| Sujet: Alaric de Bohémont ¤ A sneaking sense of liberty Ven 6 Mai 2016 - 18:52 | |
| Alaric de Bohémont ft. Ian Somerhalder « - Et qu'est-ce que le monde ? - Une illusion. Nous pouvons nous y soumettre, comme beaucoup, ou la transcender. Pour admettre que rien n'est vrai, et que tout est permis. » |
Âge : 31 ans. Date et lieu de naissance : 2 mars 970 à Bohémont. Statut/profession : Mage de l'Automne et de l'Été (tempête). Allégeance : À Bartholomé, duc d’Ansemer. Groupes : Faërie / Mages Anecdote : Les pirates n'apprécient guère les déserteurs. Pris dans son désir de vengeance, Alaric n'a jamais cherché à comprendre pourquoi l'Audacia s'en est pris si violemment à sa famille, des années plus tôt. Comment réagirait-il s'il apprenait que son père, ce fier marin qu'il idéalise tant, était en réalité un ancien pirate ?
|
Dans la vie, je suis... Fils de Colère, enfant des eaux déchaînées, protégé de Messaïon, ses emportements sont à l'image des ouragans qui ont bercé sa jeunesse. Sa mère n'expliquait ses élans que par cette proximité naturelle qui a toujours uni son être à la côte, à l'écume. Il se reconnaît dans cette nature parfois cruelle, qui ne souffre pas d'autre chose que d'un instinct pur et immémorial, une volonté qui ne s'explique pas, qui ne tolère pas autre chose que la Réalité telle que de nombreux profanes la nient. Une rage profonde l'habite, un sentiment d'inachevé et d'injustice. Comme une bonne étoile scindée en deux âmes inégales et opposées. Le mal noir qui recouvrit l'or de sa naissance lui demeure une énigme, comme ses dons pour les arcanes, qui ne suffirent pas à lui ouvrir les portes des Chevaucheurs. Beaucoup de frustration, d'incompréhension macérée, ressassée. Il sait qu'il est peut-être son pire ennemi, enveloppé dans cette armure d'Arrogance, l'une de ses marques de noblesse les plus chéries. Elle se niche partout, jusqu'au cœur de ses traits, jusqu'à sa démarche fière et décidée. Il n'hésite pas, car c'est l'Impatience qui le ronge. Vingt ans de questions sans réponses, vingt ans de doute dont il se doit de délier les liens, à présent viciés. Il ne tient pas à obtenir vengeance dans une autre vie. C'est dans celle-ci que la boucle doit s'achever. Alors l'Acharnement naît. La ténacité, l'ingéniosité, le vent du sud qui souffle dans son dos et lui chuchote astuces et plans compliqués. Infatigable, forcené, il marchera tant que ses jambes seront capables de le porter, il naviguera sur des milles et des milles sans sourciller, souffrira de la faim, de la soif, de la peur ou des chimères. Il ne vit que pour ce but, délaissé par une sœur qui lui tient rancœur, et qui peine à saisir toute l'étendue de son tempérament Borné, plus profond encore que les abysses marins qu'il vénère. Pourtant, jamais on ne pourrait lui reprocher une Franchise brute et sans motifs, une honnêteté qui trouble, qui se lit au sein même de ses prunelles couleurs d'été. Le mensonge n'est qu'une exception, la vérité, un postulat qu'il défendra jusqu'à ce que Bathild l'enlève entre ses bras, à moins que Kern n'en fasse l'une de ses nombreuses et silencieuses recrues, ombre parmi les ombres. Vous offrir son Amitié, c'est s'assurer d'une loyauté indéfectible, c'est la promesse implicite d'une fidélité sans faille, une main tendue vers l'adversité comme sur un chemin de chance et de succès. L'homme est riche, incontestablement. Mais de cette complexité naît souvent la souffrance, la morsure auto-immune, l'auto-détestation de soi comme ses accents de supériorité. Tous plus ou moins justifiés.
Et voilà comment j'en suis arrivé là. « Il a toujours cru qu'il en serait capable. Il a toujours cru en sa chance. » Le vieux mage rangeait méthodiquement, ouvrage par ouvrage, les nombreux manuels – dont certains poussiéreux – qui constituaient sa bibliothèque personnelle. Il éprouvait une affection toute particulière pour les pages centenaires à la surface parcheminée, provoquant le sempiternel crissement sous ses doigts, et qui le ravissait à chaque fois, sans lassitude. La nuit était tombée depuis longtemps sur l'Académie. Pourtant, Lorgol bruissait encore. Il pouvait entendre depuis la tour les rires insouciants de quelques étudiants libérés pour quelques jours de leur studieuse condition. Il discernait sans mal le souffle d'une brise parfois insolente jouer contre la pierre et créer les courants d'air à l'intérieur de son laboratoire. Une odeur de chimie planait dans l'air. Mélangée aux parfums du dehors, il ne pouvait que savourer l'osmose parfaite qui en résultait. Une vague d'apaisement totale l'entourait. Lentement, il poursuivit sa tâche, jusqu'à ce que la dernière bible du Savoir eût trouvé sa place dans les rayonnages. Alors seulement, Marius pivota pour observer son ami de longue date, Brieg, professeur comme lui. Tous deux aimaient à échanger, à la nuit tombée, entretenant une relation basée sur l'estime, la confiance et la franchise. Il s'approcha de la table à laquelle était assise son comparse, et repoussa devant lui une lettre dépliée, couverte d'une écriture déliée et masculine. « C'est lui ? » « Oui. Il m'a écrit comme il le fait chaque fois que nous nous trouvons séparés. Une sorte de coutume, que nous respectons à intervalles réguliers. » Brieg tendit la main pour s'en emparer, et effleurer des yeux les écrits à sa portée. Il survola, plus qu'il ne lut réellement, par respect pour la correspondance privée entre le maître et l'élève. Tout du moins en fut-il ainsi, quelques années plus tôt. « Tu l'apprécies. » « C'est un bon garçon. J'ai du mal à le voir comme l'homme qu'il est devenu. Je conserve de lui le souvenir de son arrivée. C'était avant que tu ne rejoignes nos rangs. Il vibrait, alors. Peut-être même un peu trop. Il possédait une soif d'apprendre qui m'a marqué, à l'époque. Qui n'avait d'égale que sa propension à briser les règles de l'Académie, les unes après les autres. Je m'en rappelle très bien. J'ai fait partie de ceux qui l'avaient accueilli. » « Et il détenait le feu et l'air, c'est bien cela ? » « Absolument. » Marius prit place à son tour, de l'autre côté de la table. Il caressa à son tour les bords de la missive, songeur. « Je n'ai pas pour habitude de m'attacher à eux plus que nécessaire. C'est une chose que je préfère éviter. Tu le sais bien. » « On dirait que tu cherches à te justifier... Est-ce le cas ? » « Peut-être. Je m'en suis voulu. J'ai cherché à l'expliquer par la proximité naturelle qui me portait vers lui. Après tout, je venais moi-même d'Ansemer. » « Il est certain que cela peut aider à créer des liens. » « Oui, mais ça n'explique pas tout. C'est lui. Lui, et son histoire. » « Est-elle si extraordinaire ? » « Ce n'est pas le mot, non. » D'autres rires résonnèrent, plus joyeux encore. Marius tourna la tête et réprima un soupir. S'il avait compris que son empathie naturelle l'avait jeté à la poursuite de l'affection du garçon qui lui avait été confié, il ne s'expliquait toujours pas l'intensité de sa compassion à son égard. Et le temps qui passait n'ôtait rien à cela. Une émotion brute, qu'il évoquait pour la première fois et avec pudeur devant un Brieg attentif et bienveillant. Il refusait l'explication simpliste d'un besoin de combler un défaut de paternité, qu'il regrettait à présent. Mais le mal était fait. Alaric lui était précieux, bien au-delà des dons qu'il avait développé par ses soins pendant une décennie. Devant son silence prolongé, la question fusa, prudente. « Alors quel est-il ? » « … Tragique ? Brutale. » Il reporta enfin son attention sur le visage amical. Ses paumes se joignirent, créant une sphère de chair contre laquelle il fit reposer son menton. « Alaric... De Bohémont. Une famille qui t'est sans doute inconnue. Valkyrrion est loin des côtes de l'ouest. Pas pour moi. J'ai eu vent de leurs années de faste. Un faste bien sage, en réalité. Ces gens savaient vivre. Je n'ai jamais eu vent d'un quelconque scandale venu salir leur nom. Dans la région d'Ansemer, ils étaient respectés. Parfois admirés. Oh, je ne doute pas que leur droiture et leur bonne réputation aient pu susciter quelques vilaines jalousies, mais il était impossible de ne pas les estimer. De ne pas reconnaître qu'ils demeuraient fidèles aux valeurs du sud. Leur dernière génération s'avérait prometteuse, à l'image de leurs aïeuls. Mais il faut croire que le Destin n'aime pas les chemins trop parfaits. Sinon, pourquoi s'acharnerait-il à brouiller les pistes de la vie des hommes ? » Brieg ne répondit rien. Il se contentait d'écouter, fasciné. Lorsque Marius parlait, son aura s'en trouvait renforcée. Il n'avait alors aucun mal à imaginer les étudiants subjugués, concentrés et tout disposés à appliquer le fruit de ses enseignements. Sa chevelure, autrefois d'un noir d'ébène, s'était teintée d'élégants fils d'argent, de plus en plus nombreux. Ils prenaient de l'âge, tous les deux. Pourtant, son charisme ne perdait rien de son éclat. Peut-être était-ce même le contraire. À l'image des terres qu'il lui décrivait, Marius était parvenu à s'attirer les louanges de ses pareils. Un exploit, pensait-il. Même l'Académie ne pouvait échapper aux affres de la médiocrité et de la mesquinerie, ces mauvaises fées du monde inséparables du carcan sociétal. Alors, il savoura. Il savoura la mélodie des mots, l'histoire relevant presque du conte, tout en s'enivrant des senteurs propres à ce laboratoire qu'il connaissait presque aussi bien que le sien. Sur le rebord de la fenêtre ouverte, un corbeau vint se percher. Ses plumes noires tranchant avec quelques autres. Blanches. Il contint un sourire. « Les Bohémont subirent sur leur domaine une attaque pirate. Je crois bien qu'Alaric n'avait qu'une dizaine d'années, alors. Je me suis souvent demandé comment les veilleurs sur la côte n'avaient pas repéré les étendards des forbans. Leurs assauts sont devenus de plus en plus fréquents, m'a-t-on dit. Ils ont décimé une bonne partie de la famille. À leur départ, les seules âmes qui vivaient encore dans le manoir n'étaient autre qu'Alaric et sa jeune sœur. » « Comment ont-ils survécu ? » « Cachés, je présume. Autant te dire qu'Alaric est plutôt discret sur la question. Et je ne me suis pas montré pressant. Je me passe très bien de connaître tous les détails de cette scène de cauchemar. Tout ce qu'il a consenti à développer réellement, fut le choc qui l'étreignit à la vue des corps abandonnés. » Le narrateur s'interrompit. Son dos s'était voûté, mais son regard contenait toujours la même conviction acérée. Il connaissait les rouages du monde. Il n'était pas dupe, et cependant il n'acceptait jamais aussi aisément qu'il voulait bien le montrer la fatalité qui les entraînait tous dans son sillage. « Les Ansemer les prirent sous leur tutelle. Ainsi, les dieux ne se montrèrent pas cruels. C'était ce qui pouvait leur arriver de mieux, après ce massacre. » « Je n'ose imaginer... » Marius hocha la tête. Il souffrait, en entendant les rires de la cour. Car il ne se souvenait que trop bien des confidences d'un jeune homme dévasté, désespéré et haletant. Il se rappelait des larmes de rage. Des larmes d'enfant, émanant d'un jeune homme qui n'avait pas vingt ans. « À de nombreuses reprises, je me suis questionné sur les raisons de son indiscipline. Je crois en détenir la clef, à présent. La colère qui l'habite, il ne s'en libérera jamais. Le poison de l'envie l'a touché de son vice, dès lors qu'il fut suffisamment mature pour comprendre que son enfance et son adolescence avaient été gâchés de façon irrémédiable. Et bien entendu, sa vie d'adulte. » « C'est une façon de voir les choses particulièrement pessimiste. » « Mais réelle. Réfléchis. Alaric fut arraché de ses responsabilités, de son éducation. Il dut s'adapter à un autre mode de vie, et je ne pense pas me tromper en affirmant que les liens d'amitié qui l'unirent à Bertin d'Ansemer le protégèrent probablement d'une folie douce, qui aurait pu comporter des conséquences terribles. À leur arrivée à Lorgol, ils se confrontèrent à tous les autres mages en devenir, et si l'expérience a évidemment dû comporter son lot d'émoi et d'exaltation, la jalousie fit partie du lot. » « La jalousie ? » « Ce n'est pas seulement sa jeunesse qui lui fut volée, mais bien son insouciance. Cette insouciance que nous pouvons entendre d'ici, toi et moi, et que nous constatons chaque jour sur leurs visages encore jeunes. Cette insouciance, Alaric ne la conservait que sous forme d'un masque trop lisse, bien trop artificiel pour qu'il soit en réalité authentique. Il a vieilli trop vite. Je n'ai pas été très surpris de constater, à force d'observations, qu'Aliénor devait lutter contre le même mal. Son tempérament solitaire parlait pour elle, plus que tout le reste. Et puis, il y eut la Grande Déception. Celle que je t'évoquais précédemment, et qui m'a amené à bavasser comme un vieillard. » « Ton récit est loin d'être ennuyeux. » Marius n'esquissa pas un sourire, et Brieg l'encouragea à poursuivre d'un bref hochement de tête. « Quelle fut-elle ? » « Pour sa sœur, le rejet du pouvoir. Les Bohémont étaient en âge de reprendre le flambeau de leurs aînés. Pourtant, Alaric ne s'est jamais hâté, pour reprendre la place de son père. » « Pourquoi ? » Le mage leva une main, révélant toute son impuissance à éclaircir les voies de ce mystère. « Qui sait ? C'était un élève brillant, consciencieux. Il aurait préféré s'arracher la langue, plutôt que de m'avouer qu'il travaillait parfois jusque tard dans la nuit, mais il aimait apprendre, oui. J'étais parfois obligé d'interrompre le flot de ses questions, au risque de perdre le fil des leçons. Car chaque réponse en appelait une autre, et ce sans fin, jusqu'à ce que le Temps nous ait rattrapé, et ne m'ait fait comprendre tout l'intérêt qu'il portait à l'étude. Il souhaitait demeurer à Lorgol. » « Et pour lui, quelle fut la fameuse déception ? » « Alaric rêvait de devenir Chevaucheur. » « Comme beaucoup. » « Exact. Mais il ne fut pas accepté parmi leurs rangs. Contrairement à Bertin d'Ansemer. Comprends-tu ? » Brieg prit la pleine mesure de la révélation, et acquiesça gravement. Marius soupira. « Il ne pouvait pas être reçu. Il ne vit que pour se venger. Que pour obtenir réparation. J'ai plusieurs fois tenté d'apaiser sa haine, mais ce n'est ni mon rôle, ni mon ambition que de le détourner de ce projet. » « Pourquoi pas ? Tu as été l'un de ses maîtres, et pas des moindres, visiblement. » « Je ne peux m'élever contre sa volonté. Alaric est têtu. Il ne céderait jamais à l'appel de la raison. Je crois savoir qu'Aliénor et lui sont quelque peu en bisbille, à ce propos. D'où cette lettre. » Avec soin, il replia la missive dans l'enveloppe scellée à la cire, dont le sceau noir avait été brisé depuis longtemps. « Il est reparti sur ses terres. Je crois qu'une petite discussion s'impose entre eux deux. D'ici là... Je ne peux que suivre de loin les péripéties de mon ancien élève. » Les deux mages conversèrent un bon moment encore, bien après que le vent se soit franchement levé, créant des bourrasques de plus en plus violentes. Emportant de son souffle les rires insouciants, qui avec lui s'étaient tus. Dans ma tête, ça se bouscule Que penses-tu des compétences de la toute nouvelle impératrice de Faërie, la jeune Chimène ? La trouves-tu légitime, penses-tu qu'elle va réussir sa période de probation ? • Je plains la nouvelle souveraine. On dit qu'un trône requiert des épaules fort solides pour en soutenir le fardeau. De toute évidence, ce n'est guère le cas de la jeune femme. Pourtant, j'aurais tendance à me porter du côté de la récente couronnée. L'ambition de sa cadette me semble plus que démesurée, et bousculerait l'équilibre péniblement construit entre les deux territoires. Le pouvoir corrompt, détraque les cerveau les plus retors, et il semble bien que Catarine soit l'une des nombreuses victime de ce mal qui dévora plus de dirigeants que l'on ne saurait en compter. Alors, en désespoir de cause, et en estimant effectivement la légitimité pleine entière de Chimène, je plaide silencieusement en sa faveur, surveillant de loin les remous politiques que sa nomination a suscité.
Envisages-tu de prendre part au conflit si une guerre entre Ibélène et Faërie devait se déclarer ? Quel parti prendrais-tu, et pourquoi ? Comment participerais-tu à la lutte ? • L'idée d'une guerre m'exalte, autant qu'elle me terrifie. Je ne pourrais répondre en toute honnêteté à une interrogation dont l'issue déboucherait peut-être sur une abomination, une extinction de notre monde tel que nous l'avons connu jusqu'alors. Ils sont nombreux, ceux qui sous-estiment la valeur de la vie humaine. À commencer par moi. J'appréhende mon possible engagement dans un conflit qui me laisserait désemparé. Mon premier réflexe serait de prendre le parti de la terre qui m'a vu naître : Faërie. Mais comment savoir ? Comment comprendre par avance tous les motifs, tous les désirs qui nous changent tour à tour en criminels, en héros ou en philosophes ? Peut-être serait-ce alors le réel danger. Mon incertitude. La colère qui brûle, en perpétuelle quête d'un exutoire que le Chaos lui servirait sur un plateau d'argent.
Que penses-tu de Lorgol, la ville aux Mille Tours ? Est-ce que tu t'y promènes sereinement ou est-ce que la capitale des peuples libres t'oppresse ? • Lorgol est devenue ma demeure, par la force des choses. Grâce à l'Académie, j'ai pu m'élever et commencer à prétendre légitimement à mes aspirations vengeresses. Sans elle, sans les leçons et l'apprentissage de la magie, je ne serais pas celui que je suis aujourd'hui. La ville sublime les contacts entre les hommes. Par son multiculturalisme, elle ouvre les frontières étriquées des esprit clos, transcende par son architecture les a priori urbains. Indéniablement, l'une des plus belles cités qu'il m'ait été donné de contempler de mes yeux. Je l'ai fait mienne, à défaut de régner sur mes terres. Une parenthèse bienvenue, un bain de foule tantôt chaleureux, tantôt étouffant. J'aime redécouvrir les ruelles qui ont vu naître mon affection pour elle, malgré son climat du nord, l'absence des vents de l'ouest. Je mentirais si je ne profitais pas également de mes séjours pour m'inquiéter des agissements pirates. J'ai jamais perdu mon objectif, et la proximité de la l'antre des rats des mers m'est plus qu'utile pour fixer mon attention sur les hères qu'elle abrite. Ce qu'il y a à dire et ce qu'il a à penserDerrière l'écran Dans la vie, je m'appelle Shaze et j'ai bientôt 24 ans. J'ai découvert le forum via un top-site et voici ce que j'en pense : intrigant, difficile de passer à côté, ces temps-ci. La médié-fanta se fait rare, et je fais confiance aux annexes, très riches par ailleurs. Il semble être de qualité, et le design est fort sympathique. Beaucoup de nostalgie, la ringardise en moins. Bref, ça sent bon.. Strange • Shaze
Dernière édition par Alaric de Bohémont le Ven 27 Mai 2016 - 23:01, édité 12 fois |
|