu’à naître. Questions Les dieux majeurs ont visiblement déserté le Panthéon. Es-tu croyant ? Qu'est-ce que cette disparition implique pour toi ?• Croyant ? On ne pourrait dire ça de Bertin. Il faut dire que croire après les derniers événements qui lui sont arrivés devient plutôt difficile. Il priait à l’occasion, Mirta par exemple, mais il n’a jamais participé activement aux cultes divins. Par manque d’intérêt. Et de croyance, sans doute. Cette disparition l’inquiète davantage pour le peuple en général et les conséquences que cela pourrait avoir sur l’ordre social que cela le touche personnellement. La Chasse Sauvage est libérée et arpente librement le continent. Qu'est-ce que cela t'inspire ?• Il est inquiet. Pour lui, pour sa famille dont il n’a que très peu de nouvelles. Pour ses amis et tous ses proches, vraiment. Il essaie d’oublier par moment pour ne pas se laisser emporter par ses doutes et ses peurs. Il a plus important à faire. Mais ça lui revient souvent et il ne peut que songer à ce qu’il adviendra d’Arven si les hommes ne parviennent pas à trouver comment arrêter la Chasse. Que penses-tu de Lorgol, la ville aux Mille Tours ? Est-ce que tu t'y promènes sereinement ou est-ce que la capitale des peuples libres t'oppresse ? • Lorgol avait toujours été signe de liberté, de bonheur. À présent, Lorgol est aussi signe d’exil. Mais c’est chez lui. Il y est à l’aise. Il ne s’enfoncerait sans doute pas dans les ruelles de la Ville Basse sans être un peu sur ses gardes, mais chaque balade dans sa nouvelle ville renouvelle son bonheur d’être libre. Puis, il faut avouer qu’il n’a guère plus rien de grande valeur à dérober. - Questions Livre II:
La Chasse Sauvage est libérée et arpente librement le continent. Qu'est-ce que cela t'inspire ? • Cela l’inquiète. Pas autant que la guerre, certes, mais à ses yeux ça n’augure rien de bon. Et du front il ne pourra rien faire pour protéger sa famille… Saura-t-il dormir calmement loin des siens ? Probablement pas. Le chevaucheur aura double raison d’arborer des traits tirés en ce début d’année.
Une trêve hivernale a été déclarée entre Ibélène et Faërie. Comment ton personnage voit-il la guerre entre les deux empires ? • Il déplore la guerre, d’une façon. Ce sacrifice humain, cette destruction, le trauma infligé aux hommes qui se battent pour Faërie – et celui des hommes de l’autre côté aussi, forcément – il ne peut pas dire que ça le réjouit, bien au contraire. Il supporte cependant pleinement la famille impériale dans l’histoire et sert avec diligence. Le front aura bien été un des rares endroits où on l’aura vu mettre réellement du sien dans ses tâches.
Que penses-tu de Lorgol, la ville aux Mille Tours ? Est-ce que tu t'y promènes sereinement ou est-ce que la capitale des peuples libres t'oppresse ? • Son sentiment n’a guère changé depuis. Il aime toujours Lorgol et cette liberté qu’elle lui inspire. Il n’y a pas vraiment mis les pieds depuis son départ de la Caserne de la Flamme, et n’a donc pas pu voir sa vision teintée par ce qui y a été vécu au cours des l’automne 1002. Heureusement pour lui, peut-être.
- Questions Livre I:
Ibélène a regagné les terres perdues pendant la guerre et en a même regagné de nouvelles. Le conflit a donc pris un nouveau tournant en faveurs des Ibéens, en es-tu satisfait ? • Il a beau être nonchalant et procrastinateur, Bertin est fidèle à son duché et à son royaume. Ce nouveau développement ne lui plait pas, et il suit les progrès de la guerre attentivement, prêt à servir lorsque l’appel viendra même si pour le moment Ansemer a été épargné.
L'épidémie d'il y a quelques semaines a eu pour conséquence la révélation de nombreux mages, quel que soit leur royaume d'appartenance. Que penses-tu de cet état de fait, trouves-tu que l'Ordre du Jugement a eu raison de les exposer ainsi à la vue de tous ? • Non. Il a beau y réfléchir, il ne peut être d’accord. Surtout pas vu les conséquences que les actions de l’Ordre ont eu sur les mages, et sur Faërie. En fait, il l’a toujours un peu de travers à ce jour.
Que penses-tu de Lorgol, la ville aux Mille Tours ? Est-ce que tu t'y promènes sereinement ou est-ce que la capitale des peuples libres t'oppresse ? • Bertin a toujours apprécié Lorgol. C’est là où il a goûté à sa première liberté, même relative. Il s’y sent bien. Pas autant que dans les cieux, certes, mais il y retournerait volontiers s’il en avait la chance.
Quand son rang le rattrape au front… Bertin d’Ansemer & Lauriane de Faërie 8 novembre 1002 C’était il y a quelques jours déjà. Une missive reçue, inattendue bien que pas particulièrement surprenante, doit-il admettre. Il aurait été bien vain d’espérer que sa présence en Lagrance ne soit pas connue, bien qu’il s’y soit laissé prendre pendant un temps. Ici, il voulait n’être qu’un chevaucheur participant aux efforts de la guerre, comme les autres et, concentré sur ses tâches, il avait cru y parvenir. Puis était arrivée cette missive, donc, qui le ramena à la réalité. Il ne lui fallut guère de temps pour reconnaître le sceau qui scellait la lettre. Il s’était retiré – enfin autant qu’il est possible de le faire au front – dès qu’il avait pu pour la lire. La note était sans équivoque. Il allait devoir quitter le front, du moins temporairement. Commencèrent dès lors les démarches pour obtenir quelques jours de congé. Ce fut rapidement réglé : on ne fait pas attendre l’Impératrice, après tout. Si bien qu’à l’approche du jour prévu, le 8 novembre, il se prépara. Il n’avait guère apporté de tenue appropriée pour rencontrer l’Impératrice lorsqu’il avait quitté Ansemer, mais il sélectionna les meilleurs habits qu’il ait sous la main et les fit aussi propres qu’il en eu la patience. Il fit de la même chose avec sa personne, refusant tout de même de se présenter devant l’impératrice avec le parfum du front collé à la peau. C’est donc un Bertin à peu près présentable qui quitta les lignes de combat avec Ambroisie pour se diriger vers Edenia ce matin-là. Il se laissa surprendre une nouvelle fois pas la beauté du duché de Lagrance. Vu à vol de dragon, il ne peut que se laisser surprendre par les jardins qu’il survole. Ce n’est sans doute pas la meilleure des saisons pour admirer la flore locale, mais il ne peut s’empêcher de songer à Jehanne, et à quel point il voudrait pouvoir lui offrir cette vue. Il sait bien que c’est impossible, que ça n’arrivera jamais, mais peut-être lui mentionnera-t-il à quel point il a pensé à elle pendant ce vol dans la prochaine lettre qu’il lui adressera. Il aurait pu atterrir directement au palais, comme on aurait pu s’y attendre, mais il s’est assuré d’avoir un peu de temps pour lui-même avant le retour imposé à la vie de cour en planifiant son voyage, si bien qu’il préférera se poser à la caserne et parcourir la ville à pied ensuite. Une idée lui est venue pendant son vol jusque-là, et c’est avec un sourire aux lèvres qu’il arpentera les rues, entrant çà et là dans quelques boutiques dont il découvre les inventaires. Il ressortira quelques fois avec de petits paquets qu’il glisse dans ses poches ou son petit sac de voyage. Lorsqu’il estima qu’il était temps pour lui de se rendre au palais, il se mis enfin en route vers l’inévitable. Il se présente donc au palais ducal quelques temps plus tard avec les cheveux en bataille et un air fatigué que la détente de cette promenade n’a pas chassé de ses traits. Il est certainement quelques minutes en retard pour son entretien avec l’Impératrice, chose qui ne semble pas l’inquiéter outre mesure vu son pas calme et le petit sourire qu’il affiche lorsqu’il se présentera enfin devant elle. « Impératrice Lauriane. » Il s’incline respectueusement devant elle pour la saluer. « Veuillez accepter mes excuses pour ce retard. J’ai perdu le cours du temps en visitant quelque peu Edenia dont j’avais tant entendu parler… »
Dernière édition par Bertin Vif-Envol le Mer 26 Déc 2018 - 17:50, édité 9 fois |
| | | Les Chevaucheurs Bertin Vif-Envol Messages : 2689 J'ai : 38 ans Je suis : Chevaucheur dans le Vol de Lorgol, mage de l'Hiver (protection) Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : FaërieMes autres visages: Zacharie de Sombrétoile | | | | Le Pavillon Noir Louis de Brunante Messages : 1179 J'ai : 33 ans Je suis : pirate sur l'Audacia, père de trois enfants Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Philippe JedidiahMes autres visages: Castiel • Octavius • Maelenn • Lionel • Matvei • Hermine | Sujet: Re: Bertin Vif-Envol Lun 13 Nov 2017 - 4:18 | |
| Bienvenue ici Quel bon choix de personnage ! Bertin a tellement de belles possibilités devant lui, tout le monde sera ravi d'accueillir le prince des Océans... surtout nos pirates Un camarade de jeu de plus ! Amuse-toi bien dans la rédaction de ta fiche |
| | | La Cour des Miracles • Admin Mélusine de Séverac Messages : 5858 J'ai : 34 ans Je suis : marquise de Sinsarelle, dame de Séverac, Voleuse de la Cour des Miracles Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Cour des MiraclesMes autres visages: Quitterie ♦ Ljöta ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade ♦ Chasteté | Sujet: Re: Bertin Vif-Envol Lun 13 Nov 2017 - 4:20 | |
| Et bienvenue officiellement ! J'espère que tu vas te plaire parmi nous ! Je te souhaite bon courage pour ta fiche - tu as un mois pour la terminer ! N'hésite pas à faire appel à ta marraine, tu as également la section Demandes et Questions à ta disposition en cas de besoin ! J'ai très hâte de découvrir Bertin sous ta plume. |
| | | La Noblesse Marjolaine du Lierre-Réal Messages : 984 J'ai : 28 ans Je suis : duchesse de Lagrance Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Denys, mon épouxMes autres visages: Séverine de Bellifère, Lancelot l'Adroit, Liry Mac Lir, Anwar Sinhaj et Antonin de Faërie | Sujet: Re: Bertin Vif-Envol Lun 13 Nov 2017 - 4:21 | |
| Bienvenue Bertin! C'est un excellent choix de personnage que tu as fait! J'avais hâte de découvrir quel personnage t'était tombé dans l'oeil! Je ne suis pas déçue! Bon courage pour le reste de ta fiche et amuse-toi bien parmi nous! |
| | | Les Mages Gabrielle de Faërie Messages : 1665 J'ai : 29 ans Je suis : Princesse impériale, mage du Printemps ; baronne du Ru-d'Argent Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Faërie et son peupleMes autres visages: Astarté des Sables • Agathe Martel • Sifaï Sinhaj • Tancélie le Sustain | | | | La Noblesse • Admin Alméïde de Sombreflamme Messages : 17441 J'ai : 33 ans Je suis : dame de Sombreciel et médecin Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Castiel, duc de Sombreciel, mon époux ; l'empire d'IbélèneMes autres visages: Ilse, Liselotte, Teagan | | | | La Confrérie Noire Aubrée de Sombregemme Messages : 2266 J'ai : 21 ans Je suis : Apprentie Assassin de la Lame Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Grâce de Séverac et à la Confrérie NoireMes autres visages: Rhapsodie & Octave | | | | La Confrérie Noire Gauthier Coeurbois Messages : 1185 J'ai : 45 ans Je suis : Adepte du Poison Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Confrérie NoireMes autres visages: Martial ; Jehanne ; Hector ; Meldred | | | | Les Voltigeurs Grâce de Séverac Messages : 5649 J'ai : 39 ans Je suis : Voltigeuse, major de la division d'Est d'Erebor, sigisbée de la cour d'Erebor, dame de Sombregemme, marquise d'Automnal Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Anthim, duc d'EreborMes autres visages: Astrée Aubétoile, Tristan d'Amar | | | | | | | | | Sujet: Re: Bertin Vif-Envol Lun 13 Nov 2017 - 13:49 | |
| Bienvenueeeeeeeee, j'aime beaucoup ce pv ! Courage pour ta fiche et j'ai grand hâte de te lire ! Message du petit Tim de mon tiroir : 'Dragon bedonnant et chevaucheur puant, qu'à cela ne tienne j'aurais mon content !'
Dernière édition par Richard le Harnois le Lun 13 Nov 2017 - 15:06, édité 1 fois |
| | | La Noblesse Denys du Lierre-Réal Messages : 6155 J'ai : 34 ans Je suis : le duc de Lagrance, marquis du Lierre-Réal Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Lagrance avant tout, à l'Ordre du Jugement et dans une moindre mesure à l'empire de FaërieMes autres visages: Hiémain ◊ Anthim ◊ Rackham ◊ Shahryar ◊ Nicolas | Sujet: Re: Bertin Vif-Envol Lun 13 Nov 2017 - 14:09 | |
| Oh Bertin Excellent choix de PV ! Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche |
| | | | | | | | Sujet: Re: Bertin Vif-Envol Lun 13 Nov 2017 - 20:06 | |
| Bonjour et bienvenue Le duché d'Ansemer est un tellement bon choix *se souvient quand le PV de Jehanne lui avait tapé dans l'oeil* Je vais pouvoir venir t'harceler pour améliorer les relations avec Ansemer maintenant !!Bon courage |
| | | Les Chevaucheurs Bertin Vif-Envol Messages : 2689 J'ai : 38 ans Je suis : Chevaucheur dans le Vol de Lorgol, mage de l'Hiver (protection) Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : FaërieMes autres visages: Zacharie de Sombrétoile | Sujet: Re: Bertin Vif-Envol Lun 13 Nov 2017 - 20:10 | |
| Avec un tel accueil, j'avoue que je ressens un peu de pression pour bien faire ! Je vais continuer de bosser sur la fiche (qui clairement n'est pas terminée, et a besoin de relecture également). Merci pour les bons mots en tout cas, ça motive ! |
| | | | | | | | | | | | | | | La Noblesse Gaëtane de la Volte Messages : 1645 J'ai : 34 ans Je suis : Duchesse de Cibella, mage du Printemps (entrave), membre de l'Ordre du Jugement (responsable de la chancellerie de Cibella) Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : À son duché Cibella et Faërie, à Gustave et Lauriane de Faërie, à l'Ordre du JugementMes autres visages: / | | | | Les Chevaucheurs Bertin Vif-Envol Messages : 2689 J'ai : 38 ans Je suis : Chevaucheur dans le Vol de Lorgol, mage de l'Hiver (protection) Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : FaërieMes autres visages: Zacharie de Sombrétoile | Sujet: Re: Bertin Vif-Envol Jeu 16 Nov 2017 - 7:02 | |
| Je dois encore relire pour corriger les coquilles et les phrases qui ne feraient pas sens suite à mes multiples tentatives pour certains paragraphes, mais je crois que ma fiche est terminée. Je dois encore répondre à la seconde question tout en bas, j'ai posté une demander d'information dans la section concernée pour tenter de mieux cerner ce qu'en pense le personnage. D'ici là s'il y a des choses qui clochent dans la fiche, ou qui doivent changer, n'hésitez pas à m'en glisser un mot. :) |
| | | Les Chevaucheurs Bertin Vif-Envol Messages : 2689 J'ai : 38 ans Je suis : Chevaucheur dans le Vol de Lorgol, mage de l'Hiver (protection) Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : FaërieMes autres visages: Zacharie de Sombrétoile | | | | Les Chevaucheurs Tristan d'Amar Messages : 4809 J'ai : 33 ans Je suis : Capitaine de Vol de l'Escadron de Chevaucheurs de Lagrance
Marquis d'Amar Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Fluctuante. S'il était fidèle à l'impératrice, il l'est nettement moins à l'empereur, bien qu'il se soit éloigné de Chimène de son vivant, par son attitude envers les mages du Sang. Il est malgré tout toujours fidèle à son duc, à son duché, et à Faërie.Mes autres visages: Grâce de Sombregemme | Sujet: Re: Bertin Vif-Envol Lun 20 Nov 2017 - 22:32 | |
| Coucou ! C’est moi, avec une Mélusine perchée sur l’épaule, qui vais m’occuper de ta fiche ! Rien à redire pour ton caractère et ton anecdote, c’est parfait ! Identité : C’est très bien, tu m’as beaucoup fait rire avec les Dieux tutélaires. xD Par contre, il manque celui qui lui a été attribué à la naissance ! A moins que ce soit Messaïon ? (Si oui, précise le ! ) Histoire : Oh le relou qui s’incruste aux cours de son frère ! C’est tout à fait ça ! Ooooh, ses émois amoureux, c’est super mignon ! J’aime beaucoup sa remarque à son frère, sur le fait de servir Ansemer, ça fait plus que le gamin rebelle, ça fait mature, réfléchi. On voulait s’assurer que pour la Roue Brisée, l’intrigue 2.3, c’était volontaire de ne pas en parler ? Y’a pas de souci si c’est le cas, mais on veut en être sûres ! Sinon c’est tout bon pour nous, ton test RP est parfait ! Ta fiche aussi ! Il faut juste que tu nous confirmes pour le Dieu tutélaire et l’intrigue 2.3, et ça sera tout bon pour nous ! Tu as vraiment très bien cerné Bertin, on est ravies que tu l’aies pris ! |Edit| Oh j'ai oublié, pour l'icône, c'est Delrya, pas Debrya Petite erreur sans conséquence |
| | | Les Chevaucheurs Bertin Vif-Envol Messages : 2689 J'ai : 38 ans Je suis : Chevaucheur dans le Vol de Lorgol, mage de l'Hiver (protection) Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : FaërieMes autres visages: Zacharie de Sombrétoile | | | | La Cour des Miracles • Admin Mélusine de Séverac Messages : 5858 J'ai : 34 ans Je suis : marquise de Sinsarelle, dame de Séverac, Voleuse de la Cour des Miracles Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Cour des MiraclesMes autres visages: Quitterie ♦ Ljöta ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade ♦ Chasteté | Sujet: Re: Bertin Vif-Envol Mar 21 Nov 2017 - 2:20 | |
| Faërie • Les Chevaucheurs Bienvenue ! Bertin d'Ansemer Bertin, ta fiche est une merveille. Tu as parfaitement compris le personnage et l'univers, c'est magnifique. Tristan t'a dit plus haut tout le bien que nous avons pensé de ta prose, j'ai très hâte de te voir évoluer en RP !
Tu peux dès à présent aller gambader gaiement parmi les dragonnets :
• Tu peux d'ailleurs commencer ta collection de cartes d'Omen ! Ta validation te donne droit à deux cartes communes. Et une troisième en bonus, pour l'excellence de ta fiche et le soin que tu as mis à fouiller les annexes, c'est vraiment remarquable ! Et une quatrième parce que tu as es un bb dragonnet hyper intégré dès le jour de ton arrivée, tout gai et jovial sur la CB, avec plein de questions intelligentes et une curiosité de l'univers fortement gratifiante à observer.
• Si tu souhaites participer à l'intrigue de la Chasse Sauvage, il te suffit de le signaler par MP au Destin : il t'ajoutera au topic de rédaction des Contes et Légendes pour ce chapitre ! Le prochain tour commence dimanche soir, mais ce sera le tour de clôture.
• C'est le moment d'aller faire les yeux doux aux autres dragonnets ! Ouvre vite ta fiche de liens et fais-toi plein de copains. Ou de pas-copains. Comme tu préfères.
• Nous te conseillons également vivement de tenir ta chronologie bien à jour : l'ubiquité reste encore à inventer, côté magie et côté science.
• N'hésite pas à nous faire part de la moindre demande ou question !
• Tu peux dès à présent poster un ou plusieurs scenarii - n'hésite pas à les construire avec d'autres membres pour cumuler les liens et décupler leur attractivité.
• Les dragonnets sont bavards. Viens flooder et passer tes soirées à refaire le monde sur la CB !
• Et enfin, n'oublie pas que le forum a besoin de toi pour être connu : tu peux voter pour Chroniques d'Arven toutes les deux heures et nous attirer encore plus de dragonnets !
Bon jeu à toi en Arven. Puisse le Destin te guider par la main sur ses tortueux chemins... |
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