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| Anaïs guerrière de mère en fille | |
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Auteur | Message |
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Les Guerriers Anaïs Belécu Messages : 2322 J'ai : 29 ans Je suis : Guerrière - membre de la Guilde des Guerriers à la Volte Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Guilde des GuerriersMes autres visages: Adonis le Lys | | | | La Cour des Miracles • Admin Mélusine de Séverac Messages : 5858 J'ai : 34 ans Je suis : marquise de Sinsarelle, dame de Séverac, Voleuse de la Cour des Miracles Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Cour des MiraclesMes autres visages: Quitterie ♦ Ljöta ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade ♦ Chasteté | | | | Les Guerriers Anaïs Belécu Messages : 2322 J'ai : 29 ans Je suis : Guerrière - membre de la Guilde des Guerriers à la Volte Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Guilde des GuerriersMes autres visages: Adonis le Lys | | | | La Cour des Miracles • Admin Mélusine de Séverac Messages : 5858 J'ai : 34 ans Je suis : marquise de Sinsarelle, dame de Séverac, Voleuse de la Cour des Miracles Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Cour des MiraclesMes autres visages: Quitterie ♦ Ljöta ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade ♦ Chasteté | Sujet: Re: Anaïs guerrière de mère en fille Ven 19 Jan 2018 - 0:56 | |
| Coucou ! Je prends le relais d’Alméïde, mais j’ai toujours Grâce sur mon épaule, et même Mayeul et Géralt aussi ! o/ On s'y penche à cinq. On sent une amélioration, mais il reste quand même du travail. Tu as déjà rédigé quatre fiches sur Arven avant celle-ci, et tu as rencontré des difficultés d’adaptation et de cohérence importantes par la suite en RP avec chacun de ces personnages ; nous allons donc faire de notre mieux cette fois pour éliminer dès à présent toutes les zones d’ombres qui pourraient te desservir plus tard ! Nous ne voulons vraiment pas que tu te retrouves bloquée en RP, ou bien que tu doives corriger des incohérences trop grandes pour être ignorées. Ta validation sera plus longue et plus pointilleuse, mais tu auras ensuite un confort de RP appréciable. Nous allons procéder à présent à une correction complète et intégrale, dans les moindres détails, y compris des fautes d’orthographe et de langage, afin que tu comprennes mieux d’où viennent tes difficultés ! Cela devrait t’aider à mieux cerner nos attentes, concernant le fond et la forme. 1/ IdentitéLa boucherie-charcuterie est plutôt une profession belliférienne, on consomme surtout de la volaille en Cibella. Du coup je m’interroge, ils font également l’élevage eux-mêmes ? Dans tous les cas, Douxorge n’est absolument un nom en adéquation avec cette tradition familiale, cela correspondrait plutôt à des agriculteurs. 2/ CaractèreLe caractère de ton personnage reste un peu bancal, on a toujours l’impression que les adjectifs mentionnés ont été assemblés un peu aléatoirement, et cela manque un peu de précisions. - Rigoureuse et minutieuse revient un peu au même - Franche et espiègle ne sont pas des défauts - Intransigeante et patiente ne vont pas ensemble → Pour éviter toute incohérence, nous allons donc te demander de rédiger ton caractère, avec des phrases expliquant le sens que tu donnes à chaque adjectif. 3/ Anecdote« je poursuis à les collectionner » n’est pas français ! Elle achète ses poupées avec sa solde ? Dis-toi bien que ses revenus sont relativement modestes, et qu’elle doit acheter et entretenir son équipement. Si elle en a autant que tu le décris, ce sont sûrement des poupées de facture banale. 4/ Infos généralesTu as oublié son dieu de naissance, Kern étant peu probable pour une jeune cibellane. 5/ Histoire- Partie 1 - Origines:
- Attention, les Cibellans consomment peu de viande, mais plutôt de la volaille et des produits du sol. Ta première idée de foie gras sous semble plus pertinente, mais du coup l’entreprise ne fera que de ça, ce sera une boutique tenue par des éleveurs d’oie. - « Les produits de charcuterie-boucherie que l'on y propose, sont tels, que les habitants de la capitale la nomment comme la meilleure du duché. » Virgule en trop après « propose » ; la nomment la meilleure / la considèrent comme la meilleure. - « De plus, à l'image du duché, la famille est nombreuse. » Cette phrase n’a pas de sens, que voulais-tu dire ? - « Porter un enfant, pour une femme cibellane, est un honneur, et l'on retrouve dans mes aïeuls, bon nombre d'oncles et tantes. » → Porter un enfant est un honneur pour une femme cibellane, et l’on compte dans ma famille bon nombre d’oncles et de tantes. - « Parallèlement à cette vie de commerçant, quelques femmes se sont orientées vers un avenir de guerrières. » -s à commerçants, il s’agit de la vie des membres de la famille + guerrière au singulier, chaque femme rêve de devenir guerrière.
- Partie 2 – Naissance:
- « En premier ordre, c'était la première fois dans notre lignée, que des jumeaux venaient au monde. » Nous ne comprenons pas : est-ce que c’est la première fois qu’il y a des jumeaux dans cette lignée ; ou la première fois qu’ils naissent aînés d’une fratrie ? « En premier ordre » n’est pas une expression française. Nous te conseillons de ne pas trop compliquer ta diction ; une phrase plus simple du style « C’était la première fois que des jumeaux venaient au monde dans notre lignée. » conviendrait parfaitement ! - « Elle n'a pas succombé, mais le médecin accoucheur, lui a annoncé, que cette naissance serait la seule et l'unique. » Virgules en trop après « accoucheur » et « annoncé » → Elle n'a pas succombé, mais le médecin accoucheur lui a annoncé que cette naissance serait la seule et l'unique. - « C'est ainsi que moi Anaïs et mon frère Loïc, nous sommes arrivés au sein de ce monde. » → On cite d’abord autrui, puis soi-même, c’est une norme de politesse ; « au sein de ce monde » n’existe pas, l’expression correcte, que tu as employée plus haut, est « venir au monde » : C'est ainsi que mon frère Loïc et moi [sommes venus au monde / avons été mis au monde / avons ouvert les yeux sur le monde.] // C’est ainsi qu’elle nous a mis au monde, mon frère Loïc et moi. // etc. - «Ainsi, au contraire de ses frères ou de ses sœurs, maman ne connaîtrait qu'une seule grossesse. » Les frères ont peu de chance de vivre une grossesse un jour. Peut-être quelque chose du genre : Ainsi, au contraire de ses frères et sœurs, maman ne vivrait jamais qu’une seule naissance dans son foyer ? - « Bon, il vaut mieux, sans vous mentir. Vous comprendrez pourquoi un petit peu plus loin si vous voulez bien ? » Nous avons lu plus loin, et ce point reste sans explication.
- Partie 3 – Enfance:
(En préambule à cette section, nous trouvons que tout ce passage s’éparpille trop et manque de cohérence. Nous te recommandons de bien relire les annexes de la vie quotidienne, tu évoques des éléments qui n’existent pas comme l’école par exemple, cela t’a déjà été signalé à la première lecture !) - « Loïc et moi, nous avons grandi avec l'éducation la plus stricte qui soit. » Concrètement, non, cette éducation n’était pas stricte au vu des gamineries commises sans répercussion ! - « Nulle école, simplement l'apprentissage de la vie, entre les étals de la boucherie-charcuterie. » Du coup, les écoles n’existent pas. La boucherie est forcément petite, ce n’est pas une boutique immense ! Il n’y a pas de verbe dans cette phrase. C’est quoi pour toi, l’école de la vie, au juste ? - « Nous avons compris que les femmes étaient les maîtresses à la maison, en ce duché. » Si jeune, Anaïs ne connaît pas le reste du monde, elle a grandi dans la conviction que les femmes étaient naturellement supérieures aux hommes. Pour elle, c’est normal, et c’est comme ça partout ! (Cela ne veut pas dire qu’elle considère les hommes mauvais, ni qu’il faut les écraser ! ) - « Toutefois, comme de vrais gamins espiègles, ils nous arrivaient de faire de véritable crasses à ceux qui nous gardaient. » L’espièglerie implique des petites plaisanteries dans le but de faire rire, sans méchanceté ; une crasse est une sale coup prémédité dans le but de faire du mal à autrui. Les deux ne vont pas du tout ensemble. + il nous arrivait, cette expression se met toujours au singulier. - « Les remontrances tombaient aussitôt mais, notre innocence d'enfants, semblait adoucir les regards sévères de nos gardiens et gardiennes. » Brûle-nous ces virgules que nous ne saurions voir ! Techniquement, la bonne construction serait : Les remontrances tombaient aussitôt, mais notre innocence d'enfants semblait adoucir les regards sévères de nos gardiens et gardiennes. + Ce n’est pas logique, est-ce que votre éducation est stricte, ou pas ? Soit vous avez des remontrances fermes, et êtes probablement un peu battus car telle est la coutume éducative dans la plèbe médiévale ; soit votre famille est laxiste, comme ta description tend à la prouver, auquel cas vous n’êtes pas châtiés. - « Puis, surtout, nous étions serviables. » Donc, la béquille à la mamie, c’était pour rendre service ? Ce n’est pas cohérent avec ce qui suit. - « Nous pouvions provoquer le courroux et le calmer par nous même en donnant, par exemple, le plateau au moment opportun. » Nous-mêmes. + De quel plateau parles-tu ? A qui le donnes-tu ? Pourquoi ? Ce passage manque un peu de clarté ! - « De vrais filous dans des gueules d'anges à en croire tante Joëlle. » Ta formulation est un peu maladroite, nous te conseillons une tournure plus littéraire telle que : Tante Joëlle disait toujours que nous étions de vrais filous [derrière une gueule d’ange / avec une gueule d’ange]. « Filous » a une connotation indulgente qui semble assez peu coller avec le traitement que les enfants font subir à la clientèle familiale, ils ne donnent pas envie de revenir à la boucherie-charcuterie (même si c’est sûrement une des seules en Cibella, cf nos explications plus haut). - « Attendez, j'ai une anecdote pour vous, maintenant que je me rappelle ! » je m’en rappelle → on se rappelle de quelque chose ! - « Une fois, avec Loïc, nous nous amusions devant la devanture alors que nous devions avoir quoi, 7 ans ? On a fait un cloche pied à la mamy qui venait tout le temps chercher son petit filet de viande. » → N’utilise pas « nous » dans une phrase et « on » dans la suivante, le mieux est de conserver une même personne dans toute la narration. Si tu racontes à la première personne du singulier (« je »), tu emploieras la première personne du pluriel aux endroits nécessaires (« nous »). + « mamy » n’est pas le terme adéquat en français, tu peux écrire « mamie » qui est un peu péjoratif, ou bien « la vieille dame » ou « la vieille » tout court si tu veux conserver cette notion un peu péjorative ! + « sauter à cloche-pied » n’est pas un synonyme de « faire un croche-pied » ! Cette dame semble être une cliente habituée, Anaïs a dû grandir dans le respect de la clientèle et l’importance du chiffre d’affaire, surtout pour une famille des classes populaires. De même, les personnes âgées sont fragiles et l’on enseigne aux enfants à respecter les aînés. Par ailleurs, la viande coûte cher, et seules les personnes plus aisées peuvent en acheter, est-ce que Anaïs se mettrait à dos une dame des classes supérieures au risque que son père doive la dédommager ? En tant que future héritière, elle doit avoir grandi avec une certaine notion des responsabilités, non ? - « Nous avons détallé et c'est notre père qui est revenu nous chercher nous tenant par les oreilles. » détalé. Il y a une confusion de sens, nous te recommandons quelque chose du genre : notre père s’est lancé à notre poursuite et nous a ramenés en nous tirant les oreilles. Ce qui, pour le coup, colle nettement plus que le reste avec l’éducation stricte que tu mentionnes ! - « Nulle larme n'est sortie de mes yeux, j'assumais oh que oui ! Mon frère, quant à lui était tout penaud. Ce qu'il peut être pleutre des fois... » Anaïs n’est pas décrite comme aimant la méchanceté gratuite, si tu en fais un personnage cruel et avide de violence, il faudra le préciser dans le caractère et bien l’intégrer à chaque étape de ta fiche. Cela sera sûrement la raison de son éviction de la Guilde car cela va à l’encontre des principes prônés parmi les Guerriers. + des remords ne signifient pas qu’un homme est pleutre, simplement qu’il comprend bien la portée de ses actes et qu’il estime avoir commis une erreur : c’est plutôt une preuve d’intelligence, d’ailleurs. - « Pour ma part j'étais vraiment prête à recommencer dès le lendemain s'il le fallait ; à quoi cela sert d'être un enfant si l'on ne peut pas s'amuser un peu après tout ? » La première fois pouvait être compréhensible et excusable comme résultant de la crétinerie d’enfants livrés à eux-mêmes et inconscients de la portée de leurs actes ; par contre la récidive implique des conséquences bien plus graves pour l’avenir d’Anaïs ! Nous te conseillons de bien réfléchir à ce point-là qui sera crucial pour déterminer la personnalité adulte d’Anaïs plus tard, n’hésite pas à en discuter avec ta marraine ou avec nous ! - « Vous vous en doutez, que, naturellement, il est apparu que je serais bien plus forte que Loïc. » Vous vous doutez naturellement que j’étais plus forte que Loïc // Vous vous en doutez naturellement : j’étais plus forte que Loïc. - « Il subissait des brimades dans les rues de la Volte, de la part de quelques enfants plus âgés. Il m'est arrivé, de devoir intervenir pour le sauver d'un mauvais pas. » Quelques enfants plus âgés lui infligeaient des brimades dans les rues de la Volte. Il m’est arrivé de devoir intervenir pour le sauver d’un mauvais pas. + Attention, une bande de gamins des rues aura toujours le dessus sur une fille de bouchers-charcutiers qui n’a jamais eu besoin de se battre pour survivre ni de chasser ou voler sa nourriture. - « Vers 8 ans, cela en était fini d'être espiègle, je devais, en effet, protéger mon frère. Comme ma mère qui, en son temps, protégeait ses frères et ses sœurs. Un jour, il s'est fait taper dessus par des gosses plus grands. Vu que j'ai toujours été plus grande que lui, j'ai repoussé l'autre le griffant, le poussant, hurlant tout ce que je pouvais Une vraie dragonne qui a fait détaller les autres gosses. » Détaler. + Nous pensons que tu peux supprimer ce passage qui est redondant avec ce que tu expliques plus haut et qui manque de crédibilité au vu des bandes de gamins des rues et de la carrure que devait avoir Anaïs à huit ans, avant sa poussée de croissance. - « Nourrie d'une fierté d'avoir vaincu la petite bande, j'ai enchaîné les bourdes, provoquant les autres. » Attention, ils sont armés, Anaïs se ferait tuer bien trop facilement ! - « Mais, du haut de mes 9 ans, j'étais bien trop frêle. Ma mère a dû intervenir, un jour, au retour d'une de ses nombreuses missions. Je n'ai nullement toléré son ingérence dans mes affaires et je lui fis face sifflant entre mes dents. » Une fille, en Cibella, est élevée pour respecter sa mère au-dessus de tout le reste. Anaïs est forcément intimidée par une guerrière de sa stature – et si elle lui parle aussi mal que tu le décris, la mère en question peut très bien l’assommer d’un revers du poignet, et reprendrait très sévèrement son éducation. - « Je me laisserai pas marcher sur les pieds, on ne peut pas sortir de la maison sans subir moqueries ou rabaissement, je me battrai plus tard, comme toi maman et j'aurai pas besoin de toi ». (« rabaissement » dans ce contexte ne peut être utilisé que pour l’immatériel : on peut « rabaisser quelqu’un », mais on ne peut pas lui « faire du rabaissement » !) D’où viennent ces moqueries que tu mentionnes ? Est-ce que c’est lié à l’histoire de la grand-mère ? - « Qui l'eut cru qu'à peine âgée de 9 ans, mon chemin se calquait sur celui de ma mère ? » Qui eût cru que, à peine (…) celui de ma mère ? // Qui l’eût cru ? À peine âgée (…) celui de ma mère. - « C'est ton Destin, on aurait pu le chanter à cette époque là aussi. » Destin avec une majuscule désigne le dieu. Ici, emploie « destin » sans majuscule ! + cette époque-là.
- Partie 4 – De 984 à 994.:
- « Par Kern, quand je suis rentrée à la maison ce jour là après avoir osé lui tenir tête, je peux vous dire que je crois que je vais m'en souvenir toute ma vie. » La tournure est un peu lourde, il y a beaucoup d’accumulation. Choisis peut-être une formulation plus simple, de type « Je me souviendrai toute ma vie de ce jour où j’ai osé lui tenir tête. » - « Idiote, imprudente autant de qualificatifs pour définir mon attitude à l'égard d'inconnus. » Verbe absent + ponctuation manquante, nous te recommandons : Idiote, imprudente : voilà les qualificatifs pour définir mon attitude à l'égard d'inconnus. - « Certes ce n'était que des gosses mais pour ma mère j'avais été simplement et purement inconsciente. » Ce n’étaient + virgule avant « mais ». - « Je n'avais pas encore réellement appris à me battre mais déjà l'envie s'en faisait ressentir. » Virgule avant « mais ». - « Au contraire de mon frère, j'étais bien plus dure à cuire. » Au contraire de mon frère, j’étais dure à cuire. // J’étais bien plus dure à cuire que mon frère. - « Je voulais sans arrêt provoquer, aider sans me soucier de la moindre conséquence de mes actes. » Provoquer et aider ne vont pas ensemble dans ta formulation, c’est un contresens. + Nous placerions la virgule avant « sans », éventuellement, à confirmer quand tu auras précisé le sens de ta phrase ! - « Je devenais de plus en plus viscérale, à être à fond dans chacun de mes actes, pour rendre cette mère que j'admirais, de plus en plus fière de moi. » Nous ne comprenons pas le sens que tu donnes à viscérale dans ce contexte ? + Nous te suggérons de couper cette phrase en deux, cela rendra la formulation bien plus fluide, un peu dans ce style : « J’admirais ma mère, et je voulais la rendre fière de moi. Je devins donc de plus en plus (viscérale ?), mettant un point d’honneur à aller au fond des choses. » - « Anaïs si tu veux être une guerrière, plus tard, il va falloir te calmer et travailler dur. Ton corps est celui d'un enfant pour l'instant ». Anaïs, si tu veux devenir guerrière, tu dois te calmer et travailler dur. Ton corps est encore celui d’une enfant. » - « Puis désignant ma chambre » Puis elle poursuivit, désignant ma chambre. - « Tu joues encore à la poupée, je ne te demande pas de ne plus y jouer mais, tu sais que le chemin que tu choisis ne sera pas que douceur. Si tu m'écoutes et que tu travailles, me promettant de ne pas aller plus vite que la musique, je vais te l'apprendre. C'est moi qui te montrerai ce chemin et ce que tu vas devoir accomplir pour réussir. » Je ne te demande pas de plus jouer à la poupée, mais le chemin que tu choisis ne sera pas que douceur. Écoute-moi, travaille, promets-moi de ne pas vouloir aller trop vite ; et je t’enseignerai. Je te montrerai ce chemin, et ce que tu devras accomplir pour réussir. + Vu qu’elle a agressé sans motif une personne âgée et se bat régulièrement avec des bandes des rues, sa mère peut-elle réellement encore penser que sa fille est douce ? - « Mais elle se trompait, il n'y eut pas qu'elle ; mes tantes guerrières aussi sont venues pour m'expliquer, m'enseigner les rouages du combat. » Mes tantes guerrières, elles aussi, sont venues m’enseigner les rouages du combat. - « Mon frère quant à lui était plus affairé à aider à la boucherie-charcuterie. Il était plus docile, plus manuel que moi-même. » Mon frère, quant à lui, apprenait son métier à la boucherie-charcuterie. + Un boucher n’est pas manuel, ce n’est pas un artisan, que veux-tu dire exactement ? - « Les garçons je continuais à les croiser et ma provocation se manifestait d'une autre manière un clin d'oeil, un tonneau que je faisais tomber avant de fuir en riant. Je poursuivais sur ce chemin de véritable petite peste. » Je continuais à croiser et à provoquer les gamins des rues. + Mais qu’est-ce que ça lui apporte, au final, d’être une peste ? Elle est en train de construire la réputation sur laquelle elle s’appuiera plus tard pour avoir des contrats, est-ce que tu veux vraiment sabrer toutes ses chances d’être engagée, dès maintenant ? - « Mais ces moments bien souvent contrastaient avec cette douceur innée. L'on pouvait me voir dans ma chambre en train de conter des histoires à mes poupées. Une fois ma mère est rentrée et souriante, je l'ai regardée, alors que je me dirigeais vers la vingtaine » Non, clairement, Anaïs n’est PAS douce. Tu vas devoir réfléchir au caractère que tu veux réellement lui donner ! + À vingt ans on ne joue plus à la poupée dans sa chambre, on travaille pour gagner sa croûte / on s’entraîne et on se rend utile pour mériter sa pitance. L’oisiveté est un privilège réservé à la noblesse. + Ponctuation absente en fin de phrase. - « Maman tu crois que l'on peut être guerrière et encore jouer à la poupée ? » Si c’est connu chez les Guerriers, sa réputation est finie ! - « Souriante elle me répondit » Ponctuation finale manquante. - « Il n'y a pas de honte à laisser parler l'enfant qui est en toi, cela te permettra de peut-être encore mieux digérer les horreurs que tes missions te feront voir quelques fois ». Sa mère, guerrière expérimentée, voudrait plutôt l’endurcir et la préparer pour qu’elle ait la force d’âme et la résistance nécessaires à occuper le poste qu’elle brigue. + quelquefois. Globalement, Anaïs a-t-elle vraiment besoin d’être une terreur des ruelles pour que sa mère s’intéresse à elle ? Si elle grandit sans trouble, et qu’elle lui demande de lui enseigner sa voie, sa mère ne refuserait pas ; tout le contexte rocambolesque entourant son enfance est-il réellement nécessaire ?
- Partie 5 – de 994 à 999:
- « Alors âgée de 20 ans, ma mère avait décidé de ne prendre des missions qu'à la Volte. La boucherie-charcuterie subvenait aux besoins de la famille. » Se restreindre à la Volte réduira drastiquement les missions qui lui seront proposées, et donnera à l’ensemble de la famille une réputation de prétention. + La boucherie-charcuterie prospère malgré les mauvais traitements réservés à la clientèle ? - « Un système de pot commun s'était créé entre tantes et oncles mais aussi cousins permettant à chacun de vivre décemment. » La boutique ne peut pas faire vivre toute la famille étendue, et le système de pot-commun n’existe pas à cette époque. - « Ma mère m'a ramenée, un jour, une épée alors que, patiente depuis des années, je n'avais jamais demandé une arme aussi mineure soit elle à celle qui était mon mentor. » ramené. Elle s’entraîne avec quoi si elle n’a pas eu d’épée jusque-là ? + La formule est un peu lourde, si tu coupais ta phrase en deux ? Quelque chose du genre : Je n’avais jamais demandé d’arme à ma mère. Pourtant, en bon mentor, elle m’en offrit une [préciser le jour]. - « Ce jour là, lorsque j'ai posé la main sur cette arme, je l'ai levée fièrement un sourire radieux inondant mes lèvres. » Jour-là. Virgule après fièrement. - « Ce fut ma mère, pendant ces 5 ans, qui m'apprit ces jeux de jambe, associés au maniement de l'arme. Utiliser ma patience pour parvenir à bout d'un adversaire coriace, manipuler au moyen de mon espièglerie. Au début novice maman me reprenait. » Pendant ces cinq années, ma mère m’enseigna tout autant le maniement de l’arme que des jeux de jambe. J’appris à me montrer patiente pour triompher d’un adversaire coriace, et à le manipuler avec espièglerie. + Anaïs n’est pas vraiment espiègle, ton histoire la montre plutôt vicieuse, avec un goût prononcé pour la violence gratuite. - « A l'issue des 5 années, en plein milieu d'un entraînement, devant le reste de la famille, nos lames s'entrechoquaient. Je sautillais de mètre en mètre et je ne la quittais pas du regard. D'un bout du pied je fis tomber un panier de noix présent, ce qui arracha un rire franc de ma mère » L’entraînement est trop long. Les guerriers sautillent ? Les entraînements se font dans des endroits sécurisés, pour ne pas risquer de décapiter par erreur un petit cousin trop curieux, ou une mamie qui passait par là entre deux étals. + issue, enlève le « présent » après « panier de noix », ponctuation finale absente. - « Tu crois vraiment me déstabiliser avec ça Anaïs, il va t'en falloir bien plus pour affronter le mal ». Coupe en deux : Tu crois vraiment me déstabiliser avec ça, Anaïs ? Il va t’en falloir bien plus ! + Nous te suggérons d’ôter la fin de la phrase, car il n’y a pas de notion de bien contre le mal en Arven. - « Mais j'avais une autre idée en tête. Je sentais les regards qui se pointaient sur moi et ma fierté reprit le dessus, je sautai sur une des caisses puis sur ma mère l'immobilisant et repoussant son épée. « Non maman, moi j'agis autrement, je te surprends toujours ». » Cf plus haut sur les entraînements en huis clos entre guerriers. Virgule avant « l’immobilisant ». Nous trouvons peu probable qu’Anaïs surprenne toujours sa mère alors que c’est elle qui lui a appris tout ce qu’elle sait. - « C'est souriante, que je me relevai et que je vis un homme à peine plus loin les bras croisés. » Je me relevai souriante, sous le regard d’un homme non loin de là, qui nous observait les bras croisés. - « Un homme que je rencontrerais bien plus tard, le responsable cette Guilde. Posant mon regard sur ma mère je lui tendis la main » Anaïs n’a jamais vu le supérieur de sa mère, qui est un personnage public à la Volte ? + Tournure un peu maladroite, nous te suggérons plutôt quelque chose comme : C’était le responsable de la Guilde des Guerriers, que je rencontrerais bien plus tard. + Ponctuation finale absente. - « « Je t'en prie relèves toi, où est donc cette brave guerrière battue par sa fille ? ». Nos rires se sont noyés dans le fou rire général de la foule qui s'était amassée jusque là. » Nous ne comprenons pas ces deux phrases. D’où sort cette foule ? Et il n’y a rien de drôle, qu’est-ce qui la fait rire ? Quel est le sens de ce que dit le commandant ?
- Partie 6 – De 999 à 1002:
- « Je suis allée payer mon dû, fièrement, pour suivre le chemin que ma mère a choisi. » Avec quel argent ? Elle ne travaillait pas. - « Je suis restée à la Volte pour rester proche de ma famille. » Il n’y a une répétition de rester. - « Mais n'allez pas croire que j'allais me plaindre des coups que je pouvais prendre, durant ces années, dans les girons de ma mère. » Le giron ou les jupes. Nous ne comprenons pas bien ce que tu veux dire : sa mère la frappe, ou elle ne va pas se plaindre auprès de sa mère ? Peut-être peux-tu le formuler plus simplement : Durant ces années, pas une fois je n’allai [pleurer dans les jupes de ma mère/me plaindre à ma mère]. - « Non, cette évocation est une pure et simple hérésie. » Nous ne comprenons pas cette phrase. - « Mon caractère acerbe est toujours perceptible. » Nous n’avons pas spécialement relevé cela dans la fiche. Violente, brutale, paresseuse, oisive, agressive, oui : mais pas acerbe. - « Toutefois, il ne va sans dire que, pour être reconnue à mon niveau, et collaborer en toute quiétude, je dois apprendre à dissimuler mes défauts. Ma mère m'a suffisamment prévenue. C'est donc, presque un peu trop docile que j'accomplis ces trois ans. » Ta réputation est déjà grillée depuis des années à la Volte. - « Aujourd'hui, je suis entièrement reconnue à mon juste niveau. » Un apprentissage de quinze ans, dont dix ans sans épée, sans aucune expérience de terrain… Ce n’est pas vraiment flatteur pourtant, et cela aussi c’est connu à la Volte. - « Jeune femme douce derrière ce masque de froideur et d'endurance il m'est arrivé de remettre une couverture sur un des mages grelottants. J'accompagnais ce geste doux d'un sourire, réconfortant comme je pouvais ces hommes et ces femmes blessées dans ce qu'ils étaient. » Ce passage est en complète contradiction avec le caractère décrit dans le reste de la fiche. - « C'est ainsi que, désormais, je mène ma vie de mission en mission, de protection en protection, de combat en combat ; la main armée, le regard vif je fais en sorte de ne rien rater et d'accomplir ce rôle qui est le mien. » Si nous comptons bien, Anaïs reçoit sa première épée à 20 ans, entre dans la Guilde 5 ans plus tard, et effectue ensuite ses 3 ans de probation. Elle a actuellement 28 ans, donc elle est Guerrière de plein droit depuis… deux mois ? Elle a encore largement ses preuves à faire, et n’a absolument aucune expérience du vaste monde.
- Trame alternée :
- Cf le premier commentaire de fiche : si Anaïs se souvient actuellement, cela veut dire qu’elle s’est éveillée dans la trame alternée. L’apprentie guerrière s’est donc retrouvée d’un coup dans le corps d’une prostituée de luxe. Elle a forcément paniqué. - Compagne, avec une majuscule. - «courtisée par ces hommes que je supplante habituellement. » Pas courtisée : payée, achetée. Les Compagnes marchandent leurs services sexuels, contre de l’argent. « supplante » ? - la Guilde des Compagnes n’embauchera jamais une guerrière titulaire depuis deux mois, avec la réputation très néfaste que s’est construite Anaïs. 6/ Questions→ Concernant la Chasse Sauvage - les gens ont compris à présent que des armes ne les protégeront pas de la Chasse. - « cette frilosité » : ils ont froid ? - « Je ne suis qu'une femme » NON ! Anaïs est fière d’être une femme, car cela la rend plus compétente qu’un homme ! Elle est cibellane, elle a grandi dans cette conviction. Tu peux prendre exemple sur Gaëtane, par exemple. - ponctuation finale manquante. → Concernant la trêve - « Cette trève sonne le glas de plusieurs centaines voire plus de morts. » L’expression « sonne le glas » est mal employée. Dis plutôt que la trêve (accent circonflexe) a épargné des milliers de vies. - réclament - « Donc, au final, cette trève est peut être bien après tout. » Trois lignes plus haut, Anaïs raconte être née pour se battre et haïr les ennemis. On manque un peu de cohérence. → Concernant Lorgol - Elle ne peut pas aller s’y balader tranquillement, elle doit suivre ses contrats. - Anaïs a grandi choyée, elle est forcément effrayée par les bas-fonds et les crimes qui s’y commettent, la réputation de Lorgol n’est plus à faire. Garde en tête que Anaïs n’a jamais quitté la Volte et ne connaît absolument rien du vaste monde. 7/ Test RP- Spoiler:
- Elle ne décide pas tranquillement de surveiller le marché de sa propre initiative. Si elle a choisi cette mission parmi celles proposées, elle a rencontré le commanditaire qui a dû accepter de l’engager, et elle a signé un contrat officiel l’habilitant à exercer autorité sur les passants. - Cf nos remarques plus haut sur le pot commun. - « De plus, mon père sera présent en tant que second de la boucherie-charcuterie, mais aussi, mon frère. » De plus, mon père sera présent en tant que second de la boucherie-charcuterie, ainsi que mon frère. - « C'est pour cette raison, que, je les regarde s'affairer à la préparations des quelques produits qu'ils présenteront ce matin. » Virgules à retirer + préparation. - « nos clients sont divers des commerçants soucieux de leur protection, les nobles,.... » nous avons parmi nos clients des commerçants soucieux de leur protection et quelques nobles. Pas de virgule devant des points de suspension. - hommes ou femmes - NON, Anaïs n’aide pas : elle effectue la mission pour laquelle elle est payée, point. Sa famille se rendra sur place par ses propres moyens. - « Je souris alors que je vois que Loïc et mon père ont fini leur paquetage. » Je souris lorsque Loïc et mon père terminent leur paquetage. - « C'est bon ces messieurs sont prêts on peut y aller pour de vrai ? » C’est bon ? Ces messieurs sont prêts ? On peut y aller, pour de vrai ? - « Je n'ai pas la main sur mon arme, mais ma tenue est suffisamment équivoque, pour que les chalands m'adressent un sourire, et un salut de la tête. » Virgule surnuméraires : Je n'ai pas la main sur mon arme, mais ma tenue est suffisamment équivoque pour que les chalands m'adressent un sourire et un salut de la tête. - « Je m'installe même assise. » NON ! Un Guerrier payé pour protéger un endroit ne reste pas à fainéanter peinard dans un coin. - « Cet homme là, je le connais de vue, puisqu'il est de la Volte tout comme moi. » homme-là. + Évidemment qu’elle le connaît de vue, tous les Guerriers présents sont forcément de la Volte : une mission aussi peu prestigieuse que la surveillance d’un marché ne sera proposée qu’à l’antenne locale. - « A la base, j'étais bien, solitaire, en survol de ce lieu de commerce mais, en sa compagnie, cela pourrait être ma foi, encore bien plus agréable. » J’étais bien solitaire, mais en sa compagnie cela pourrait être [bien plus agréable/encore plus agréable].
Voilà, on est au bout ! Comme tu le vois, c’est très dense et complet, nous avons analysé tout autant le contenu que la formulation de ton écrit. Cela nous a pris un bon moment, mais nous espérons que cela t'aidera à progresser ! Nous sentons une bonne amélioration par rapport à ton premier essai, tu es en bonne voie ! Il reste encore un peu de travail pour bien tout bien agencer. Nous te conseillons de revoir l’enfance d’Anaïs, pour alléger un peu la méchanceté sous-jacente dans son caractère, et éviter qu’elle ne se retrouve avec une réputation désastreuse à la Volte. Nous espérons que nos recommandations rédactionnelles te seront utiles pour progresser et rendre ton écrit plus fluide. Ta marraine pourra t’aider si tu as besoin de conseils pour remanier un peu son passé. Nous sommes également à ta disposition dans la section des Demandes et Questions ! Compte tenu des modifications à effectuer, souhaites-tu un délai supplémentaire ? Il te reste dix jours, pour le moment. Courage ! |
| | | Les Guerriers Anaïs Belécu Messages : 2322 J'ai : 29 ans Je suis : Guerrière - membre de la Guilde des Guerriers à la Volte Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Guilde des GuerriersMes autres visages: Adonis le Lys | | | | La Cour des Miracles • Admin Mélusine de Séverac Messages : 5858 J'ai : 34 ans Je suis : marquise de Sinsarelle, dame de Séverac, Voleuse de la Cour des Miracles Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Cour des MiraclesMes autres visages: Quitterie ♦ Ljöta ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade ♦ Chasteté | | | | Les Guerriers Anaïs Belécu Messages : 2322 J'ai : 29 ans Je suis : Guerrière - membre de la Guilde des Guerriers à la Volte Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Guilde des GuerriersMes autres visages: Adonis le Lys | | | | Les Guerriers Anaïs Belécu Messages : 2322 J'ai : 29 ans Je suis : Guerrière - membre de la Guilde des Guerriers à la Volte Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Guilde des GuerriersMes autres visages: Adonis le Lys | | | | La Cour des Miracles • Admin Mélusine de Séverac Messages : 5858 J'ai : 34 ans Je suis : marquise de Sinsarelle, dame de Séverac, Voleuse de la Cour des Miracles Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Cour des MiraclesMes autres visages: Quitterie ♦ Ljöta ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade ♦ Chasteté | | | | Les Guerriers Anaïs Belécu Messages : 2322 J'ai : 29 ans Je suis : Guerrière - membre de la Guilde des Guerriers à la Volte Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Guilde des GuerriersMes autres visages: Adonis le Lys | Sujet: Re: Anaïs guerrière de mère en fille Dim 4 Fév 2018 - 12:36 | |
| coucou La nouvelle fiche est postée Merci à vous NB : un grand, un énorme merci à Chaton, Astarté et Richard au passage pour leur aide et leurs encouragements précieux et le staffiennes bien entendu |
| | | La Cour des Miracles • Admin Mélusine de Séverac Messages : 5858 J'ai : 34 ans Je suis : marquise de Sinsarelle, dame de Séverac, Voleuse de la Cour des Miracles Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Cour des MiraclesMes autres visages: Quitterie ♦ Ljöta ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade ♦ Chasteté | Sujet: Re: Anaïs guerrière de mère en fille Dim 4 Fév 2018 - 21:52 | |
| Coucou, Nous avons relu ta fiche. Il reste des approximations et des maladresses, qui ne bloquent pas ta validation mais dont nous te demandons de prendre connaissance. LE FONDNous tenons à nous assurer que tu as bien compris les éléments suivants : - Anaïs est une mercenaire, elle n’est pas soldat (la Guilde des Guerriers n’est pas un corps d’arme) ; - Ayant grandi dans une famille de guerrières, il y a de grandes chances qu’une carrière dans les armes ait été envisagée assez rapidement pour elle ; - Si elle a hésité pendant des années, sa mère aurait lâché l’affaire bien plus tôt pour la placer en apprentissage dans un autre corps de métier. - La Belle au Bois Dormant n’existe pas dans notre univers ; - Les Guerriers ne sont pas loyaux envers leurs employeurs, ils vendent leurs talents au plus offrant ! - Concernant la Trêve, Anaïs reste une Guerrière, une combattante mercenaire : elle prospère grâce aux temps troublés de la période actuelle. Protéger et escorter implique qu’il y a un ennemi menaçant ses clients ; - L'apprenti au cageot renversé n'a absolument pas troublé l'ordre public, et Anaïs ne représente pas l'autorité, de quel droit se permet-elle des remontrances ? - Tu avais envisagé de faire de Serenus ton cousin. Dans ton test RP ce ne semble pas être le cas ; du coup il ne pourra pas le devenir ultérieurement. LA FORME- Pas de majuscule à dieu et à déesse dans tes informations générales ; - On dit « avoir l’ascendant sur » ; - « les femmes qui exercent. » … l’autorité, peut-être ? ; - tu as des points entre les paragraphes ici et là. Tout ce qui est listé ci-dessus ne bloque pas ta validation. Il reste cependant un point bloquant que nous te demandons de rectifier impérativement : - La question concernant la Chasse Sauvage : tu ne réponds pas du tout à la question. Je t’invite à relire les annexes de la Chasse Sauvage et de la Rose Écarlate, puis à te demander, concrètement, si Anaïs est intriguée, effrayée, indifférente, curieuse… vis-à-vis de la Chasse. Que sait-elle de la Chasse Sauvage ?Nous te laissons jusqu'à demain soir pour rectifier ce point. Courage ! |
| | | Les Guerriers Anaïs Belécu Messages : 2322 J'ai : 29 ans Je suis : Guerrière - membre de la Guilde des Guerriers à la Volte Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Guilde des GuerriersMes autres visages: Adonis le Lys | Sujet: Re: Anaïs guerrière de mère en fille Lun 5 Fév 2018 - 17:15 | |
| - Mélusine de Sylvamir a écrit:
LE FOND Nous tenons à nous assurer que tu as bien compris les éléments suivants : - Anaïs est une mercenaire, elle n’est pas soldat (la Guilde des Guerriers n’est pas un corps d’arme) ; - Ayant grandi dans une famille de guerrières, il y a de grandes chances qu’une carrière dans les armes ait été envisagée assez rapidement pour elle ; - Si elle a hésité pendant des années, sa mère aurait lâché l’affaire bien plus tôt pour la placer en apprentissage dans un autre corps de métier. - La Belle au Bois Dormant n’existe pas dans notre univers ; - Les Guerriers ne sont pas loyaux envers leurs employeurs, ils vendent leurs talents au plus offrant ! - Concernant la Trêve, Anaïs reste une Guerrière, une combattante mercenaire : elle prospère grâce aux temps troublés de la période actuelle. Protéger et escorter implique qu’il y a un ennemi menaçant ses clients ; - L'apprenti au cageot renversé n'a absolument pas troublé l'ordre public, et Anaïs ne représente pas l'autorité, de quel droit se permet-elle des remontrances ? - Tu avais envisagé de faire de Serenus ton cousin. Dans ton test RP ce ne semble pas être le cas ; du coup il ne pourra pas le devenir ultérieurement.
Coucou - Mercenaire : pas de souci, j'ai bien assimilé ce point là - Famille de guerriers : oui, sa mère avait nourri de profonds espoirs en elle, mais il est vrai que je n'ai pas voulu me noyer dans des détails qui auraient pu me perdre - Hésitation : oui je me doute c'était plus pour évoquer le côté studieux. - La Belle au Bois Dormant : pardon envolée lyrique il n'y aura pas de contes dans mes RP's soyez rassurées - Loyauté : bien entendu - Trève : oui, je me doute, il y a un ennemi derrière chaque client :) - Apprenti : alors pour cet aspect, c'est plus pour souligner le trait de caractère maniaque. Ce n'est vraiment pas méchant (clin d'oeil qui suit derrière). Je ne renouvellerai pas de telles paroles dans mes prochains RP's, elle restera bien entendu à sa place - Serenus : je note, j'ai vu cela par MP avec lui - Mélusine a écrit:
- LA FORME
- Pas de majuscule à dieu et à déesse dans tes informations générales ; - On dit « avoir l’ascendant sur » ; - « les femmes qui exercent. » … l’autorité, peut-être ? ; - tu as des points entre les paragraphes ici et là. Les majuscules sont rectifiées, tout comme l'ascendant et l'exercice de l'autorité Pour les points j'ai refait le tour pour les rajouter Pour la Chasse j'ai corrigé cela |
| | | La Noblesse • Admin Alméïde de Sombreflamme Messages : 17441 J'ai : 33 ans Je suis : dame de Sombreciel et médecin Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Castiel, duc de Sombreciel, mon époux ; l'empire d'IbélèneMes autres visages: Ilse, Liselotte, Teagan | Sujet: Re: Anaïs guerrière de mère en fille Lun 5 Fév 2018 - 19:00 | |
| Faërie • Guerriers Bienvenue ! Anaïs Belécu Cette fois c'est bon ! Cela dit, fais très attention à la cohérence de tes futurs RP et prends bien en compte les dernières remarques faites sur ta fiche, on compte sur toi.
Tu peux dès à présent aller gambader gaiement parmi les dragonnets :
• La première chose à faire est de poster ton test RP dans la zone de jeu, pense bien à poster en premier lieu le formulaire de recensement complété (incluant la date précise, et le lien du topic !)
• Tu peux d'ailleurs commencer ta collection de cartes d'Omen ! Ta validation te donne droit à deux cartes communes.
• C'est le moment d'aller faire les yeux doux aux autres dragonnets ! Ouvre vite ta fiche de liens et fais-toi plein de copains. Ou de pas-copains. Comme tu préfères.
• Nous te conseillons également vivement de tenir ta chronologie bien à jour : l'ubiquité reste encore à inventer, côté magie et côté science.
• N'hésite pas à nous faire part de la moindre demande ou question !
• Tu peux dès à présent poster un ou plusieurs scenarii - n'hésite pas à les construire avec d'autres membres pour cumuler ses liens et décupler son attractivité.
• Les dragonnets sont bavards. Viens flooder et passer tes soirées à refaire le monde sur la CB !
• Et enfin, n'oublie pas que le forum a besoin de toi pour être connu : tu peux voter pour Chroniques d'Arven toutes les deux heures et nous attirer encore plus de dragonnets !
Bon jeu à toi en Arven. Puisse le Destin te guider par la main sur ses tortueux chemins... |
| | | La Cour des Miracles • Admin Mélusine de Séverac Messages : 5858 J'ai : 34 ans Je suis : marquise de Sinsarelle, dame de Séverac, Voleuse de la Cour des Miracles Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Cour des MiraclesMes autres visages: Quitterie ♦ Ljöta ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade ♦ Chasteté | Sujet: Re: Anaïs guerrière de mère en fille Sam 15 Déc 2018 - 13:18 | |
| Il y a eu quelques couacs dans ton encadré de récap, miss ! Il y a une faute dans ton nom et tu as mis deux fois les Guerriers, est-ce que c'est une inversion avec un autre groupe ? Fais-moi signe quand ce sera bon ! |
| | | La Cour des Miracles • Admin Mélusine de Séverac Messages : 5858 J'ai : 34 ans Je suis : marquise de Sinsarelle, dame de Séverac, Voleuse de la Cour des Miracles Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Cour des MiraclesMes autres visages: Quitterie ♦ Ljöta ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade ♦ Chasteté | Sujet: Re: Anaïs guerrière de mère en fille Dim 16 Déc 2018 - 1:10 | |
| ... On est donc passé de : Guerriers/Peuple/Guilde des Guerriers à Guerriers/Guilde des Guerriers, ce qui revient donc au même, et tu as perdu le groupe qui donne ton statut social ? XD
EDIT : Pour ne pas perdre plus de temps, j'ai effectué les corrections moi-même, tu peux aller tirer tes deux cartes de validation ! |
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