AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot 6 Boosters Mascarade ...
Voir le deal

Partagez
 

 BRÛMAGIE, Eloïse

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Peuple
Peuple
Eloïse Brûmagie
Eloïse Brûmagie

Messages : 145
J'ai : 14 ans
Je suis : Voleuse - Orpheline à la rue

Feuille de personnage
J'ai fait allégeance à : Moi-même
Mes autres visages:
Message Sujet: BRÛMAGIE, Eloïse   BRÛMAGIE, Eloïse EmptyDim 7 Avr 2019 - 15:14

Chrono
-

Notes
- Changement sur l'âge, aura au moins 16 ans.
- Entrera à la Confrérie Noire en tant qu'apprentie assassin de la lame.
- Gardera contact avec la Cour, par le biais de son père entre autre.
- Revoir le rp avec Gauthier

Fiche
Maître de mon destin
Peuple




Éloïse

Brûmagie

ft. Sadie Sink


«- Cette petit peste d’Éloïse m'a encore volé du pain, si je la chope celle là...
- Mais oui, ça fait des semaines que tu dis ça et tu ne l'as jamais prise la main dans le sac. On s'ennuierait si on ne voyait pas sa tignasse rousse chaque jour.
- N'importe quoi...
- Tout le monde sait que tu laisses traîner le pain exprès, arrête donc de faire semblant et viens m'aider à ranger.
- Grmph ! Si je l’attrape ...»




En bref

Âge : 16 ans
Date et lieu de naissance : 12 Mars 984 à La Volte (Cibella)
Statut/profession : Apprentie Assassin de la Lame
Allégeance : La Confrérie Noire et sa famille
Dieux tutélaires : Aly, la flamboyante et Idril, la Vierge, puis la Sombre Mère



- Qualités : Inventive, secrète, fière, souriante, espiègle, réfléchie
- Défauts: Égoïste, insolente, rancunière, menteuse, inattentive, tête brûlée

Caractère


Derrière l'écran

Dans la vie, je m'appelle Jambreaker et j'ai 25 ans. Sur le Net, on m'appelle plutôt Jambreaker Web. J'ai découvert le forum via un site et une personne qui me l'a conseillé et voici ce que j'en pense : c'est beau, c'est bien fichu et la communauté est réactive et accueillante, ça fait plaisir !.
Pour les inventés : Je vous autorise à faire de mon personnage un scénario si mon compte était supprimé.  




Histoire

Histoire de la naissance à l'an 996 inclus

Des cris de douleur, des encouragements et des pleurs, suivit d’un grand cri. Une naissance et des larmes de soulagement, le bébé est en bonne santé et sa mère le cajole tandis que le père, en retrait, les regarde. La femme sait qu'ils ne formeront jamais une famille, mais elle est heureuse que l'homme soit tout de même présent. Elle donne le nom d'Eloïse à sa fille. Ce bonheur éphémère ne dure pas car la mère est terrassée par un mal inconnu et succombe le lendemain. Son corps n’a apparemment pas supporté l’accouchement et elle s’éteint dans le bras de celui qu’elle aimait. L’homme regarde l’enfant qui dort dans un panier non loin, emmitouflé dans des couvertures. Il ne souhaite pas élever cet enfant, il ne veut pas de cette vie, mais fera en sorte qu'elle ne manque de rien malgré tout, alors il fuit, donnant l’enfant à un couple d’amis de celle qui partageait son lit, leur faisant promettre qu’ils ne lui diront pas qu'ils ne sont pas ses parents. Il leur donne une somme d'argent pour que l'enfant soit à l'abri du besoin, puis disparaît.

Après ce jour, le couple n’entend plus jamais parler de lui en ville. Ils élèvent la fillette comme si elle était la leur et celle-ci ne se doute de rien malgré les différences physiques flagrantes. Elle est rousse alors que les deux sont bruns, elle a un faciès fin et doux alors que les deux sont plus carrés et durs. Même ses yeux sont différents, d’un bleu-vert clair atypique, mais jamais elle n’envisage de ne pas être la fille de ceux qui l’ont élevée. Elle vit dans un environnement aimant et chaleureux. Ses parents sont commerçants et s’ils ne sont pas très instruits, ils tentent tout de même de donner une éducation à Éloïse qui devient rapidement très capable d’utiliser les chiffres et de comprendre la valeur de l’argent et les nombreuses possibilités que celui-ci offre à tout le monde, bien qu'écrire et lire soit pour elle une activité très difficile qu'elle abandonne bien vite. A l’âge de huit ans, elle comprend également que sa famille, si elle n’est pas pauvre, n’a pas toujours les moyens de vivre correctement, ses parents se privant parfois pour elle, achetant ce qu’il faut pour qu’elle soit vêtue et bien nourrie. Ces achats forcent parfois les parents à ne pas manger à leur faim et Éloïse se sent coupable malgré les paroles rassurantes de ses parents. Elle souhaite les aider et décide de travailler avec eux. S’ils refusent au début, l’entêtement légendaire de leur fille a raison d’eux et la fillette les force à lui donner un peu de travail pour les aider. Voyant qu’elle est volontaire et parfaitement heureuse de les aider, ils décident de la former petit à petit pour qu’elle soit capable, le cas échéant, de reprendre leur commerce ou de fonder le sien.

Éloïse ne rechigne pas mais elle n’a jamais souhaité devenir une commerçante. Elle rêve plutôt d’aventures et de voyages, se voyant découvrir des villes et contrées inconnues. Ses parents mettent ça sur le compte de sa jeunesse et de son imagination quelque fois débordante, mais la fillette ne se laisse pas tromper, elle ne sera jamais commerçante, elle n’est pas faite pour ça.


Pendant le livre I :

- Tes parents sont des incapables, alors n’essaie pas de me faire croire que tu es meilleure qu’eux, pouilleuse.

Ce qui avait commencé par un simple échange cordiale avec un voisin tourne en dispute violente auréolé d’insultes bien senti sans qu’Eloïse ne sache vraiment pourquoi. Elle était allée livrer quelques bricoles à un voisin de longue date et avait discuté un peu avec son fils, un garçon qu’elle côtoyait depuis ses huit ans. Puis le fils d’un commerçant d’une autre rue était arrivé avec ses amis et la situation avait rapidement dégénéré sans qu’Eloïse ne comprenne trop pourquoi. A croire que les cinq garçons qui étaient venus cherchaient juste la bagarre avec ceux de sa rue. Elle avait rapidement voulu calmer le jeu mais lorsque des amis de son voisin étaient venus en renfort, la situation avait échappée à toute tentative de conciliation et elle était restée en retrait. Elle est bien plus jeune que la plupart des garçons et ne voulait en aucun cas prendre un mauvais coup, mais lorsqu’elle veut défendre son voisin, l’insulte qu’elle reçoit l’énerve et elle bondit sur le garçon pour le gifler violemment avant de lui hurler des insanités au visage sous les regards plus que surpris de tous les autres. Son voisin et deux autres doivent alors la retenir avant qu’elle n’aille étriper elle-même celui qui a osé insulter sa famille. La querelle en reste là, quelques adultes ayant visiblement pris conscience que cela pouvait dégénérer viennent les disperser.

Éloïse rentre chez elle dans un état de rage inédit pour ses parents qui n’ont pas la moindre explication quant à son humeur massacrante. L’explication leur arrive trois jours plus tard lorsqu’ils apprennent que plusieurs enfants, dont leur fille, se sont battus contre un autre groupe d’enfants. Leur fille revient en pleine forme mais légèrement échevelée et leur explique, penaude, ce qu’il s’est passé. Sa mère lui fait promettre de ne pas recommencer mais quelques jours plus tard, celui qu’elle avait giflé la prend à parti et la menace avec un poignard qu’il a dérobé à ses parents. Éloïse fait la fière mais elle n’en mène pas large face à ce garçon plus grand et plus fort qu’elle. Alors elle le défit du regard et croise les bras, cachant dans le même temps ses mains qui tremblent légèrement. Son opposant est un peu surpris par la réaction de la fillette qu’il veut surtout effrayer pour lui montrer qu’il ést meilleur qu’elle, mais il s’énerve et l’attaque maladroitement, lui entaillant légèrement le bras et la faisant crier de douleur et de surprise. Voyant qu’il l'a réellement blessée, il prend la fuite en abandonnant son arme. Éloïse la ramasse et, en pleurs, se rend chez elle pour expliquer ce qu’il s’est passé à ses parents en leur montrant le poignard. Elle voit sa mère partir comme une furie chez les parents de son agresseur et le lendemain la famille reçoit des excuses de ces derniers et du fils qui a l’air d’avoir été copieusement réprimandé. Après cet incident les bagarres se calment et Eloïse garde le poignard dans un coin de sa chambre, personne n’ayant pensé à le récupérer.


Pendant le livre II :

L’année de ces douze ans, Éloïse est confrontée à une réalité qu’elle n’avait pas envisagée : la concurrence et la perte de clientèle de sa famille. Les revenus deviennent plus maigres que jamais et la famille souffre de la situation, devant parfois dormir le ventre vide pour ne pas que leur affaire coule purement et simplement. Voyant bien que les choses ne sont pas prêtes de s’arranger, Éloïse commence alors à beaucoup sortir sans dire à ses parents où elle se rend, avant parfois de rentrer avec de la nourriture fraîches ou du pain. Les parents l’interrogent bien évidemment mais elle se contente de dire qu’elle demande de l’aide à des passants et qu’ils lui donnent volontiers un peu d’argent avec lequel elle achète de quoi les aider. Bien sûr ils lui demandent d’arrêter de mendier ainsi mais elle s’obstine.

- Je veux vous aider et je ramène à manger, je ne vois pas où est le problème !

Comprenant qu’ils ne la feront pas changer d’avis, ils lui font promettre de ne rien faire de dangereux et elle promet, non sans avoir croisé les doigts derrière son dos. Ils ne savent pas et elle ne compte pas leur dire la vérité.

Mais son père, pas dupe, parvient à la suivre et découvre le pot aux roses quelques jours plus tard. Sa petite fille si gentille a commencé à faire du vol-à-la-tire et à prendre à manger sur certaines étales. Il rentre furieux et dès qu’elle rentre, lui assène une gifle monumentale avant de lui demander des explications. Quelque peu choquée par la première gifle de sa vie, Eloïse met quelques instants avant de réussir à se reprendre. S’ensuit alors une longue et violente dispute entre elle et son père, ce dernier lui interdisant de faire ce genre de choses de nouveau, ce à quoi elle répond que si elle ne le faisait pas, ils n’auraient parfois rien à manger.

- Je préfère encore dormir le ventre vide que manger quelque chose qui a été volé ! Je suis un honnête et fier commerçant, pas un vulgaire voleur !

- La fierté ne remplira pas nos assiettes ! Et si je ne me fais pas prendre, je ne vois pas où est le mal, on n’a pas le choix !

- Je t’interdis formellement de recommencer ! Nous ne t’avons pas élevé comme ça !

- Et bien moi j’ai faim ! Alors je continuerai ! Et si tu n’es pas content, tu n’as qu’à me mettre dehors, ça te fera des économies !

Blessé par les paroles de sa fille, le père interrompt la conversation en la giflant de nouveau. Mais la fillette n’en démord pas et continue ses rapines pendant les jours et semaines suivantes. Le père, puis la mère refusent tous les deux de consommer quoi que ce soit des produits qu’elle ramène et leur relation devient plus froide que jamais, au point que certains soir, Eloïse préfère dormir ailleurs que chez elle, ne voulant pas créer de nouvelles disputes stériles. L’éloignement progressif mais de plus en plus fréquent de leur fille calme quelque peu le couple qui décide de ne plus tenter de dissuader Éloïse de voler et un soir, ils ont une longue discussion où Éloïse leur explique ses raisons.

- Je sais que vous détestez ça mais… je suis une charge, je le vois, vous vous êtes toujours privés pour moi alors je voulais vous aider… même si pour ça je devais voler. Je suis désolée, je ne voulais pas vous décevoir, simplement vous aider.

Ils arrivent à se mettre finalement d’accord : Éloïse ne volera plus, mais si jamais ils ont encore des problèmes, elle pourra les aider de toutes les façons possibles. Elle aime ses parents et ne veut pas qu’ils se sacrifient bêtement pour elle.

TRAME ALTERNÉE (Intrigue 2.3 La Roue Brisée)

→ Un réveil agréable dans un lit douillet alors qu'un chat ronronne contre ses jambes. Éloïse marmonne puis se lève en sursaut. Un lit douillet, un chat ? Elle ne connait pas cet endroit, où est-elle ? Elle se lève et s'habille avec des vêtements bien trop chers pour être les siens. Elle ne comprend pas lorsqu'elle sort et se rend compte qu'elle est à l'Académie des mages. Elle qui les déteste à cause de leur arrogance et de cette façon qu'ils ont de mépriser les gens comme elle, comment a-t-elle fait pour finir ici de tous les endroits possibles dans cette ville ? Déboussolée, elle ne se contrôle pas et une flamme jaillit devant elle, la faisant crier de peur et trébucher tandis qu'elle tente de se soustraire aux flammes, avant de se rendre compte que c'est elle qui les produit. Voilà qu’elle est une mage maintenant ? Elle entend des rires, elle se relève et s'enfuit, elle ne comprend pas ce qu'il lui arrive. Elle erre pendant un long moment avant d'être pris d'un doute, un doute horrible. Elle court aussi vite qu'elle le peut pour retrouver sa maison, mais de parfaits inconnus l’occupent à présent. Elle sanglote, elle n’a plus rien, elle ne comprend pas ce qu’il lui arrive, tout cela n’a pas de sens pour elle. Elle finit par être ramené à l'Académie par un inconnu et elle reste dans sa chambre pendant de longues semaines, refusant d'assister à quoi que ce soit. Elle reçoit même des lettres qu'elle n'ouvre pas. A quoi bon ? Elle ne sait pas lire. Puis la réalité reprend son cours normal et le soulagement est la seule chose dont se souvient Éloïse en se réveillant dans son abri de fortune.

→ De rage, elle décide d'oublier en maudissant ces foutus mages et leurs expériences.

Pendant le livre III :

L’année de ses treize ans devient stressante pour Éloïse. Les rumeurs de la Chasse sauvage effraient beaucoup la fillette qui parfois n’en dort pas, étant assaillie de cauchemars la faisant parfois hurler au milieu de la nuit si elle a eu le malheur d’entendre quoi que ce soit à ce sujet. Elle fatigue à vue d’œil et malgré l’insistance de ses parents, elle refuse de se reposer et continue à les aider et à trouver elle-même quelques pièces ou un peu de nourriture pour les mauvais jours. Cette situation précaire ne fait qu’empirer jusqu’à ce qu’Eloïse tombe finalement malade lorsque les premiers jours de froids arrivent. D’abord simple toux, le mal empire et elle se met à délirer à cause la fièvre et son entêtement n’arrange rien. Elle finit par s’effondrer alors qu’elle aidait sa mère à ranger des marchandises, s’écroulant soudainement. Elle reste alitée un long moment et ses parents craignent pour sa vie. Ils se concertent et utilisent finalement l’argent que le vrai père d’Eloïse leur a confié après la naissance de l’enfant. Ils avaient toujours refusé de se servir de cet argent sous le prétexte qu’ils pouvaient subvenir à ses besoins eux-mêmes et la rendre heureuse. Mais en voyant l’état de cette fillette qu’ils considèrent comme la leur, ils décident de laisser leur fierté de côté et de payer quelqu’un pour lui prodiguer les soins adéquats.

Eloïse se réveille deux semaines plus tard, dans une bonne santé relative. Elle est plus qu’étonnée en voyant quelqu’un s’occuper d’elle alors que ses parents n’ont clairement pas les moyens de s’offrir ce genre de services, même dans les meilleurs mois de l’année. Elle envisage beaucoup de choses, espérant qu’ils ne se soient pas endettés à cause d’elle. Lorsqu’enfin elle est autorisée à se lever et quelques jours plus tard, déclarée guérie, elle pose la question que ses tuteurs redoutaient.

- Où avez-vous eu l’argent pour payer quelqu’un pour me soigner ? Vous vous êtes endettés c’est ça ?  C’est ma faute c’est ça ?

Les deux adultes se regardent gênés et tandis que la femme va chercher quelque chose, son père, l’air las, s’assoit et décide de tout lui raconter en la rassurant tout d’abord, lui jurant qu’ils ne se sont pas endettés. L’homme entame son récit et est épaulé par sa femme qui l’a rejoint en tenant quelque chose cachée dans la main. La fillette n’arrive pas à y croire, elle crie et pleure beaucoup, refusant d’admettre la vérité. Mais la vérité s’abat sur elle et elle sait que ceux qui l’ont élevée ne lui mentirait jamais de cette façon. Sa mère finit par la convaincre en sortant un bijou magnifique. Une broche d’argent représentant une fleur au cœur fait d’un diamant jaune comme le soleil, et dont les pétales sont des rubis.

- Ceci était à ta mère, probablement offert par celui qui était ton père car elle n’aurait jamais pu acheter ce genre de choses. Il n’a pas souhaité le récupérer et je pense que tu es en droit de l’avoir à présent que tu as appris la vérité.

La main tremblante, Eloïse prend la broche et regarde ceux qu’elle pensait être ses parents. Elle leur en veut. Elle sait que c’est injuste, qu’ils ont toujours été gentils et aimants, mais elle leur en veut de lui avoir caché la vérité aussi longtemps. Et elle pense à ce père qui l’a abandonné et une certaine colère s’empare d’elle. Voyant que leur fille encaisse mal la nouvelle, ses parents adoptifs essaient de la rassurer.

- Nous savons que c’est dur, mais nous voulions simplement te protéger et ton père ne souhaitait pas que tu saches pour lui. La vérité n’est pas toujours bonne à entendre et… même si nous ne sommes pas tes vrais parents, tu es notre fille Éloïse, et nous t’aimons, je t’interdis d’en douter et…

- Où est-il ?

Les deux adultes se regardent tristement. Ils savaient qu’elle réagirait ainsi, qu’elle voudrait savoir où il est et probablement le retrouver.

- Nous ne savons pas vraiment. Ta mère nous a simplement raconté qu’elle l’avait rencontré à Lorgol, mais c’est tout.

La fillette prends un air déterminé et décide immédiatement de retrouver ce père qui l’a abandonné. Elle ne sait pas comment, ni même vraiment pourquoi, mais elle ne sera pas tranquille avant de lui avoir mis la main dessus. Elle rassure ses parents adoptifs en leur promettant de ne pas faire de choses idiotes. Mais deux jours plus tard, sa chambre est vide et ses effets personnels ont disparu. Elle n’a pas pu leur dire qu’elle les quittait, elle se sent coupable de les abandonner ainsi, mais elle ne peut pas supporter de vivre dans cet endroit qui n’a été qu’un mensonge pendant treize ans. Alors elle trouve un abri de fortune dans une vieille maison à peine entretenue. Elle se renseigne pour parti pour Lorgol et vole ce qu’il faut pour manger et entasser de l’argent pour payer le voyage. Elle n’a qu’une seule idée en tête, retrouver son père, coûte que coûte.



Chronologie

- 12 Mars 984, naissance d’Éloïse
- 13 mars 984, décès d'Evala, mère d’Éloïse, suivit par la fuite de son père, un certain Tyr
- 17 juin 1097, elle obtient sa dague suite à une altercation avec un garçon des rues qui voulait se venger.
- Septembre 999, elle tombe malade et s'effondre chez elle
- 16 Octobre 999, enfin rétablie elle apprend la vérité sur ses origines et quitte la maison familiale deux jours plus tard



Questions


Les dieux majeurs ont visiblement déserté le Panthéon. Es-tu croyant ? Qu'est-ce que cette disparition implique pour toi ?
Je n’ai jamais rien demandé ni reçu des dieux, leur disparition n’a rien changé à ma vie donc je m’en contrefiche éperdument. J’ai bien vu que les gens paniquaient, les imploraient encore et encore dans l’espoir de les voir revenir et de bénéficier de leur protection, mais je ne vois là qu’un manque cruel de foi en eux-mêmes. Les dieux ne dictent pas nos actions, nous nous forgeons nous-mêmes. Je n’ai jamais rien eu d’eux et pourtant je suis encore en vie. Certes ma vie n’a rien de merveilleuse et je me couche souvent le ventre vide et le corps meurtri, et alors ? Est-ce qu’un seul de ces dieux est venu à mon aide lorsqu’ils étaient encore au cœur de leur Panthéon ? Non, pas un, alors pourquoi serais-je triste ou angoissée de leur disparition ?
Tant mieux pour les autres s’ils reviennent, moi je n’en ai cure. Et si on me dit que la fin du monde est proche suite à leur disparition, je leur dirai simplement qu’au lieu de croire en une entité lointaine et intouchable ils feraient mieux de trouver eux-mêmes le moyen de survivre au lieu de se plaindre sans cesse.


La Chasse Sauvage est libérée et arpente librement le continent. Qu'est-ce que cela t'inspire ?
Honnêtement ? J’ai peur. Je ne suis pas une guerrière, je ne suis pas une mage puissante ou un seigneur protégée par une armée de soldat en armures rutilantes, je suis une enfant des rues et je ne suis pas courageuse. J'ai souvent peur car même si elle n'est pas à os portes, j’entends les conversations, j’entends les nouvelles, et cela me glace le sang. Lorsque j’entends des échos de ce qu’il se passe ailleurs, je n’en dors pas la nuit, m’imaginant être victime à mon tour… Alors j’ai peur et j’espère que quelqu’un, quelque part, y mettra un terme, et vite.

Que penses-tu de Lorgol, la ville aux Mille Tours ? Est-ce que tu t'y promènes sereinement ou est-ce que la capitale des peuples libres t'oppresse ?
Lorgol c’est… mon espoir. L’espoir de trouver mon père, l’espoir de pouvoir trouver ma voie, ma vie, même si elle passe par des ruelles sombres ou par des coupe-gorges. Alors la réputation de cette ville peut en faire trembler plus d’un, je le sais et je ne suis pas folle au point de me croire au-dessus de tous, mais je veux y tenter ma chance, je veux trouver ce que je cherche depuis tant d’années, ce pour quoi j’ai sué sang et sueur, littéralement.



La voleuse et l'assassin

Éloïse Brûmagie & Gauthier Coeurbois

05 Décembre 999


Début de soirée à la Volte, le ciel commence doucement à rosir et les commerçants s'efforcent de rentrer leurs marchandises tandis que le froid devient de plus en plus poignant, faisant grelotter la fillette à la tignasse rousse qui cours sur les pavés. Éloïse a froid et cela ne fait qu'empirer depuis le début de l'hiver. Les bourses se font rares et ses habits ne sont pas vraiment conçus pour résister des heures entières au vent parfois glacial qui s'engouffre entre les maisons et s'infiltre dans les moindres recoins de son abri de fortune. Elle a passé la journée dehors, ne réussissant qu'à voler un maigre bout de pain et quelques fruits, n'améliorant pas vraiment son humeur quelque peu massacrante depuis plusieurs jours. Elle est coincée ici depuis deux mois et cela l'énerve profondément, elle doit partir !

La journée s’achève donc pour Éloïse qui compte bien trouver une petite bourse ou de quoi se couvrir ce soir, cela devient plus qu'urgent, elle en a conscience. Elle coupe par une ruelle en espérant tomber plus rapidement sur des passants dans la rue suivantes et voit un fenêtre ouverte. Elle ralentit et s'arrête à quelques mètre, intriguée. Qui laisserait sa fenêtre ouverte juste avant la tombée de la nuit en plein mois de décembre ? Une idé lui vint, mais elle hésite. Jamais elle n'a osé rentrer chez quelqu'un pour voler quelque chose. Elle trouve que c'est dangereux et quue cela pourrait lui valoir bien plus d'ennuis que toutes ses rapines. Elle hésite un moment avant qu'un coup de vent ne la fasse frissonner, puis elle se décide enfin: elle a besoin de vêtements chauds et d'argent, elle se doit d'être audacieuse. Il lui reste une bonne heure avant le coucher du soleil, autant en profiter. Elle s’approche doucement de la fenêtre ouverte et ne voit personne. Elle tend l’oreille mais aucun bruit ne lui parvint. Elle grimpe avec agilité sur le rebord et se glisse à pas de loup dans la maison, veillant à ne pas toucher quoi que ce soit qui pourrait trahir sa présence. Elle observe un moment avant d’avancer prudemment, guettant le moindre mouvement. La pièce où elle est doit servir de pièce à vivre, il y a une grande table, des meubles pour ranger la vaisselle et quelques ornements qu’elle trouve franchement laid, mais qui doivent valoir leur pesant d’or si elle trouve quelqu’un pour les revendre, mais rien qui ne puisse lui servir dans l'immédiat.

Elle continue son exploration, délaissant l’escalier qui mène à l’étage pour approcher d’une ouverture menant à une autre pièce. En veillant à rester discrète, elle passe l’embrasure de la porte et se fige devant le spectacle qui s’offre à elle. Un homme est au sol, la bave aux lèvres, les yeux injectés de sang, probablement mort, tandis qu’un deuxième, vêtue d’un long manteau sombre et portant un masque, est penché au-dessus de lui et est en train de vraisemblablement vérifier son souffle pour voir s’il est bien mort. Éloïse tente de reculer mais cogne contre le mur, attirant soudainement l’attention de l’inconnu masqué qui relève vivement la tête vers elle. La fillette prend peur en voyant l’homme se relever et fait volte-face, traversant en trombe l’autre pièce et se jette par la fenêtre ouverte, roulant sur les pavés avant de s’enfuir à toutes jambes. Elle n’aurait jamais dû voir ça, elle le sait, mais elle ne pense qu’à une seule chose : fuir. Elle détale aussi vite qu’elle le peut parmi les ruelles, prenant des directions aléatoires pour semer le type au cas où il serait à sa poursuite. Pas une fois elle ne se retourne, elle a trop peur de le voir à ses trousses et préfère regarder droit devant elle, évitant avec une certaine aisance les rares passants ou les quelques obstacles qui se dressent sur sa route. Après ce qui lui paraît une éternité à courir, ses jambes deviennent lourdes, son souffle erratique, ses poumons la brûlent. Épuisée, elle s’arrête et constate que personne ne la suit. Elle a encore des sueurs froides, mais elle se sent soulagée. Elle s’adosse contre un mur et tente de reprendre son souffle, prenant de longues goulées d’air.

Elle reste ainsi quelques minutes, elle sent ses jambes et ses mains trembler et n’arrive pas à s’ôter la vue de cet homme et de son masque. Elle est prise de tremblements et ferme les yeux pour se calmer.

- Tout va bien, tout va bien, calme toi Eloïse, tu peux le faire.

Elle expire lentement et ouvre les yeux. Le masque, elle le voit toujours. Il l’a retrouvé ! Elle se lève en vitesse mais il la plaque contre le mur pour l'empêcher de fuir. Elle se fige, les yeux écarquillés. Elle tremble de tout son être, elle n’a jamais eu aussi peur de toute sa vie. L’homme ne dit rien, il se contente de l’observer tandis qu’elle sent des larmes lui monter aux yeux. Bizarrement il n’essaie pas de lui faire mal mais elle ne peut s’empêcher de trembler, elle n’est pas en état de réfléchir, elle est juste terrifiée.

- Je ne veux pas mourir… pitié… je ferais ce que vous voudrez…

Elle supplie en sanglotant. Elle n’avait jamais vraiment envisagé avoir à subir ce genre de choses et cela lui enlève toute force. Elle n’a aucune idée de quoi faire au moment présent.

- Je ne veux pas mourir…





Récapitulatif

Eloïse Brûmagie

Mise à jour des registres et bottins



♦ Sadie Sink
♦ Compte principal : Oui
♦ Groupes secondaires : Le Peuple




Dernière édition par Eloïse Brûmagie le Sam 15 Juin 2019 - 18:18, édité 8 fois
Revenir en haut Aller en bas
Peuple
Peuple
Eloïse Brûmagie
Eloïse Brûmagie

Messages : 145
J'ai : 14 ans
Je suis : Voleuse - Orpheline à la rue

Feuille de personnage
J'ai fait allégeance à : Moi-même
Mes autres visages:
Message Sujet: Re: BRÛMAGIE, Eloïse   BRÛMAGIE, Eloïse EmptyDim 7 Avr 2019 - 15:15

Liens

- Famille
Tyr Parle d'Or
Tara Mille-Visages

- Amis
Adonis le Lys

- Rencontres
Gauthier Coeurbois


Dernière édition par Eloïse Brûmagie le Dim 2 Juin 2019 - 21:50, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Peuple
Peuple
Eloïse Brûmagie
Eloïse Brûmagie

Messages : 145
J'ai : 14 ans
Je suis : Voleuse - Orpheline à la rue

Feuille de personnage
J'ai fait allégeance à : Moi-même
Mes autres visages:
Message Sujet: Re: BRÛMAGIE, Eloïse   BRÛMAGIE, Eloïse EmptyDim 7 Avr 2019 - 15:16

Questions utiles


- Quelle est la date limite pour finir la fiche ? Parce que ça dépend pas mal des rps en cours en fait :hm:
- C'est valable de caler les rps pour qu'ils se passent tous avant l'an 1000 pour entrer directement dans la Confrérie dès le reboot entamé ?


Dernière édition par Eloïse Brûmagie le Sam 15 Juin 2019 - 18:20, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
La Cour des Miracles • Admin
La Cour des Miracles • Admin
Mélusine de Séverac
Mélusine de Séverac

Messages : 5858
J'ai : 34 ans
Je suis : marquise de Sinsarelle, dame de Séverac, Voleuse de la Cour des Miracles

Feuille de personnage
J'ai fait allégeance à : la Cour des Miracles
Mes autres visages: Quitterie ♦ Ljöta ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade ♦ Chasteté
Message Sujet: Re: BRÛMAGIE, Eloïse   BRÛMAGIE, Eloïse EmptyDim 7 Avr 2019 - 15:27

Coucou !
Si tu veux un Familier, signale-le dans tes questions et je viendrai te faire des propositions ♥️
Revenir en haut Aller en bas
Peuple
Peuple
Eloïse Brûmagie
Eloïse Brûmagie

Messages : 145
J'ai : 14 ans
Je suis : Voleuse - Orpheline à la rue

Feuille de personnage
J'ai fait allégeance à : Moi-même
Mes autres visages:
Message Sujet: Re: BRÛMAGIE, Eloïse   BRÛMAGIE, Eloïse EmptyDim 7 Avr 2019 - 16:17

A priori pas plus de changements que les dates, seuls les liens vont peut-être évoluer :sisi:
Revenir en haut Aller en bas
La Cour des Miracles • Admin
La Cour des Miracles • Admin
Mélusine de Séverac
Mélusine de Séverac

Messages : 5858
J'ai : 34 ans
Je suis : marquise de Sinsarelle, dame de Séverac, Voleuse de la Cour des Miracles

Feuille de personnage
J'ai fait allégeance à : la Cour des Miracles
Mes autres visages: Quitterie ♦ Ljöta ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade ♦ Chasteté
Message Sujet: Re: BRÛMAGIE, Eloïse   BRÛMAGIE, Eloïse EmptyDim 7 Avr 2019 - 16:38

Bon, la mignonne n'a que 14 ans, je sais, mais as-tu déjà une idée de son orientation sexuelle ?
Si elle aime uniquement les messieurs, son Familier sera mâle.
Si elle aime uniquement les dames, son Familier sera femelle.
Si elle aime les deux, son Familier pourra être indifféremment l'un ou l'autre !
Revenir en haut Aller en bas
Peuple
Peuple
Eloïse Brûmagie
Eloïse Brûmagie

Messages : 145
J'ai : 14 ans
Je suis : Voleuse - Orpheline à la rue

Feuille de personnage
J'ai fait allégeance à : Moi-même
Mes autres visages:
Message Sujet: Re: BRÛMAGIE, Eloïse   BRÛMAGIE, Eloïse EmptyDim 7 Avr 2019 - 16:41

A priori c'est plutôt les messieurs pour la petit rousse :sisi:
Revenir en haut Aller en bas
La Cour des Miracles • Admin
La Cour des Miracles • Admin
Mélusine de Séverac
Mélusine de Séverac

Messages : 5858
J'ai : 34 ans
Je suis : marquise de Sinsarelle, dame de Séverac, Voleuse de la Cour des Miracles

Feuille de personnage
J'ai fait allégeance à : la Cour des Miracles
Mes autres visages: Quitterie ♦ Ljöta ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade ♦ Chasteté
Message Sujet: Re: BRÛMAGIE, Eloïse   BRÛMAGIE, Eloïse EmptyMar 9 Avr 2019 - 1:11

Mmm voyons voir... :hm:

- un ouistiti,
- un toucan,
- un raton-laveur,
- une marmotte,
- un hérisson.

Est-ce que cela te convient comme sélection ? :siwi:
Revenir en haut Aller en bas
Peuple
Peuple
Eloïse Brûmagie
Eloïse Brûmagie

Messages : 145
J'ai : 14 ans
Je suis : Voleuse - Orpheline à la rue

Feuille de personnage
J'ai fait allégeance à : Moi-même
Mes autres visages:
Message Sujet: Re: BRÛMAGIE, Eloïse   BRÛMAGIE, Eloïse EmptyMar 9 Avr 2019 - 11:44

Tellement fan des idées :oui:

Après une dure réflexion, je prendrai plutôt le toucan :haww:
J'ai longtemps hésité avec le ouistiti, mais le toucan c'est trop beau.

Merci :siwi:
Revenir en haut Aller en bas
La Cour des Miracles • Admin
La Cour des Miracles • Admin
Mélusine de Séverac
Mélusine de Séverac

Messages : 5858
J'ai : 34 ans
Je suis : marquise de Sinsarelle, dame de Séverac, Voleuse de la Cour des Miracles

Feuille de personnage
J'ai fait allégeance à : la Cour des Miracles
Mes autres visages: Quitterie ♦ Ljöta ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade ♦ Chasteté
Message Sujet: Re: BRÛMAGIE, Eloïse   BRÛMAGIE, Eloïse EmptyMar 9 Avr 2019 - 12:13

Il aura été rencontré à Lorgol du coup ! :hihi:
Revenir en haut Aller en bas
Peuple
Peuple
Eloïse Brûmagie
Eloïse Brûmagie

Messages : 145
J'ai : 14 ans
Je suis : Voleuse - Orpheline à la rue

Feuille de personnage
J'ai fait allégeance à : Moi-même
Mes autres visages:
Message Sujet: Re: BRÛMAGIE, Eloïse   BRÛMAGIE, Eloïse EmptyMar 9 Avr 2019 - 18:26

Je pense que oui, ce serait plus simple :hm:
je pensais rp la rencontre en solo histoire de réfléchir vraiment à comment je me retrouve avec un toucan sur l'épaule :haww:
Revenir en haut Aller en bas
La Noblesse • Admin
La Noblesse • Admin
Alméïde de Sombreflamme
Alméïde de Sombreflamme

Messages : 17441
J'ai : 33 ans
Je suis : dame de Sombreciel et médecin

Feuille de personnage
J'ai fait allégeance à : Castiel, duc de Sombreciel, mon époux ; l'empire d'Ibélène
Mes autres visages: Ilse, Liselotte, Teagan
Message Sujet: Re: BRÛMAGIE, Eloïse   BRÛMAGIE, Eloïse EmptyMar 4 Juin 2019 - 15:44

Coucou, nous voilà ! :cute:

Pour le moment, tout nous paraît très bien. :sisi:

N'hésite pas à éditer ton sous-titre si tu ajoutes des éléments et/ou si tu as des questions. :coeur:
Revenir en haut Aller en bas
La Noblesse • Admin
La Noblesse • Admin
Alméïde de Sombreflamme
Alméïde de Sombreflamme

Messages : 17441
J'ai : 33 ans
Je suis : dame de Sombreciel et médecin

Feuille de personnage
J'ai fait allégeance à : Castiel, duc de Sombreciel, mon époux ; l'empire d'Ibélène
Mes autres visages: Ilse, Liselotte, Teagan
Message Sujet: Re: BRÛMAGIE, Eloïse   BRÛMAGIE, Eloïse EmptySam 15 Juin 2019 - 17:48

Bonjour ma petite :haww:
Voici l'annexe sur la Cour ! (au cas où Eloïse en fait partie) N'hésite pas à venir nous voir si quelque chose n'est pas clair. :cute:
https://arven.forumactif.org/t4660-nom-de-code-apocalypse-elements-de-contexte#182151
Revenir en haut Aller en bas
La Noblesse • Admin
La Noblesse • Admin
Alméïde de Sombreflamme
Alméïde de Sombreflamme

Messages : 17441
J'ai : 33 ans
Je suis : dame de Sombreciel et médecin

Feuille de personnage
J'ai fait allégeance à : Castiel, duc de Sombreciel, mon époux ; l'empire d'Ibélène
Mes autres visages: Ilse, Liselotte, Teagan
Message Sujet: Re: BRÛMAGIE, Eloïse   BRÛMAGIE, Eloïse EmptyDim 23 Juin 2019 - 18:17

- Quelle est la date limite pour finir la fiche ? Parce que ça dépend pas mal des rps en cours en fait :hm:
Comme pour les MAJ anniversaire, tu auras du temps après la MAJ du reboot pour terminer ta fiche ! Cette MAJ aura lieu courant décembre, donc tu as le temps de voir venir. Et puis on ne va pas vous demander de terminer vos fiches alors que vous n'avez pas toutes les informations sous la main. :oui:

- C'est valable de caler les rps pour qu'ils se passent tous avant l'an 1000 pour entrer directement dans la Confrérie dès le reboot entamé ?
Alors en fait, tes RP auront tous lieu durant l'an 1004 jusqu'au reboot. Pour le moment, tu joues ton personnage actuel, tel qu'il est, dans la version actuelle. :coeur:
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

Message Sujet: Re: BRÛMAGIE, Eloïse   BRÛMAGIE, Eloïse Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
BRÛMAGIE, Eloïse
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Eloïse Brûmagie
» Eloïse Brûmagie
» Eloïse Brûmagie
» Eloïse Brûmagie
» Eloïse

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Arven :: Archives V18 :: Archives Pré-reboot :: À l'aventure ! :: Nos héros :: Capitales :: Fiches de présentation-
Sauter vers: