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 LIERRE-REAL (DU) Denys

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La Noblesse
La Noblesse
Denys du Lierre-Réal
Denys du Lierre-Réal

Messages : 6155
J'ai : 34 ans
Je suis : le duc de Lagrance, marquis du Lierre-Réal

Feuille de personnage
J'ai fait allégeance à : Lagrance avant tout, à l'Ordre du Jugement et dans une moindre mesure à l'empire de Faërie
Mes autres visages: Hiémain ◊ Anthim ◊ Rackham ◊ Shahryar ◊ Nicolas
Message Sujet: LIERRE-REAL (DU) Denys   LIERRE-REAL (DU) Denys EmptyMer 23 Oct 2019 - 18:24

Nouvelle chronologie (supposée)
- 2 septembre 966 - Naissance de Denys
- 978 ou 979 - Découverte de sa magie
- 987 - début 989 - Denys complote avec les familles nobles du duchés (de la Ronceraie, Blanc-Lys, etc).
- 4 février 989 - Mort de Cyselle, prise de pouvoir de Denys à l'âge de 23 ans
- 18 mai 990 - Mariage de Marjolaine et Denys
- Fin 990 - Début 991 : Naissance de Rose du Lierre-Réal (à rediscuter)
- 995 : Naissance de Raiponce du Lierre-Réal
- 996 : Naissance de Romarine du Lierre-Réal

Trucs qui changent :
-Denys est Accordé (à la puberté)
-Aura comploté pour faire tuer Cyselle, sa tante directe, et prendre sa place. Le tout aura eu l'air d'un accident, et étant l'héritier de celle-ci car elle n'avait pas d'enfant, il prend sa place.
-Marié à Marjolaine qui a comploté avec ses parents pour qu'il l'épouse. Il lui tiendra rancoeur un long moment mais reconnaît la finesse d'esprit de son épouse.
-N'est pas le duc le plus populaire auprès de son peuple, mais Marjolaine compense. La noblesse l'apprécie et il a su s'attirer le soutien de celle-ci.
-Le caractère de Denys va un peu évoluer même s'il reste sensiblement manipulateur, ambitieux, charmant et ouvert, il sera un poils plus cruel, en accord avec l'évolution qu'aura Lagrance :sisi:
-Lierre-Réal ne sera plus un marquisat mais un comté

Autre :
Familier : Crocodile (des marais) - femelle - Amaranthia

Maître de mon destin
Noblesse




Denys

du Lierre-Réal

ft. James McAvoy

« La Rose. La plus belle d'entre toutes les fleurs. Pureté et passion s'associent à la perfection dans la corole de ses pétales divinement doux. Mais sa beauté n'a d'égale que sa farouche stature, protégée par un écrin d'épines qu'il ne fait pas bon d'affronter. La Rose est la fleur préféré de Denys. Elle lui rappelle la force cachée derrière le masque de magnificence. Cette force que cache le peuple Lagran, de cela il en est certain. Quand le temps lui laisse l'occasion, il s'en va alors flâner jusqu'à la serre des roses attenante au palais ducal, laissant son esprit se perdre dans les fragrances sucrées et s'enivrer d'une beauté aussi cruelle que sauvage. La rose le suit en toute situation, témoin gracieux de son humeur de l'instant. A chaque aube qui se lève jusqu'au crépuscule tombant, Denys accompagne sa boutonnière d'une de ces merveilles dont la couleur change régulièrement. »




En bref

Âge : 34 ans
Date et lieu de naissance : Né le 2 septembre 969 sur les terres de Lierre-Réal en Lagrance.
Statut/profession : Duc de Lagrance et marquis du Lierre-Réal
Allégeance : Il offre avant tout son allégeance à Lagrance. Il est aussi profondément loyal à l'Ordre du Jugement. Bien entendu, il accorde aussi son allégeance à Faërie.
Dieux tutélaires : Denys a été placé sous la protection de Cerah à sa naissance, la déesse tutélaire de Lagrance. En grandissant, il s'est voué plus tard à Syned, prince des infidèles et des menteurs, et à Mirta, dame des plaisirs charnels. Depuis peu, il voue aussi ses prières à Sithis, gardien des morts, dont il porte la marque.


Obstiné - Jaloux - Diplomate - Charmeur - Désordonné - Adaptable - Calculateur - Égocentrique

Ah Denys..Denys. Peut-on seulement lui faire réellement confiance ? Quelqu'un le connaissant vraiment assurerait qu’il faut se méfier de ses tours et de ses coups. Car malgré tout le charme et les beaux sourires, les mots enjôleurs et les caresses cajoleuses, c’est un esprit avisé qui joue de calcul et de rouerie pour arriver à ses fins. Non qu’il soit mauvais, c’est un tort de le désigner ainsi, il est très certainement homme de peu de foi si ses intérêts s’en trouvent mit en danger.

Il faut se dire une chose, c’est que sous le masque d’un homme fin poète et au verbe gracieux, il est de ceux qui se complaisent dans leur égo. Vaniteux et orgueilleux, centré sur lui et ses propres projets. Si jamais ceux-ci devaient être mit en danger, ne doutez pas que l'esprit stratège du Duc s'éveillerait pour mieux tout contourner. Non qu’il se targue d’être le plus intelligent des homme, on ne peut retirer à Denys son talent d’adaptation et de réflexion rapide, au delà d'une légère tendance au désordre qui ne manque pas de lui faire perdre parfois du temps. Les problèmes trouvent toujours une solution, qu’elle soit faite de la bonne ou de la mauvaise manière. Et s’il s’agit d’user de coup bas pour mieux s’en tirer, soyez certain qu’il en fera sa première arme, non sans y avoir murement réfléchit.

Néanmoins, ne lui attribuons pas que des torts et des travers, il n’en mérite pas tant. Certes, c’est un terrible jaloux, point transporté jusqu’à la paranoïa, qui estime que ce qui est sa propriété ne doit à aucun moment sembler s’éloigner de lui. Triste constat d’ailleurs qu’il ne remarque pourtant pas que l’un de ses "biens" les plus précieux s’échappe à grand pas. Le charmant Denys, s’il se complet dans l'usage du verbe et des belles paroles pour endormir les coeurs et les soupçons, n’est pas forcément un hypocrite et un menteur. Soit, il n’est pas du genre à révéler ce qui le concerne et ce qui à ses yeux ne mérite pas d’être dit, mais l’homme se montre courtois et intentionné, voire bon camarade de conversation et plutôt ouvert si l’on ne s’attarde pas sur ses propres affaires. On lui remarquera néanmoins une certaine obstination, et si aucun sujet n’est réellement prompt à le fâcher, sachez que ses avis sont bien souvent tranchés et que tenter le faire virer de bord risque bien vite de se terminer par une forte irritation doublée d’un refus de finir la moindre conversation. A défaut de céder à la colère, son tempérament un peu brut de ce côté là aura pour simple résultat de le braquer.

Bien heureusement, il n’est pas vraiment rancunier. Ou du moins, ne l’est pas pour de pauvres futilités. C’est un diplomate, qui avant d’user des pires méthodes s’arrangera pour éviter les tristes conclusions. Même s’il ne rechigne pas totalement à utiliser les pires bassesses entourées des plus beaux secrets. Et encore, il n’est que la tête pensante, jamais il ne sera la main souillée. Par ailleurs, Denys estime que les mots et la réputation sont la meilleure arme et la pire faiblesse des Hommes… Sachez vous souvenir de cela, car lui pourrait ne rien ignorer de vous.

Caractère


Derrière l'écran

Dans la vie, je m'appelle Camille et j'ai 23 ans. Sur le Net, on m'appelle plutôt Panteraa/Biquette. J'ai découvert le forum via je suis de l'époque Dragonvale ! et voici ce que j'en pense : :coeur:.




Histoire

Aube qui perle sur le duvet des roses

Une rose est née, le second jour de septembre 969. Si belle et unique, mais désespérément solitaire dans son immense jardin…

Je m’en souviens encore comme si c’était hier. De ces beaux jardins de fleurs qui aux portes de l’automne se couvraient du voile du sommeil pour ne s’en réveiller que plus beau au lendemain de l’hiver. A chacun de mes anniversaires, alors que les beaux jours commençaient à faire tomber les premiers pétales et feuilles des merveilles vertes de Lagrance, j’avais droit à cette vision charmante et paisible. Après les chaleurs infernales, les récoltes incessantes et avant les inquiétudes causées par le froid, les manœuvres commerciales, cette période se révélait toujours douce et calme, comme le prélude avant la symphonie. Je suis né fils unique. Et je pense que les attentions poussées de ma mère envers moi pendant toute mon enfance ont forgé les traits de caractère qui me rendent un tantinet orgueilleux et assuré. Je n’étais, je crois, pas un enfant mauvais, ni trop capricieux ou turbulent, mais j’étais assez malin pour obtenir de tout le monde ce que je désirais le plus. Et par ailleurs, je ne manquais pas non plus de vouloir toujours attirer le regard ou devenir le préféré de chacun. Mon père était moins leste en ce qui concernait mon éducation, bien que lui non plus ne me priva de rien et surtout pas d’affection. Il se conduisit comme tout père devait se conduire, telle l’autorité paternelle, solide et ferme, là où la douceur maternelle n’était que trop gentillesse et souplesse.

Dans le si beau jardin, la reine des fleurs flétrie et se fane.

Je n’étais pas bien vieux quand c’est arrivé. Mais je l’étais assez pour comprendre les changements que cela impliquait et apprécier ceux qui me concernaient. Un point sans doute s’impose concernant ma famille. Peut être sommes nous dignes de critiques – même si je dois avouer ne pas les comprendre – mais la famille du Lierre-Réal a surtout su attirer sur elle la jalousie de ses contemporains pour le lien qu’elle entretenait avec les Ducs de Lagrance. Contrairement à ce que l’on veut bien croire, il n’a jamais été question d’opportunisme et de vanité derrière les services rendus à cette noble famille. Il était même surtout question d’amitié. Je ne nie pas qu’en effet, certains marquis du Lierre-Réal se soient fait remarqués pour des actions qui touchaient à la facilité pour s’attirer quelques bonnes grâces, mais depuis des siècles, nous soutenions les Ducs de Lagrance avec la plus farouche des loyautés et n’en déplaise aux autres. La tragédie qui toucha la Duchesse Cyselle n’apporta qu’une certaine consolation. Car si la famille du Lierre-Réal fut désignée comme légitime successeur au trône de Lagrance, nombreux furent les opposants et les détracteurs. Certains nous accusèrent même d’être à l’origine de la mort de la Duchesse, hélas pourtant d’une faible constitution. Aujourd’hui encore, malgré les années, le pouvoir de ma famille est dangereusement critiqué.

Quand Cyselle est morte et que ma famille prit la tête de Lagrance, j’étais encore un bien jeune garçon. Les changements furent quelques peu drastiques sur tout ce qui concerna mon éducation. Dauphin unique de la couronne, je n’étais plus tout à fait autorisé à me comporter comme je le souhaitais, et j’ai bien vite compris qu’il valait mieux pour moi consentir aux obligations que m’imposait mon père plutôt que de les combattre. Et puis, il y avait une certaine forme d’orgueil naissant à se fondre dans le rôle de l’héritier. Mieux j’accomplissais mes tâches et mes devoirs et plus j’étais libre à ma manière. Terrible, je l’étais devenu en grandissant. Pas nécessairement d’une mauvaise manière, mais mes talents à faire les yeux doux aux cuisinières pour obtenir d’elles des douceurs se muèrent vite pour convaincre à quelque chose de plus charnel. Invétéré courtisant de la gente féminine, j’attirais autant aussi bien les jupons de ses dames que leurs colères.

Frêne fleurissant au zénith

L’année de mes vingt-trois ans eut la terrible chance – ou malchance – d’être mémorable. Elle voyait venir en elle la mort de mon bien cher père et ma prise de pouvoir sur le trône de Lagrance à sa place. Même si j’avais depuis bien longtemps été préparé à cette optique, force m’étais de constater que j’avais grandement sous estimé à l’époque l’état du duché et de ma propre famille à sa tête. Père n’avait jamais tenu plus que ça à aborder le sujet, mais bien des fois nous avons, mère et moi, été les témoins des négligences et calomnies des autres familles de la noblesse Lagrane. Sans doute ces divergences d’opinion et ces luttes intestines stériles eurent raison de la santé de mon père, déjà affaiblit par de graves maladies qui empiétaient sur son état depuis plusieurs années. Notre situation délicate était donc la priorité de mon début de règne. Aussi fus-je condamné à prendre quelques décisions, loin des futilités qui parfois venaient gangréner mon esprit. Non que cela fut si terrible, mais mon insouciance de jadis était partie bien loin en peu de temps.

Si s’inviter dans les affaires internes de Lagrance fut une évidence, l’une de mes priorités fut de consolider sa position à l’échelle de l’Empire. Et même bien plus loin… Mon père avait su entretenir de très bonne relation avec Faërie, chose qui perdura sous mon commandement. Mais j’usais d’autres stratagèmes pour renforcer ma position et donner au peuple tranquillité et paix. Je pense pouvoir me targuer d’avoir conclu avec chacun des royaumes d’Ibélène et Faërie des alliances aussi positives que cordiales. Lagrance n’avait jamais représenté une force dangereuse ni ne s’était montré comme belliqueuse ou mauvaise. Le duché avait toujours été riche et généreux de ses récoltes et ressources et ce simple fait, mit sur les balances des négociations apporta au pays sa prospérité. Ce fut ce pour quoi j’oeuvrais toutes ces années, jusqu’à ce qu’une épine se plante violemment dans mon pied.

Iris et blanc Lys, bataille au crépuscule

La situation de ma famille resta sensiblement la même aux yeux de la noblesse : illégitime. Une constatation qui me vint à l’un des pires moments de ma vie. Ou l’un des meilleurs. J’ignore encore comment je dois le considérer. A cette époque, au cours de mes nombreux voyages au travers d’Arven pour renforcer la situation politique de Lagrance, je fis la rencontre de la charmante Mélusine de Séverac. Femme d’esprit, maligne et belle, une fleur unique et sauvage comme l’on avait rarement l’occasion d’en rencontrer. Je l’ai invité à séjourner au palais, ce qu’elle ne tarda pas à faire à mon grand plaisir. Je n’ai jamais été homme de foi et de fidélité auprès des femmes et pourtant, il y avait avec elle cette attirance et cette alchimie qui me poussa à rester dans ses bras quand elle m’y offrit une place. Je ne m’étendrais pas sur le sujet des sentiments et ce genre de chose, ce qui est arrivé par la suite brisa quelque peu toute relation entre nous, hélas. Mais je peux dire que Mélusine fut une femme inoubliable et même plus encore. Mon attachement pour elle demeure, malgré la déception que je trouve à lui reprocher. Une déception malheureusement née d’une réaction compréhensible, quoique peut-être extrême…

J’ai dit que la noblesse trouvait toujours à reprocher au Lierre-Réal la place qu’elle occupait désormais, et moi le premier fut la cible des complots. Fêtes officielles, bals, réceptions, pas une de ces situations ne fut épargnées par les détracteurs Lagrans, énervés et jaloux. Une décision s’imposa, quoique terrible à considérer. Oh elle ne le fut pas réellement, même si aujourd’hui, je ne nie pas qu’elle me pèse et me semble de piètre efficacité… le mariage. Une option que je n’avais pas envisagée à l’époque mais qui se présenta à mes yeux assez subitement quand la situation s’envenima. La relation entretenue avec Mélusine n’attirait guère le bon œil, surtout pas auprès de la noblesse. Aussi ai-je du mettre fin à celle-ci, annonçant mon désir de me marier, mais point avec elle. Un choix prit bien à contre cœur, où je n’ai jamais révélé à la principale concernée tous les tenants. Je lui reproche de ne pas avoir essayé de comprendre et d’être partie sans prévenir, mais je sais aussi que j’ai brisé son cœur et pour cela, je m’en veux terriblement.

J’ai cru pendant longtemps que la charmante Marjolaine saurait combler mon cœur. Elle était belle, une fleur aussi rare que pure, simple mais presque envoutante et magique. Lorsque je l’ai vu, qu’elle me fut présentée et que nous avons commencé à faire connaissance, j’ai rapidement jeté mon dévolu sur elle. Puis je l’ai choisi, oubliant toutes les autres prétendantes. Elle était noble, sa famille était puissante en Lagrance et mon mariage avec elle saurait surement calmer la haine des autres. C’est ce qui d’ailleurs arriva et me prouva combien ma stratégie avait su fonctionner. Du moins l’ai-je cru un bon moment… Je pensais pouvoir aimer Marjolaine, et d’ailleurs, je l’aime, d’une certaine manière. Mais ses bras ne savaient me retenir, son cœur et son esprit m’assagir et je suis bien rapidement retourné dans les bras d’une autre, et d’encore une autre, satisfaisant nombre de plaisirs et de sensations. Néanmoins, j’eus avec elle ma charmante et adorable fille, Rose, la plus belle des fleurs, la plus belle des enfants.

Une forme de calme s’est imposé ces dernières années. Lagrance jouit d’une certaine stabilité interne et de solides relations avec l’extérieur, bien que la venue d’une nouvelle impératrice chamboule quelque peu mes plans. Les tensions qui règnent entre les deux empires ne sont pas pour rassurer d’ailleurs… mais la jeune Chimène n’est peut être pas aussi naïve et inefficace que tout le monde semble le croire. Ma situation propre me semble toujours précaire, le regard des autres m’irrite et me fatigue, car quelque chose me fait penser que ma place n’est pas aussi assurée que celle des familles millénaires qui règnent sur les autres duchés. Une alliance et une amitié avec la nouvelle Impératrice pourraient m’assurer ma légitimité. C’est encore, ce qui aujourd’hui, peut me rassurer.

Pendant le livre I : Les choses ne sont pas allées en s'améliorant en Arven. Lors du couronnement de l'Impératrice Chimène, Denys s'est imposé comme défenseur de celle-ci face à Gustave de la Rive, quand bien même tous deux étaient-ils alliés de l'Ordre du Jugement. Le but premier était bien évidemment de profiter des faiblesses de Chimène, elle si facile à manipuler. Chose que Denys a plutôt bien réussi jusqu'aux évènements du Tournoi, où celle-ci, enlevée par l'Ordre, s'est décidée à fermer la porte à toutes les négociations en faveur des magies scellées, pour lesquelles le duc de Lagrance s'est battu lors du festival de l'Oraison. Offrant l'asile aux mages du sang clandestin, Denys s'est fait ami de ceux-ci, jusqu'à ce que Gustave de la Rive prenne finalement le pouvoir durant la Samhain en Outrevent. Un coup d'état bien évidemment prévu par le duc de Lagrance, ayant finalement participé à la monté de celui-ci sur le trône après avoir jugé que Chimène ne lui était guère utile. Partisan du nouvel empereur, tout semblait s'être profilé à merveille pour Denys. Pourtant celui-ci n'a pas manqué de mourir lors du Tournoi des Trois Opales, victime désignée dans le collimateur de la Confrérie Noire. Il ne doit sa survie qu'à ses talents de diplomate, beau parleur et à ses contacts puissants auprès de la Cour des Miracles. En échange de sa vie, Denys a rendu à la Confrérie les anciennes reliques de Lida et Sithis : Réalia et Calibourne. Mais le prix n'est pas sans conséquence, puisqu'il s'est retrouvé marqué par Sithis lui même et lié, d'une certaine manière, à la Confrérie Noire. Et si la nouvelle de la maternité de Marjolaine semble être une petite lumière agréable, rapprochant sensiblement Denys de son épouse si longtemps trompée, une ombre au tableau se dessine : la rumeur dit que l'enfant attendu n'est pas le sien. Il entretien le doute, Denys, car il a confiance en Marjolaine. Pourtant, il ne peut s'empêcher de se demander pourquoi... pourquoi cette rumeur est-elle née ?

Pendant le livre II : Très occupé par la guerre, Denys n'a cependant pas négligé son implication auprès de l'empereur et des mages du Sang. L'Ordre l'a aussi beaucoup sollicité et grâce à son aide, il a pu entrer en possession de documents importants de la couronne de Sombreciel, grâce à l'enlèvement et la torture d'Alméïde d'Erebor. Très touché et marqué par la Trame Alternée où il a trouvé la mort, Denys s'est néanmoins relevé plus fort et plus déterminé que jamais dans ses convictions auprès de l'Ordre. Même s'il déplore l'avancée continuelle de la Guerre et des nombreuses défaites rencontrées par Faërie lors de l'Epidémie, il a fait en sorte d'épargner au mieux son peuple en le faisant reculer du front, qui lui, n'a cessé d'avancer. De manière plus personnelle, Denys s'est beaucoup rapproché de son épouse, qu'il ne trompe plus. Il est très heureux aussi de la naissance d'une seconde héritière à la couronne de Lagrance : Raiponce. D'autre part, Denys a commencé à exploiter la marque de Sithis, découvrant que celle-ci n'est pas un simple serment le rattachant au dieu Sans-Visage.

TRAME ALTERNÉE (Intrigue 2.3 La Roue Brisée)
Denys de la trame alternée n'était pas duc ni même marié à Marjolaine. Au lieu de cela, il a vécu comme Marquis du Lierre-Réal, fidèle à Cyselle, sa duchesse, et son épouse Mélusine avec qui il a eut quatre enfants (Lys, Lilas, Lazare et Lothaire). Les choses ont commencé à se gâter lorsque Mélusine a retrouvé la mémoire, quittant le domaine avec fracas sans donner plus d'explication. Seul et prit d'incompréhension, Denys a reçu peu après la visite de son ami d'enfance, Mayeul, visiblement tout aussi déboussolé que Mélusine ne l'était. Si Denys ne le croit pas et le prend pour un fou, il a tenté malgré tout d'écouter son ami et son discours insensé. Finalement, ils partent à la rencontre de Mathilde, la soeur de Mayeul et proche amie de Denys, et c'est là bas qu'il finit par recouvrer la mémoire à son tour (le 19 avril au soir). Tout aussi surpris et perdu, il parvient néanmoins à mieux jouer le jeu que son compagnon, même s'ils décident qu'il vaut mieux partir pour Lorgol, là où se trouvent certainement leurs réponses. Le vrai Denys sait de toute façon qui est responsable de ce dérèglement, étant membre important de l'Ordre. Néanmoins, alors qu'ils s'apprêtent à partir pour la cité des Milles Tours, Denys décide de faire un détour vers Edenia pour y voir Cyselle. De cette rencontre découlera bien des changements.

Définitivement partis pour Lorgol, Denys évite de rester trop longtemps dans le camp des réfugiés même s'il y revient régulièrement. C'est le 26 mai qu'arrive un tragique événement : sa propre mort, assassiné par Castiel de Sombreflamme, sous les yeux de son épouse Marjolaine qu'il venait à peine de retrouver. Malgré le choc et l'horreur de cet événement, Denys a décidé de conserver ses souvenirs, prit d'une rancoeur forte pour celui qu'il considérait comme un ami et qui l'a tué.

Pendant le livre III : Les choses ont été un peu compliquées pour Denys dès ce début d’années. Les actes répréhensibles de l’Ordre l’inquiète de plus en plus et il sait que cela ne peut durer ainsi, l’avis que les gens se font de l’Ordre est de plus en plus catastrophique. C’est pour l’une de ces raisons qu’il rejoint Mélusine tout début janvier à Lorgol, à la demande de celle-ci. Il lui révèle des connaissances qu’il a sur la Rose, et aussi ses inquiétudes sur l’Ordre qu’il sait divisé entre une faction modérée qui ne cherche qu’à instaurer une liberté à travers les Magies et Savoirs perdus (dont il fait parti), et une faction extrémiste, source des nombreux incidents survenus au cours de l’année.
En parallèle, il doit s’occuper de son duché, et Lagrance prospère malgré la guerre qui demeure. S’il est pour la trêve entre les deux empires, Denys s’interroge néanmoins sur les intentions de l’empereur derrière celle-ci. Plus encore lorsque l’échéance est arrivée et qu’aucun ordre ne fut donné, alors même qu’Ibélène se retrouvait affaibli par la sécession d’Erebor. Des interrogations qui grandissent avec les mois qui passent et le silence persistant de Gustave. A l’occasion d’une visite en Ansemer, il se confie d’ailleurs à son homologue, Bartholomé, qui partage les mêmes inquiétudes. Il espère pouvoir s’entretenir assez vite avec l’empereur pour tirer cette affaire au clair.
De manière générale, les choses vont bien pour Denys et Lagrance. Il noue une alliance avec Erebor, devenu un sultanat, et renforce aussi ses amitiés avec les différents duchés de Faërie. Il assiste néanmoins au jugement de Jehanne d’Ansemer, proche amie et lagrane, accusée de trahison et adultère. Il ne pourra malheureusement pas lui venir en aide, ne souhaitant pas risquer son alliance avec Bartholomé qui est bien plus précieuse pour son duché. Il est heureux de savoir son épouse à nouveau enceinte, peu après avoir fêté avec elle ses dix ans de mariage.
Parlant mariage, Denys assistera à celui de Faustine et Lionel de Rivepierre, où seront attrapés Martial de Bellifère et son épouse à leur sortie de la Chasse. Il assistera aussi à l’union de Liam d’Outrevent avec Chimène au mois de septembre, en même temps que le mariage de Tristan d’Amar et Armandine. Mais le mariage qui fera le plus parler de lui est sans doute celui du duc d’Ansemer, peu après le bannissement de sa précédente épouse. Un événement imprévu qui tournera rapidement au cauchemar pour l’entièreté de la noblesse Faë. Sous le charme d’une Accordée, Denys sera, comme Bartholomé, envouté et oubliera pendant de longs instants sa propre épouse et sa petite Rose. Heureusement, lui et sa famille sortiront sain et sauf de ce triste événement. Denys déplorera d’ailleurs énormément l’image qu’à renvoyé celui-ci sur les Accordés, et malgré une certaine méfiance, le duc ne fera ni cesser la musique chez lui, ni n’oubliera ses convictions à l’encontre de ces magies bannies. Il compte bien, par tous les moyens, entrer en contact avec des Accordés pour les inviter en Lagrance.
L’année se termine bien mal pour l’entièreté d’Arven et Denys n’y échappe pas. Il entendra bien évidemment parler des horribles événements survenus à l’Académie, mais craindra plus encore la disparition des dieux du continent. Celle de Cerah touche particulièrement son duché, et celle de Sithis le perturbe personnellement. A ce sujet malheureusement, il n’est pas en mesure d’agir, et peut-être qu’au final, même sans les dieux, l’humanité peut s’en sortir ? N’est-ce pas là aussi une forme de liberté ?

Chronologie

2 septembre 969 • Naissance de Denys, fils unique de Vianney et Elise du Lierre-Réal
8 novembre 980 • Mort de Cyselle, duchesse de Lagrance, les du Lierre-Réal montent sur le trône.
4 février 992 • Décès de Vianney du Lierre-Réal, père de Denys et duc de Lagrance. Son fils est couronné peu de temps après. Elise du Lierre-Réal meurt quelques mois plus tard.
18 mai 993 • Mariage de Denys avec Marjolaine, fille du comte de Blanc-Lys
15 septembre 997 • Naissance de Rose du Lierre-Réal, fille de Denys et Marjolaine, héritière de Lagrance.
24 juin au 10 juillet 1001 • Assiste au couronnement de Chimène et se tient de son côté face à Gustave.
14 septembre au 30 septembre 1001 • Tournoi des Trois Opales, Denys y assiste comme spectateur. La Championne qu’il à choisi, Maelys Aigrépine, remporte l’opale de feu lors du premier tour. Le second jour, il échappe à une tentative d'assassinat de la Confrérie Noire en négociant avec celle-ci. Il sera marqué par Sithis.
31 octobre au 5 novembre 1001 • Invité pour célébrer la Samhain en Outrevent, Denys est pris en otage comme les autres nobles invités par Gustave de la Rive qui capture Chimène et la force à abdiquer. Sans l’ombre d’une hésitation - et connaissant les plans du nouvel empereur par ses liens avec l'Ordre - il jure fidélité à Gustave.
1er mars 1002 • Aide à sauver Mélusine de Sylvamir en se débarrassant du rosier diaprée dans les jardins du palais d’Edenia, à la demande d’Alméïde. Envoie celle-ci, à son insu, entre les mains de l’Ordre. Denys gagnera un peu plus d’influence auprès de celui-ci.
19 avril au 1er juin 1002 • Trame alternée
21 juin 1002 • Naissance de Raiponce, seconde fille du couple ducal. Gabrielle de la Volte est désignée pour être sa marraine.
6 août 1002 • L'Epidémie magique touche l'entièreté d'Arven. Par ses contacts dans l'Ordre et ayant senti le vent tourner, Denys a organisé tant bien que mal la retraite de ses armées et des habitants Lagrans à côté de la frontière Ibéenne.
8 janvier 1003 • Rencontre avec Mélusine de Sylvamir et échange avec elle à propos de l’Ordre et la Rose. Au terme de leur discussion, ils conviennent tout le deux d’une ébauche d’alliance entre le parti mesuré de l’Ordre et les Epines restantes, dans le but de défaire les agents extrémistes de l’Ordre.
22 août 1003 • Denys assiste au jugement de Jehanne d'Ansemer, condamnée et bannie du duché pour avoir trompé et trahi son époux.
30 septembre 1003 • Invité au mariage surprise de Bartholomé d'Ansemer, il sera envouté par une Accordée nommée Morgane, oubliant sa famille et n'ayant d'yeux que pour elle.



Questions


Les dieux majeurs ont visiblement déserté le Panthéon. Es-tu croyant ? Qu'est-ce que cette disparition implique pour toi ?
• Denys croit en la présence des dieux et avec son expérience personnelle, il serait bien idiot de l'ignorer. Il serait aussi mentir que de dire qu'il ne ressent en aucune façon leur disparition, ni que cela ne l'inquiète pas. Son duché en souffre d'une certaine manière et il n'est pas le seul impacté. Il est certain que les dieux ont de l'influence, mais en même temps, ne serait-ce pas un moyen de s'émanciper que de cesser de leur confier entièrement leur destinée ? Sans les oublier, Denys croit que l'humanité pourrait aussi avoir à y gagner en s'appuyant sur ses propres capacités.

La Chasse Sauvage est libérée et arpente librement le continent. Qu'est-ce que cela t'inspire ?
• Denys est inquiété par cette Chasse Sauvage qui parcourt librement les cieux d'Arven, mais il soutient parfaitement les actes de l'Ordre pour avoir libéré celle-ci. Via les archives de l'Ordre, il sait en partie ce qu'elle représente et les conséquences nées de son enfermement. Pour l'instant, il a conscience que la seule chose que le monde puisse faire, c'est vivre avec cette menace au-dessus de la tête, mais ne la voit pas de manière positive ou négative. Son danger reste cependant bien vrai et il ne l'oublie nullement. L'année écoulée à prouver son influence en Arven et les conséquences en Ibélène notamment ont produit de gros changements. Quoiqu'il arrive, la Chasse Sauvage semble parfaitement ancrée dans le quotidien.

Que penses-tu de Lorgol, la ville aux Mille Tours ? Est-ce que tu t'y promènes sereinement ou est-ce que la capitale des peuples libres t'oppresse ?
• Denys apprécie énormément la cité aux Mille Tours, même s'il n'a pas l'occasion de s'y rendre très souvent. Ses relations avec la Cour des Miracles fait qu'il ne craint pas trop de se rendre dans la Ville Basse, même s'il évite le plus possible d'y mettre les pieds, particulièrement depuis sa "rencontre" avec la Confrérie Noire. Quoiqu'il en soit, Denys garde un avis positif sur la cité de Lorgol et s'y rend si nécessaire avec grand plaisir.

Livre I:
Livre II:
Livre III:



Venez, jeunes et tendres jeunes filles, vous qui fleurissez dans la grâce et la beauté.

Maelys Aigrépine & Agnès d'Aurebois

21 avril 1001


La quiétude règne en maitresse et le printemps est de retour.

Au simple chant des oiseaux, une paix semble s’installer, durable, bien qu’elle n’ait jamais réellement quitté Lagrance et ses jardins fleuris quasiment toute l’années. Mais il n’est pas de plus grand plaisir que de les revoir s’élancer dans le ciel gaiment, gazouillant ici et là pour annoncer haut et fort que les beaux jours sont revenus. Un mois déjà qu’il était de retour, le printemps, mais l’hiver s’était quelque peu attardé, chose qui n’était certes pas rare. Les plantations avaient commencé depuis plusieurs semaines, les chasses s’étaient rouvertes avec les retours de gibier, que de bonnes nouvelles qui tendaient à renforcer la prospérité des terres vertes et abondantes du duché. Non qu’il fut prompt à distraction ou la négligence, Denys s’accordait néanmoins en ce jour à quelques vagabondages dans les jardins du palais, eux seuls qui parvenaient toujours à ravir son cœur et son esprit. Si le pays brillait et fleurissait de toute part, les pensées de son Duc, elles, n’étaient pas aussi belles et lumineuses qu’il l’aurait bien souhaité. Plus que jamais, il avait des devoirs qui l’incombaient et le poids sur ses épaules, s’il ne s’alourdissait pas, tendait à devenir dérangeant. Sans doute n’était-ce que de vagues et futiles préoccupations, après tout, à l’échelle de l’Empire, ce n’était rien… mais l’irritation de Denys quant-à sa position vis-à-vis de ses homologues ne cessait de croître. Aussi pouvait-on dire que malgré le beau soleil qui régnait sur Lagrance, le Duc lui était dans l’un de ses mauvais jours. Ce qui l’avait poussé à s’isoler dans les jardins pour mieux y calmer son ire. Chose qui ne tarderait pas à s’apaiser sous les enivrantes senteurs qui emplissaient les narines de tous visiteurs. Ici et là, il vadrouilla sans but réel, se laissant porter, libre, dans le délassement d’une balade, ses pensées plus clairs et moins courroucées. Denys n’était pourtant pas homme de colère, mais sa patience, fut-elle vertueuse, n’était pas sans limites. Et il arrivait parfois, au grand malheur de quelques serviteurs et conseillers, que les humeurs du Duc s’en ressentent plus qu’à l’accoutumée.

Il avait le vague espoir que rien ne saurait déranger cette idyllique tranquillité. Mais c’était sans doute trop demandé ou considéré comme folle pensée que de croire cela. La paix n’avait de saveur que si elle se trouvait dérangée par quelques contretemps. Quoique ce n’était pas tant le cas, finalement. Cette affaire qui le chargea de revenir un peu trop expressément à ses devoirs n’avait rien de contraignant, mais avait le seul défaut de lui rappeler que ses obligations n’étaient jamais trop loin de lui, ni les conséquences que cela impliquait. Une visite protocolaire, quelques rencontres qui savaient se montrer aussi intéressantes que subites, mais cela, Denys ne les jugea pas encore. Après tout, il pouvait se montrer agréablement surpris et il aimait voir les gens, surtout lorsqu’il s’agissait de représentantes de la gente féminines. Cela pouvait paraître mesquin ou quelque peu provocateur, mais le Duc ne s’était jamais caché d’être charmeur. Non qu’il ait l’envie d’en user plus que de raison cela dit.

N’était-ce pas amusant ? Mêler l’utile à l’agréable et oser cette réunion en extérieur, sous la majesté des arbres et le regard curieux de la faune locale ? Le Duc n’était pas homme particulièrement excentrique, mais nul dans le duché n’ignorait son amour pour les jardins du palais. Et puisque les rencontres qui allaient suivre se faisaient sous le signe d’une apparente simplicité, alors il avait jugé bon de ne pas les enfermer dans le carcan des murs certes somptueux mais étouffant de la demeure.

« Votre Grâce. Les Dames d’Aurebois et Aigrépine sont arrivées. Dois-je les faire attendre ?

-Non, menez les ici, nous serons plus tranquilles. »

Mais qu’est-ce que la tranquillité réellement ? L’apaisant instant soufflé par une brise légèrement chaude ? Sans doute. Le regard perdu sur les bosquets de roses, épineuses et encore gonflés de petits bourgeons rouges, c’est son oreille qui vint lui indiquer qu’enfin, ses visiteuses étaient arrivées. Les bras croisés dans le dos, un léger sourire accroché à un visage charmant mangé d’une légère barbe taillée, le Duc s’approcha des deux jeunes femmes, dont l’une ne lui était pas totalement inconnue. Du moins de nom, bien qu’il ne pouvait se targuer de la connaître réellement. Mais sa famille elle, c’était une autre affaire. Ah, la noblesse.

« Mesdames. C’est un bien grand plaisir de vous recevoir. J’espère que vous avez fait bon voyage. »

Un léger salut ponctue ses paroles, à chacune des deux jeunes femmes qu'il ne manque pas de détailler avec une certaine sympathie.




Récapitulatif

Denys du Lierre-Réal

Mise à jour des registres et bottins



♦ James McAvoy
♦ Compte principal : Oui
♦ Groupes secondaires : La noblesse

Ne conserver que les lignes remplies
♦ Noblesse : Duc / Lagrance
Marquis / Lierre-Réal / Lagrance
♦ Affiliation : Ordre du Jugement



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Message Sujet: Re: LIERRE-REAL (DU) Denys   LIERRE-REAL (DU) Denys EmptyMer 23 Oct 2019 - 18:25

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(et plein d'autres dames :keu: Et quelques hommes :arrow:)
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Message Sujet: Re: LIERRE-REAL (DU) Denys   LIERRE-REAL (DU) Denys EmptyMer 23 Oct 2019 - 18:26

Questions :
Répondu le 30/10:


Dernière édition par Denys du Lierre-Réal le Mer 30 Oct 2019 - 20:38, édité 3 fois
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Message Sujet: Re: LIERRE-REAL (DU) Denys   LIERRE-REAL (DU) Denys EmptyMer 23 Oct 2019 - 18:27

:**:

Toi ? Moi ? Sombrance ?

(nos époux sont invités, évidemment)
:porte:
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Message Sujet: Re: LIERRE-REAL (DU) Denys   LIERRE-REAL (DU) Denys EmptyMer 23 Oct 2019 - 18:40

Aller, soyons fou :miguel: Je suis sûr qu'ils seront d'accord de toute façon :keu:

On garde ce qu'on avait déjà plus ou moins décidé, on garde notre lien actuel où ils s'entendent très bien, et que Denys a réussi cette fois à "charmer" Mémé ? :hihi:
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Message Sujet: Re: LIERRE-REAL (DU) Denys   LIERRE-REAL (DU) Denys EmptyMer 23 Oct 2019 - 18:46

:red:

Ouiii :fan: Cette fois, il va tomber sur une Mémé plus ouverte et moins farouche. :miguel: Dans un Erebor indépendant, donc. :miguel: Copains. :coeur:
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Message Sujet: Re: LIERRE-REAL (DU) Denys   LIERRE-REAL (DU) Denys EmptyMer 30 Oct 2019 - 19:52

Hello :haww:

Denys du Lierre-Réal a écrit:
Il est possible que pour Denys, je lâche le domaine de Lierre-Réal (snif :pleure: ) parce que sinon ça lui fait beaucoup de choses et je voudrais pas qu'il ait l'air too much :oops: Vous en pensez quoi ? Je peux évidemment baisser aussi Lierre-Réal, pour que ça ne soit plus un marquisat. Si tel est le cas, vous préférez que ça soit quoi ? Comté ? Baronnie ? Cahute dans un jardin ? :arrow:
→ Vu qu'il fait partie de la famille de Cyselle, ça semble cohérent qu'il garde un domaine hérité de ses parents ! Le baisser de rang serait peut-être préférable, en effet :hm: Outre le marquisat, tu as le choix sur sa nature, donc :oui:

Denys du Lierre-Réal a écrit:
Si je lâche Lierre-Réal, comme je pensais faire de Denys le neveu direct de Cyselle, son père, frère de cette dernière, portait le nom "de Lagrance" et donc Denys aussi je pense ?
→ Que tu laisses Lierre-Réal ou non, tu peux prendre le nom "de Lagrance" si tu le souhaites :sisi:

N'hésite pas si tu as d'autres questions ! :hug:
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