Valund Aiglemont

Remontons à mon jeune temps, là où j'étais encore un enfant. Du plus loin que je me souviens, après une certaine âge mes progéniteurs m'on "jeté" à la rue. J'étais seul, perdu et faible dans Valkyrion. Dans mes débuts j'essayais de survivre dans ce froid intense, ce froid qui te glace le sang. Ce froid en question je m'en souviendrais toujours. Pour le combattre et avoir une minime chance de m'en sortir,car j'étais un mendiant j'ai du abattre un chien à coup de roche,puis de lui prendre sa fourrure une fois que je l'ai vidé de ses organes. Suite a mon apparence on riait de moi, on me jetais des roches, ceux qui avait du coeur voyant un jeune enfant seul dans la rue, soit par terre assis ou bien même couché me donnait une ration, qui me servais pour toute la journée.  Mais le monde n'est pas fait que de bonne personne, car oui j'ai rencontré des gens qui n'était pas là pour m'aider, mais bien d’assouvir leur pulsion sexuelle. Rien est plus facile d'abuser un enfant seul et sans défense. C'est à partir de ce moment là, que j'ai repris ma vie en main. J'ai voyagé de terre en terre, comment était-ce possible ? Je me cachais dans les chariots qui contenaient des bottes de foins. Je m’incrustais dans les bateaux des voyageurs ou bien même ceux des pêcheurs... Jusqu'au moment par pur hasard, je me suis rendu  à Lorgol. Plus précisément dans La Ville Basse.

Quelques années avait déjà passé dans la Ville Basse, je connaissais les lieux et chaque recoin, du moins c'est ce que je pensais à cette époque je n'avais aucune idée qu'il y avait des repaires de groupes qui était dissimulés. Bref, je m'éloigne du sujet. J'avais appris par moi a voler, j'avais également avec une certaine habileté, certes je n'étais pas le voleur sur excellence, mais disons que ce talent ma servis pour que je puisse vivre tranquillement et subvenir est mes besoins primordial c'est à dire manger et boire. De plus j'avais un endroit pour dormir le soir. Évidemment ce n'était pas un luxe pour certain, mais pour moi oui.  Cette place en question était une maison en ruine, mais au moins il restait une morceau  de toit, donc j'étais couvert de la pluie et  peu protégé du vent froid.

Un jour, j'avais volé un truc, je me souviens plus quoi exactement, mais je me rappel qu'on me pourchassais j'avais été maladroit et j'avais fait tomber quelque chose au sol, j'avais attiré l'attention du propriétaire au quel j'avais volé ce truc en question et je m'étais mis a courir. Je ne regardais pas devant, donc j'avais percuter cet homme.. Cet homme au trait froid, le regard stricte. Il n'était pas là pour s'amusé, mais dès le premiers regards que j'ai eu avec lui, c'est comme s'il y avait eu un lien ou une certaine chimie entre lui et moi. Il avait surement vu que l'homme qui me pourchassais de loin . Il m'a donc caché sous sa cape jusqu'au temps que le propriétaire nous dépassa .

Cet homme  me conduis dans son repaire. C'était dans un endroit que je ne connaissais  aucunement, j'avais jamais vue ni entendu parlé d'ici. Il était bien caché. Nous avons du passé par des chemins souterrain pour y parvenir c'était assez astucieux. Celui-ci m'avais expliqué un  peu avant de prendre  le trajet qu'il connaissait ce regard ; de l'enfance perturbé, perdu dérangé et que si j'acceptais de le suivre et de faire ce qu'il me disait, j'allais trouver ma voix.  Que je ne serais plus l'enfant que tout le monde regarde de haut et qu'il n'allait plus rire de moi.  J'ai sentis au fond de moi qu'il ne me mentais, mais naïvement j'avais accepté sans prendre en considération tout les risques que je pouvais courir, mais tant pis... C'était réconfortant de savoir que j'allais peut être avoir un allié.
    
Finalement, j'avais bien fais de le suivre et de lui faire aveuglément confiance. J'avais rejoins la Confrérie Noire et  Il était devenu le paternel que j'ai toujours voulu avoir. Jamais il ne m'a renié, il m'a enseigné à me battre, a me défendre certaines technique pour volé. Il m'avait également donné des habits il avait " bon coeur "... Vers l'âge de mes vingt ans mon mentor est décédé lors de l'une de ses missions. Quand j'ai su ceci, j'ai sentis la rage et la tristesse en moi monter... J'avais qu'une envie et même encore aujourd'hui j'ai toujours cette envie qui est de le vengé. Je te remercie encore pour tout ce que tu as fais pour moi maître et jamais je vous oublierais .

                                         Valund Aiglemont.

Que penses-tu des compétences de la toute nouvelle impératrice de Faërie, la jeune Chimène ? La trouves-tu légitime, penses-tu qu'elle va réussir sa période de probation ?
•  La politique ainsi que la géopolitique ne me concerne point. Tant qu'il y aura de l'argent ainsi que des missions pour moi, peut importe qui dirige, règne et ect, de mon coté, je suis heureux.

Envisages-tu de prendre part au conflit si une guerre entre Ibélène et Faërie devait se déclarer ? Quel parti prendrais-tu, et pourquoi ? Comment participerais-tu à la lutte ?
• Je ne prendrais parti pour celui qui m'offrirais le plus, c'est comme si j'étais un mercenaire sans l'être après tout mon domaine n'est pas la guerre, donc je ne vois pas l'intérêt de risquer ma vie si je n'y gagnerais rien de mon coté.

Que penses-tu de Lorgol, la ville aux Mille Tours ? Est-ce que tu t'y promènes sereinement ou est-ce que la capitale des peuples libres t'oppresse ?
• je connais désormais bien cette terre alors oui je me promènerais  tranquillement, sans peur ou autre. Car d'instinct j'ai mes sens a vif et j'écoutes comment je me sens. Donc si j'entend quelqu'un me suivre, je trouverais un moyen de le semer, si je sens qu'un danger est prêt, j'irais dans un lieux sur alors.. Suffit juste de faire attention et généralement tout ce passe bien.