| | Candide Brisegogue, pommes de terre et rimes pauvres. | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Candide Brisegogue, pommes de terre et rimes pauvres. Lun 21 Aoû 2017 - 18:43 | |
| Monplais' présente Candide Brisegogue Elijah Wood « La vie est dure et à la fin on meurt. » ·Candide est un homme en général assez généreux. Ayant vécu l’essentiel de sa vie au crochet familial, celui-ci est coutumier de l’hospitalité d’Outrevent. ·Aventurier, il connaît les environs de sa région comme sa poche mais n’a jamais osé aller plus loin, car craintif de remettre en question l’autorité de son entourage. ·Créatif, il a un constant désir de jouer avec les mots et la musique. Il ne lui manque que le talent. Il aime écrire des chansons mais est plus porté sur la poésie. ·Curieux et plus ouvert d’esprit que la plupart des outreventois, il ne cesse de fouiner pour mieux comprendre les gens qui l’entourent et pour se donner de l’inspiration. ·Obstiné, il réfléchit seulement à l’éventualité de changer de position dans une situation après une succession considérable d’échecs critiques. ·Libertaire, il aime se considérer libre ainsi que son voisin, chose qui lui vaut de nombreux problèmes, notamment dans sa sphère familiale.
·Craintif, il a tendance à la paranoïa et à se mettre des bâtons dans les roues tout seul à cause de questionnement existentiel souvent en lien avec son cocon familial. ·Terre à terre, même s’il a déjà vu la magie en action et des événements semblables aux miracles, il est parfois butté par une logique froide qui l’empêche d’accepter certaines choses. ·Impulsif, il prend souvent de mauvaises décisions dans le feu de l’action, quasi systématiquement poussé par la crainte. ·Trop arrogant, il prend facilement la confiance face à une personne beaucoup plus puissante que lui. ·Flambeur, il n’a pas une grande conscience de l’argent, aime jouer aux jeux d’argent et achète beaucoup de babioles sur un coup de tête alors qu’il a bien d’autres choses plus importantes à faire avec sa monnaie. ·A un faible pour la boisson et les psychotropes.
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© New Line Cinema |
Candide a remporté une seule distinction durant toute sa vie, celle de l’éplucheur de pomme de terre le plus rapide du bourg dans lequel il a grandi, à l’âge de quinze ans. Ce n’est pas quelque chose dont il aime se vanter mais ses parents adorent raconter cette histoire à qui est à la table.
© New Line Cinema | Âge :25 ans Date et lieu de naissance : 25 novembre 977 en Outrevent Statut/profession : Ancien commis de cuisine devenu vagabond cherchant à devenir poète. Allégeance : Dans sa situation actuelle, personne mais avec une épée sous la gorge, il n’hésite pas à prononcer Liam d’Outrevent Dieux tutélaires : Levor, Omen, Rezrov par naissance mais Asma et Aïda par la suite. Groupe principal : Les pourparlers Groupes secondaires : Peuple
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Je suis né le 25 novembre 977 dans un petit bourg de l’Ouest d’Outrevent, pas loin des falaises cotières. Ma mère m’a toujours dit qu’il faisait un crachin d’enfer le soir de ma naissance, a-t-elle point qu’il fallait autant de serviettes pour éponger le docteur venu en urgence sous la pluie que pour installer confortablement ma mère durant son travail. Je suis plutôt un gros bébé qui ne grandit pas très vite. Je suis le second de la famille, avec un grand frère aîné, Claude, de trois ans et un plus petit de deux ans, Charles. Mon enfance n’est pas trop aisée mais je ne m’en rends pas compte. Je vois mon père travailler en cuisine et à la production de pomme de terre dans le petit champ derrière notre maison, alors que ma mère gère notre logis comme un gîte de passage pour les gens en chemin vers Souffleciel pouvant accueillir une petite famille. Appréciant apprendre, je me mets à lire et écrire très tôt et dès l’âge de dix ans, je me mets à écrire des nouveaux mots que scopatulerie pour signifier une germe de pomme de terre qui passe du vert au violet. En parallèle, je travaille au gîte, en cuisine comme commis où j’aide à la préparation des plats avec mon père et mes deux frères. Je suis doué, tellement que je gagne un concours de vitesse d’épluchage de pomme de terre qui met en compétition de nombreuses personnes de mon bourg. Ce soir là, c’était la fête et j’ai pu voir de la fierté dans le regard de mes parents. Cependant, à force de voir des gens de passage, je finis par rencontrer des personnalités qui vont avoir un impact fort sur mon caractère. Notamment des mages, des aventuriers mais aussi des conteurs et des artistes de chemin. J’aime parler avec eux, leur montrer mes poèmes. Peu se rit de moi mais sont encore moins nombreux ceux qui complimentent mon art. Il n’y a peu de drame dans mon histoire, si ce n’est peut-être celui de mes parents qui se tuent à la tâche et veulent absolument me refourguer l’entreprise familiale une fois qu’ils passeront l’arme à gauche pour cause d’épuisement. Mais moi, dès mes dix huit ans, je ne veux qu’une chose, vivre l’aventure et écrire le monde comme un barde, un poète. N’ayant pas d’argent pour m’offrir un bel instrument de musique, je fabrique des luths rudimentaires avec du bois creux et des cordes en boyaux ou en ficelles ainsi que des flûtes en pomme de terre. A mes vingt trois ans, mon père m’ordonne de me trouver une compagne car eux ne peuvent plus avoir de descendance et comptent absolument sur moi et mes frères pour continuer. Entre mes vingt trois ans et vingt cinq ans, je tente à plusieurs reprises de fuir le foyer familial. Je ne supporte plus la froideur de mon père et sa volonté de détruire toutes mes aspirations artistiques. Je passe mon temps à rêver des terres du sud, voir les jardins de Lagrance et toucher aux plus fins des papiers, croiser des penseurs libres de Lorgol. Cependant, je suis toujours repris dans mes tentatives par la culpabilité et la crainte de décevoir ma famille et de leur apporter la honte. Ce n’est qu’en août 1002 que j’arrive à briser mes chaînes familiales, avec pertes et fracas.
Que penses-tu de ce qui est arrivé à l'impératrice d'Ibélène ? Est-ce que sa mort te réjouit ou au contraire es-tu attristé par cette nouvelle ? Même si mon éducation me pousse à avoir plus de sympathie pour Faerie, je suis attristé de la mort brutale et soudaine de Caterine d’Ibélène. Je n'aime pas spécialement apprendre le décès de personnalité, les nouvelles tristes me prenant trop souvent aux tripes. Je ne suis pas connaisseur des faits de société dans les hautes sphères mais j'essaye toujours de me tenir au courant. L'annonce de ce décès me fait imaginer que cela ne présage rien de bon.
Une épidémie se répand en ce moment dans tout Arven, touchant uniquement les mages. Qu'en penses-tu ? Es-tu prêt à venir en aide aux malades ou les laisseras-tu se débrouiller ? Je fais de mon mieux pour aider au maximum même si je suis plutôt charrette en ce moment. J'ai entendu parler de cette maladie et elle a effectivement un peu brisé le passage des mages qui se rendent à Souffleciel. Je n'essaye de pas trop y penser de peur de tomber malade moi aussi même si je ne suis pas mage. Si je croise quelqu'un de malade, je ferai ce que je peux pour l'aider même si je sens que je vais plutôt tourner de l'oeil en voyant les dégâts que ça peut causer.
Que penses-tu de Lorgol, la ville aux Mille Tours ? Est-ce que tu t'y promènes sereinement ou est-ce que la capitale des peuples libres t'oppresse ? J’en ai toujours rêvé, je ne fais que l’espérer. Je n'y ai jamais mis les pieds mais j'ai toujours eu la volonté d'arpenter ses rues et respirer la liberté. Je ne connais que la région du nord et j'espère dans ma quête de formation à la poésie, faire au moins un crochet voir vivre un temps dans cette ville dont je n'ai entendu que des contes et légendes.
Dans la vie, je m'appelle Monplais' et j'ai 26 ans. J'ai découvert le forum via une collègue de l'internet et voici ce que j'en pense : Ca fait trois heures que je lis du contexte et ça m’ennuie pas, c’est plutôt une très bonne chose, haha. Pour les inventés : Je vous autorise à faire de mon personnage un scénario si mon compte était supprimé.
Dernière édition par Candide Brisegogue le Lun 21 Aoû 2017 - 19:38, édité 6 fois |
| | | | Sujet: Re: Candide Brisegogue, pommes de terre et rimes pauvres. Lun 21 Aoû 2017 - 18:44 | |
| Candide Brisegogue Pour une pomme de terre de plus 25 août 1002 Je la sens. Elle est là, à portée de main. J’ai la plume dans l’encrier depuis des heures et voilà qu’au détour d’une réflexion à propos des fleurs fantasmées des jardins d’été d’Edenia qu’a pu me conter Mandolin Souplecorde il y a fort longtemps, je sens cette sensation m’envahir. J’attrape mon manteau de laine, mon cahier de brouillon et ma plume, enfile mes chausses et me dirige bruyamment hors de la chambre. Je traverse la pièce principale du gîte. Mon père m’entrevoit depuis la cuisine et me crie « T’étais fourré où comme ça, Candide ? Et où c’est que tu t’sauves encore, tu crois que ça s’fait tout seul la purée ? ». Je fais mine de ne rien entendre et ouvre la porte vers l’extérieur. Il y a un vent à couper le sifflet à une fanfare royale. Je m’emmitoufle dans mes vêtements tout en me déplaçant d’un pas décidé vers la petite butte à côté du gîte. Il y a peu de personnes dehors, le vent est bien trop capricieux mais je le sens, c’est là, proche de moi, en moi même, prêt à surgir sur le papier dans un élan inspiré. Je sors le papier et ma plume encore humidifiée par l’encre beaucoup trop chère. Je ne peux plus me retenir, je me lance et sonde les tréfonds de mon esprit pour accoucher sur papier mes plaies cachées.
Quand chante les roses dans nos prés Le vent ne saurait tarder à souffler Chaque pétale s’envole vers un lointain Que des mains d’enfant ne peuvent attraper
C’est là, tout près, je sens que mon chef d’oeuvre est à point mais une tâche obscurcit au fur et à mesure ma volonté pour n’être qu’un bourbier de doute.
Les pissenlits ne font pas longue durée Quand vient le souffle du matin
Je suis dans une furie d’écriture mais me vient alors l’image de mon père, sa voix résonnant dans mon crâne comme un vilain jugement. Je pousse mon esprit jusqu’à ses derniers retranchements, persuadé de pouvoir ponctuer de ma plus belle rime ce poème auquel j’accorde ma vie. Je ferme les yeux et mécaniquement me lance à corps perdu dans l’éclat final de mon geste.
Il n’y a de meilleure purée que celle suffisamment écrémée
J’ouvre les yeux. Je fixe ce que j’ai écrit, tellement longtemps que le vent finit par me les sécher. Un sentiment profond de trahison m’envahit et je ne peux m’empêcher d’émettre un cri d’agonie qui me fait me mettre à genoux dans l’herbe encore humide. Cette chute me fend le coeur. Même si la conclusion est juste, il n’y a de meilleure purée que celle contenant de la crème et non du lait, ce sont des larmes que je sens humidifier mes orbites. Je lâche les épaules de désespoir et dans un traître coup de vent, celui-ci emporte la moitié de mes feuilles salies d’encre pour les faire voler dans un tourbillon farceur. Je tente en vain de récupérer ce que les éléments essayent de me voler mais n’y arrive pas. Je n’ai sous le bras plus que quelques poèmes mauvais sinon médiocres. Des gouttes de pluie veulent me chasser de la butte, que je finis par descendre pour retourner dans cette grotte lugubre qu’est mon refuge. J’ouvre la porte et à peine ai-je le temps de la fermer que mon père arrive tel un gobelin géant à tête de gorgone. Il va encore me faire une farfafle, un certain type d’engueulade bien spécifique à mon paternel, qui met le moral à zéro et oblige à aller bosser sous son œil sévère. « Non mais t’as pas bientôt fini de gâcher de l’encre et du papier pour tes imbécilités ?, me postillone-t-il au visage, on a un gros stock de patates à écouler, bouge toi un peu, ça va pas se faire tout seul ! » J’ai entendu cette phrase toute ma vie. Je marmonne un truc dans ma barbe, il me lance un « Quoi encore ? » et d’un coup attrape mon cahier de poésie et met les yeux sur le dernier écrit. Il rit en jetant le cahier derrière lui. « Pour éplucher des patates, t’es une crème mais pour les décrire, t’es vraiment un navet. » me lance-t-il tout en cherchant à dévisager mes yeux baissés. Je fulmine. Je n’en peux plus, ça ne peut plus durer. Je lève les yeux et lui lance un regard si sévère que je ne pourrai même pas le reproduire en m’y forçant face à un miroir. « Ca suffit ! » hurle-je. Mon père fronce les sourcil, lassé par mon insubordination. Ni une, ni deux, je suis poussé par une force qui me dépasse, instinctive, qui me fait bousculer mon père de l’épaule afin de ramasser mon cahier. Je continue ma traversée du gîte malgré les râles, exclamations et menaces à mon égard, pour arriver dans la chambre fraternelle. Mon petit frère occupé à ranger ses habits me voit débouler en trombe et commencer à farfouiller dans les coins objets et sacs. Je m’étais déjà préparé à partir en vitesse et je sais exactement quoi prendre. J’empacte dans un gros sac affaires propres, ustensiles, outils et autres provisions de luxe que j’ai pu épargner et cacher. « Par Nep, j’exige que tu me dises ce qui te prends et que tu te mettes enfin au travail ! » Derrière moi, je le sens, le patriarche, qui pointe son épée de Damoclès sur mon destin, figurée par une cuillère en bois dans sa main droite. J’enjoliverai cette partie dans mes mémoires. Mais je ne peux plus, c’est trop pour moi. « Nep peut bien aller se faire cuire une grillote, je suis fatigué de ce cloisonnement que tu me fais subir. Je ne suis pas les routes tracées de Levor, Omen est mon berger et je m’en vais prier sur les chemins celles qui m’apporteront le souffle du monde. » Je n’ai pas l’impression que c’est moi qui parle mais un surmoi, tout puissant de mon destin, qui me donne la réplique, qui me fais enfin sentir en pleine possession de mon avenir. Si de face je n’ai jamais eu un regard si déterminé et décidé, au fond de moi, je jubile. « C’en est assez, j’en ai gros sur la patate, tu brises toutes les germes de mes espoirs et jette mon avenir à l’eau. » Je hurle et reprends le chemin vers la sortie. Mon père m’alpague une dernière fois et me crie « Tu ne peux pas partir, aussitôt sur les chemins tu finiras taillé en frite, tu te berces dans des récits qui ne sont que des salades ! Purée, ressaisis-toi ! Tu me fais honte ! Jamais tu ne fréquenteras duchesse et dauphine, tu n’es qu’une truffe !» Je me tourne vers lui et ris de désespoir. « Tu es gratiné, tu ne vis que pour le contrôle et je ne peux plus le supporter. Adieu père, fais-je en lui tournant le dos et en ouvrant la porte, tu embrasseras ceux que j’aime si tu as encore un peu de respect pour moi. » Je lui claque la porte au nez et fuis sans me retourner sur le chemin que j’ai emprunté toute ma vie. La pluie est fine en cette fin d’après midi d’août et elle a une odeur nouvelle, légère, qui font que mes pieds avancent à toute allure. Le fardeau que je porte sur le dos me semble plus léger que les jours où je ne portai rien. La route va être longue mais ma voie est libre.
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| | | La Cour des Miracles • Admin Mélusine de Séverac Messages : 5858 J'ai : 34 ans Je suis : marquise de Sinsarelle, dame de Séverac, Voleuse de la Cour des Miracles Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Cour des MiraclesMes autres visages: Quitterie ♦ Ljöta ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade ♦ Chasteté | Sujet: Re: Candide Brisegogue, pommes de terre et rimes pauvres. Lun 21 Aoû 2017 - 18:50 | |
| Bienvenue Candide ! Je vais te demander de changer d'avatar, Joe Dempsie est déjà pris pour un PV, comme l'indique le bottin. Par ailleurs, ton test RP doit impérativement se faire avec un autre joueur, ce sera ton premier topic, nous n'acceptons pas les RP solo. Comme tout inventé, tu dois passer par le système de parrainage pour t'aider à construire ta fiche avant validation, je te laisse donc aller t'acquitter des démarches nécessaires. N'hésite pas à bien relire le règlement et le modèle de fiche pour bien comprendre ce que l'on attend de toi ! Bon courage pour tout ça, la section Demandes et Questions est à ta disposition en cas de besoin ! EDIT : Je vois que tu as posté dans les fiches terminées, or elle ne l'est pas. Je t'invite à compléter le caractère, corriger la ligne manquante dans les informations générales, et développer toute la partie questions qui est beaucoup trop succincte. Nous relirons ta fiche quand tu auras vu un parrain et fait tout le reste. |
| | | | | | | La Noblesse • Admin Alméïde de Sombreflamme Messages : 17441 J'ai : 33 ans Je suis : dame de Sombreciel et médecin Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Castiel, duc de Sombreciel, mon époux ; l'empire d'IbélèneMes autres visages: Ilse, Liselotte, Teagan | | | | | Sujet: Re: Candide Brisegogue, pommes de terre et rimes pauvres. Lun 21 Aoû 2017 - 19:36 | |
| Merci pour vos retours rapides. Effectivement, j'ai eu beau chercher dans le bottin le nom de Joe Dempsie, je ne l'ai pas vu passer alors qu'il y est. Je n'ai pas vu trace d'Elijah Wood même en ctrl+f-ant et en checkant son nom du coup je me jette sur lui. J'avais laissé un bout du code dans la section caractère au début alors que je l'avais complété du coup ça a pu porter à confusion quant à son remplissage. Est-ce que c'est bon pour le coup ? Et pour les questions. Je n'avais pas compris pour l'histoire du parrainage quand on débute avec un personnage nouveau, j'ai fait la demande. Je reviens vers vous quand j'aurai finalisé tout ça.
Merci d'avance ! |
| | | La Noblesse Séverine de Bellifère Messages : 2138 J'ai : 27 ans Je suis : duchesse de Bellifère, autrefois astronome à l'Observatoire de Val-du-Ciel, mon observatoire. Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Martial de BellifèreMes autres visages: Marjolaine du Lierre-Réal & Lancelot l'Adroit & Liry Mac Lir & Anwar Sinhaj & Antonin de Faërie | | | | Les Mages Gabrielle de Faërie Messages : 1665 J'ai : 29 ans Je suis : Princesse impériale, mage du Printemps ; baronne du Ru-d'Argent Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Faërie et son peupleMes autres visages: Astarté des Sables • Agathe Martel • Sifaï Sinhaj • Tancélie le Sustain | | | | | | | | Les Savants • Modo Melbren de Séverac Messages : 5419 J'ai : 27 ans Je suis : inventeur, baron de Vivessence, savant en mécanique (spé. engins) et mage de l’Été non diplômé (destruction) Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Castiel de Sombreflamme, sa famille et SombrecielMes autres visages: Géralt d'Orsang | | | | | | | | | | | | La Noblesse Denys du Lierre-Réal Messages : 6155 J'ai : 34 ans Je suis : le duc de Lagrance, marquis du Lierre-Réal Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Lagrance avant tout, à l'Ordre du Jugement et dans une moindre mesure à l'empire de FaërieMes autres visages: Hiémain ◊ Anthim ◊ Rackham ◊ Shahryar ◊ Nicolas | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | Les Compagnes Rhapsodie Épi-d'Or Messages : 1275 J'ai : 28 ans Je suis : Compagne en Cibella et Mage de l'Eté (prédiction) Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : La Guilde des Compagnes et à Gaëtane de La VolteMes autres visages: Aubrée & Octave | | | | La Cour des Miracles • Admin Mélusine de Séverac Messages : 5858 J'ai : 34 ans Je suis : marquise de Sinsarelle, dame de Séverac, Voleuse de la Cour des Miracles Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Cour des MiraclesMes autres visages: Quitterie ♦ Ljöta ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade ♦ Chasteté | | | | | | | | |
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