| | Ljöta • Blondeur solaire, yeux de glacier, lame écarlate | |
| Auteur | Message |
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La Confrérie Noire • Admin Ljöta de Hvergelmir Messages : 371 J'ai : 31 ans Je suis : Écoutante de la Lame pour la Confrérie Noire • Princesse de Valkyrion Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Sombre Mère, et ValkyrionMes autres visages: Mélusine ♦ Quitterie ♦ Chasteté ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade | Sujet: Ljöta • Blondeur solaire, yeux de glacier, lame écarlate Mer 6 Juil 2016 - 20:48 | |
| Sous le regard des dieux La Confrérie Noire
️️️️ Lemon Tart |
Ljöta
d'Evalkyr
ft. Katheryn Winnick
« Avant la mort prématurée de Ljära, sa cadette, Ljöta se destinait à des études dans le domaine de la médecine. L'anatomie et la chirurgie sont demeurées des passions, même aujourd'hui, et entre deux missions on peut la trouver plongée dans d'épais volumes aux noms élégants, traitant de dissection, de scalpel et de démembrement. » |
En bref
️️️️ Fassylover |
Âge : 31 ans Date et lieu de naissance : 1er décembre 972, à Svaljärd (Valkyrion) Statut/profession : Écoutante de la Lame ; Baronne de Thalmor en Valkyrion Allégeance : La Confrérie Noire • Ordre du Jugement • Couronne de Valkyrion Dieux tutélaires : Née sous Alder, vouée à Lida et Sithis
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• méticuleuse, car c'est de l'application et du soin que proviennent le succès, qu'il s'agisse de guérison ou de châtiment, la clé, c'est l'application • rancunière, car c'est la voie sévère qu'exigent les glaces qui figent tout et n'oublient jamais rien, ni bienfait, ni préjudice outrancier • pessimiste, car on a beau se raconter des contes de fées, la vie est une catin prête à tout pour t'arracher ton âme et la faire engloutir par le Destin • poète, parce que la lueur des lunes jumelles sur les glaciers solennels est un don éternel • hardie, car mes frères voyaient trop ma peau de porcelaine et trop peu mon âme de rebelle • obstinée, car je connais ma valeur et l'ampleur de ce que je mérite, et que je ne connais ni trêve ni merci tant que je n'ai pas obtenu ce que mon cœur désire • hautaine, parce qu'une couronne repose sur ma tête et que mon sang est la haute noblesse des glaces • généreuse, car j'ai trop perdu pour ne pas comprendre la détresse noire et les larmes de désespoir de ceux qu'on ne regarde même plus
| Caractère
️️️️ Istix |
Derrière l'écran Dans la vie, je m'appelle Laurène et j'ai 31 ans. Sur le Net, on m'appelle plutôt Aura·. J'ai découvert le forum via mon armoire, dont voici le tiroir #3 et voici ce que j'en pense : . Pour les inventés : Je vous autorise/ne vous autorise pas à faire de mon personnage un scénario si mon compte était supprimé. Histoire Oh, Valkyrion. Valkyrion, c’est… C’est un joyau sans prix. Une perle nichée dans les régions les plus froides du continent : un royaume de gel et de perpétuel hiver, où le vent sculpte les formes majestueuses des glaciers. Il y a en Valkyrion cette lumière bien particulière d’un soleil distant mais complice sur les étendues de neige immaculée, cette lueur si spéciale qui parle à mon cœur et que je ne peux dissocier de l’idée que je me fais d’un foyer. La mer des glaces, ah – au plus fort de l’hiver, lorsque les flots de l’océan eux-mêmes charrient l’essence du froid… Je suis née dans cet univers de blancheur souveraine, troisième enfant du trône kyréen, première fille jusqu’à la naissance de ma sœur (février 974). J’ai grandi sous la vigilance attentive de deux frères aînés, qui ne voyaient en moi qu’une poupée blonde trop fragile que le moindre geste pourrait briser. Aimants et protecteurs, Hjälden et Hjälmar – un peu trop sûrement, et nous en plaisantions avec Ljära. Que je l’aimais, ma cadette : une copie parfaite de moi-même, jusqu’à l’exacte nuance de nos yeux : identiques, et liées fondamentalement. Nos caractères cependant étaient très différents : là où j’étais terre à terre et attachée aux sciences concrètes, elle se régalait de contes de faës et de magies révolues, rêvant le soir en chuchotant ses prières aux étoiles. Et bien sûr, la magie de l’Hiver s’éveilla en elle. Ma Ljära, ma toute-petite ; mage dans un empire où la magie est conspuée. Oh, elle ne s’est pas démontée : avec l’assurance de ses onze ans innocents (avril 985), elle a établi fermement qu’elle irait à l’Académie et qu’elle apprendrait la magie, et qu’elle y excellerait – pour nous faire honneur. Alors, à Lorgol elle est allée – confiée aux bons soins d’un lointain cousin, Vital de Jotunheim, parti étudier lui-même la science. Un a passé – entre ses lettres et mes propres études, l’envie de la rejoindre s’est mise à me tenailler, et j’ai contacté l’Académie pour solliciter un entretien à la prochaine session d’admissions, pour y apprendre la science de l’anatomie et de la chirurgie. (mars 986) Je n’ai pas eu le temps d’y arriver. En avril 986, la nouvelle du trépas de Ljära nous est parvenue. Un accident de magie a causé d’importants dégâts – et Ljära fut la victime collatérale de cette impardonnable négligence. De ce jour, j’ai haï la magie, partageant ce trait avec Hjalden. Oh, comme j’ai hurlé à la face du ciel ! Dans les couloirs du palais, dans le secret de ma chambre, juchée sur le sommet des glaciers, courant follement à travers les nappes de neige – j’ai hurlé, pendant des semaines, ma rage et ma haine. Le déclic s’est fait au soir de ce seize juin où j’aurais dû me présenter à Lorgol pour mon entretien. Alors que le crépuscule allumait ses flambantes caresses le long de l’horizon, je suis sortie du palais, dirigeant mes pas vers la statue isolée de Lida, dans son sanctuaire en ruines. D’un geste un peu tremblant – je n’avais qu’une résolution de fer pour asseoir mon serment, du haut de mes treize ans – j’ai entaillé ma paume, aspergeant l’autel décrépit de quelques gouttes de mon sang. « Mère adorée, mère adorée, envoyez moi votre enfant, car les péchés des indignes doivent être lavés dans le sang et la peur. » Et il est venu. Sombre et grave sous sa capuche, avec l’élégance un peu fantasque des Lagrans, il est venu, l’Écoutant de la Lame envoyé par la Sombre Mère en personne. Je l’ai payé, avec cet or qui était mien, pour que les responsables de l’accident soient exécutés : non point les deux élèves mages dont le combat stupide avait dégénéré, mais les adultes supposés les surveiller qui avaient failli à leur devoir. Il s’est incliné devant moi, a empoché l’argent – et cinq mois plus tard (décembre 886), nous apprenions le trépas des concernés. Justice avait été faite – et ce soir-là, nuit de mon anniversaire, je suis retournée à l’autel de Lida. « Mère adorée, mère redoutée, ô Sombre Mère qui règne en souveraine sur la vengeance et la mort, écoute ma voix. Père adoré, père respecté, ô Consort sans Visage qui règne en souverain sur la punition et la justice, prête-moi l’oreille. Ô Lida, ô Sithis, Mère et Père de la Confrérie Noire, je me voue à vous, de corps et d’âme. Usez de moi et de mon bras comme il vous plaira. De cette heure, et à jamais – Ljöta d’Evalkyr est vôtre, pour le meilleur, et pour le pire. » J’avais quatorze ans à peine. Encore une enfant par bien des aspects, mais déjà presque une femme pour ceux qui comptaient vraiment. J'ai patienté, pendant un an, poursuivant mon entraînement de skjaldmö auquel le sang de ma mère me donnait droit. Un matin de janvier, j’ai trouvé sous mon oreiller un parchemin simple, portant une main noire dessinée à l’encre, et ces deux simples mots : « Nous savons. » Fébrile, j’ai attendu ; et l’Écoutant de la Lame s’est présenté. Il s’offrait de me former lui-même, me dit-il, car la dignité et le courage de la princesse de Valkyrion lui plaisaient. J’ai accepté. J’ai appris beaucoup à ses côtés, pendant les trois années que ma formation a duré. Je savais déjà l’anatomie, j’en ai appris plus encore : où trancher, où couper, comment diriger sa lame. Mon entraînement m’a rendue experte dans le maniement du poignard, même si mon arme de prédilection reste l’épée, à l’instar de ces guerriers redoutables qui ont tissé ma lignée. J’avais dix-huit ans (février 991) lorsque j’ai été établie assassin de plein droit, et c’est avec une grande fierté que j’ai renouvelé mon serment à Lida et à Sithis. Je n’ai plus guère revu Valkyrion ensuite. Officiellement, je tiens l’ambassade de Svaljärd à Lorgol ; mais officieusement, je me dévoue à la Sombre Mère. Quatre ans après ma titularisation (mars 995), Lubin, mon maître, est revenu me trouver. Son seul Adepte souhaitait se retirer après dix années de service ; voulais-je devenir Adepte à sa suite ? Evidemment ! A compter de ce jour, l’on m’a de moins en moins vue à l’ambassade : mes journées étaient certes dédiées à mes charges politiques, mais la nuit me voyait assister Lubin de mon mieux, apprenant à programmer un meurtre, à planifier une intervention, à rencontrer les clients, à recruter les apprentis. Il prit à cette occasion un deuxième Adepte, Ulric, belliférien et misogyne, que je n’ai jamais vraiment apprécié mais qui se faisait remarquer par une organisation minutieuse. Ils sont morts, aujourd’hui. J’avais vingt-sept ans lorsque la couronne de Faërie se mêla de nos affaires et commandita la mort de tous les officiels de la Confrérie (début 1000). Je me battais pour ma vie, parmi mes frères et sœurs de la nuit, cherchant désespérément Lubin et Ulric – je les ai trouvés morts, l’un et l’autre, abattus en défendant notre Oracle qui agonisait. C’est ma lame qui a fauché le dernier assaillant – et c’est avec le sang des ennemis imbibant mes vêtements, maculant mon visage, imprégnant toute mon âme, que j’ai été intronisée Écoutante de la Lame par notre guide mourant. Avec les quatre autres, nous avons parlé de la justice qu’il convenait d’infliger. Ils étaient tous plus ou moins grièvement blessés, j’étais la seule valide ; j’ai pris en charge la gestion quotidienne des urgences le temps qu’ils se remettent tous et que nous décidions de la conduite à tenir. Solal Aluddin a détaché ses Assassins de la Corde exécuter la famille impériale ; et je me suis personnellement chargée de faire payer le duc d’Outrevent de sa hardiesse, en exécutant sa sœur. Elle n’a pas vraiment souffert, je ne l’ai pas torturée – ce n’était pas elle, la coupable – mais je l’ai exécutée sans arrière-pensée. Pour son fils, par contre, j’ai hésité. Mes confrères et consœurs du Noir Conseil voulaient sa mort aussi, mais le petit héritier était un enfant encore. Alors je l’ai épargné, le laissant retrouver les bras de son père ; et je porte en moi le souvenir de la brise qui a soulevé mes cheveux alors que je m’en retournais, et la voix de femme, calme et solennelle, qui a murmuré « Tu as bien choisi, ma fille. » Je sais que seul l’Oracle peut entendre et voir la Sombre Mère ; mais je ne l’ai pas vue, juste entendue, alors… Alors, je me tiens tranquille, tant que je ne sais pas avec certitude qui doit être Oracle. Cela fait plus d’un an à présent : je suis revenue à la Tour Noire de Lorgol, où j’organise la vie de la Confrérie conjointement avec Solal, l’Écoutant de la Corde : à lui les heures de jour, à moi les heures de nuit. Je ne m’entends pas très bien avec l’Écoutante du Poison, Mélisende : je crois qu’elle n’approuve pas mon ascension assez expéditive, mais tant que nous pouvons travailler ensemble efficacement, ma foi… Je m’entends bien avec celle du Choix, Majda : elle a le tempérament chaud et un caractère vif, mais elle est également capable d’une réflexion poussée, et j’apprécie nos conversations. Le seul avec lequel je ne m’entende pas, c’est Anselme. Il n’a pas grand-chose de l’Outreventois qu’il prétend être, et ses manières hypocrites me répugnent ! je devrais me choisir un ou deux Adeptes, ils me le conseillent ; mais pour le moment, sans Sombre Mère pour nous diriger les nouveaux apprentis et les nouveaux clients, mon travail se borne à planifier les exécutions des contrats reçus il y plus d’un an. On approche du bas de la pile – il serait temps que les affaires reprennent… • Pendant le livre I : Les affaires ont repris ! Notre Sombre Mère apparaît maintenant aux cinq Écoutants et les assassinats porteurs de justice ont repris. J'ai participé en tant que remplaçante au Tournoi des Trois Opales et j'ai gagné une Opale pour Valkyrion. J'y ai été blessée et j'ai passé plusieurs mois en convalescence. J'étais parmi les nobles assemblés lors de la montée au trône de Gustave de Faërie. Agent de l'Ordre du Jugement, je mobilise mes efforts pour déclencher la guerre... • Pendant le livre II : Ljöta s'est réjouie de la déclaration de guerre de Faërie, espérant que l'opportunité d'écraser les Faës se présenterait prochainement. ▬ TRAME ALTERNÉE (Intrigue 2.3 La Roue Brisée) → Ljöta ne s'est jamais éveillée dans la trame alternée où elle était mariée à Louis, le marquis de Brunante. → Elle n'en garde donc aucun souvenir. Au début de l'été, elle a accepté la demande en mariage de Matvei, sénéchal de Hvergelmir, pour un mariage d'apparence qui lui permettra de se dégager d'une partie de ses responsabilités. Matvei n'ignore rien de son serment à Lida et Sithis, mais ignore qu'elle oeuvre avec l'Ordre du Jugement pour restaurer la grandeur passée d'Ibélène. Pendant Lughnasadh, elle a aidé l'Ordre à infiltrer des Sentinelles à Svaljärd et a mené le couple impérial dans un traquenard. Elle est tombée malade pendant l'épidémie magique, à son grand désarroi, et lutte encore pour appréhender cette révélation, elle qui hait les mages. • Pendant le livre III : Ljöta a finalement cédé aux avances insolentes d'un certain Voleur beaucoup trop impertinent pour son propre bien ; et s'est mariée en juin avec Matvei, ami d'enfance de son frère aîné. Il s'agit d'un mariage de raison. Pendant l'été, des mages du Sang idiots relèvent les momies des vallées funéraires erebiennes, et c'est la Confrérie Noire qui doit réparer les dégâts et régler le problème ! Début novembre, la sombre présence qui a toujours baigné le quotidien de Ljöta depuis ses 14 ans disparaît soudainement : Lida et Sithis boudent leurs enfants, et la Confrérie sombre à nouveau dans le doute... Chronologie 1er décembre 972 : Naissance de Ljöta Septembre 985 : Départ de Ljära pour l'Académie. Avril 986 : Décès de Ljära. 16 juin 986 : Ljöta prie Lida pour la mort des adultes responsables. 1er décembre 986 : Exécution du contrat. Ljöta se voue à Lida, mais est encore trop jeune pour être recrutée. Janvier 988 : Ljöta devient apprentie de Lubin, Écoutant de la Lame. Février 991 : Ljöta devient assassin de la Lame et renouvelle son serment à Lida et Sithis. Âgée de 18 ans, elle devient ambassadrice de la couronne de Valkyrion à Lorgol. Mars 995 : Ljöta devient Adepte de Lubin. Janvier 1000 : Mort de l'Oracle et de Lubin lors de l'attentat fomenté par le trône impérial faë. Ljöta devient Écoutante de la Lame. 25 septembre 1001 Intrigue 1.5 Le Tournoi des Trois Opales : Ljöta représente Valkyrion et remporte une Opale de Flamme. La Sombre Mère, privée d'Oracle, apparaît désormais aux cinq Écoutants pour transmettre les ordres de mission. Les affaires reprennent pour la Confrérie Noire. 16 juillet 1002 : Au procès de Louis de Brunante en Outrevent, Ljöta revendique l'assassinat de Lisbeth au nom de la Confrérie et innocente Louis. Juillet 1002 Intrigue 2.4 De Glace et de Sang : L'Ordre du Jugement fomente des attentats terroristes à Svaljärd. Le palais ducal est détruit et la famille est relogée à Ibelin en attendant les réparations. Ljöta est présente. Août et septembre 1002 Intrigue 2.5 La Mort dans les Veines : Ljöta tombe malade ; mais elle déclenche un empoisonnement généralisé qui frappe le palais impérial et noie ses symptômes dans la masse. 3 juin 1003 : Ljöta épouse Matvei de Hvergelmir, meilleur ami de Hjalden. Juillet 1003 Intrigue 3.4 La Légion des Oubliés : Ljöta fait partie des assassins consultés lorsque les momies d'Erebor se relèvent subitement. Novembre 1003 Intrigue 3.6 Puisse le sort vous être favorable : Disparition de Lida et Sithis. Les assassins sont au chômage technique, une fois encore. L'Ordre de Jugement ne reçoit plus d'ordres du sommet de sa hiérarchie. Questions - Questions du Livre I:
Que penses-tu des compétences de la toute nouvelle impératrice de Faërie, la jeune Chimène ? La trouves-tu légitime, penses-tu qu'elle va réussir sa période de probation ? • Je ne sais pas vraiment quoi penser d'elle. Elle appartient à la lignée qui a abattu notre Oracle et une part de nos dirigeants, et elle est faë de surcroît, souveraine de Faërie dont la magie a fauché net la vie de ma Ljära. Que devrais-je penser d'elle ? A vrai dire, la manière dont elle dirige son empire m'importe peu, je lui suis même plutôt hostile ; mais je ne m’élèverai pas contre elle, du moment qu'elle laisse la Confrérie et Ibélène en paix.
Envisages-tu de prendre part au conflit si une guerre entre Ibélène et Faërie devait se déclarer ? Quel parti prendrais-tu, et pourquoi ? Comment participerais-tu à la lutte ? • Si la guerre vient frapper à nos portes, je me battrai. Pas au nom de la Confrérie qui reste neutre entre les deux empires, mais au nom de Valkyrien. Je suis ibéenne, je défendrai ma terre si les circonstances l'exigent.
- Questions du Livre II:
L'Ordre du Jugement sème le chaos sur le continent, en réclamant le retour des magies scellées et des savoirs perdus, sacrifiés pour entériner la trêve il y a mille ans. La guerre est à présent déclarée. Qu'en penses-tu ? • J'approuve leur volonté : il est important que les habitants d'Arven puissent rentrer en possession de cet héritage qui leur a été volé. Qu'importent les moyens ! Je suis fidèle à l'Ordre.
La Rose Écarlate tente de sauver les vestiges de la Trêve pour ramener la paix sur le continent. Trouves-tu leur combat pertinent ? Que penses-tu de ces douze agents ? • Je les trouve inutiles et imbus d'eux-mêmes. Qui sont-ils pour nous défendre de retrouver ce qui nous appartient... ?
- Questions du Livre III:
La Chasse Sauvage est libérée et arpente librement le continent. Qu'est-ce que cela t'inspire ? • Je n'ai pas peur de la Chasse Sauvage. S'ils viennent me chercher, soit, je périrai : mais leur merveilleuse liberté me fait tourner la tête, car personne n'est trop puissant pour échapper à leur portée. Ils vont faire régner une nouvelle loi en Arven, et je me réjouis du vent de changement qu'ils apportent. Sithis saura bien ouvrir les portes de ses couloirs à ceux qu'ils faucheront !
Une trêve hivernale a été déclarée entre Ibélène et Faërie. Comment ton personnage voit-il la guerre entre les deux empires ? • Cette guerre est une bonne chose. Ibélène doit dominer, car la supériorité de nos esprits nous en donne le droit ! Je suis une guerrière sacrée, une Skjaldmö de Valkyrion : le combat est une seconde nature pour moi.
Que penses-tu de Lorgol, la ville aux Mille Tours ? Est-ce que tu t'y promènes sereinement ou est-ce que la capitale des peuples libres t'oppresse ? • C'est devenu mon second foyer. Je m'y sens en sécurité, même si apercevoir au lointain les tours de l'Académie me fait froid dans le dos. Il y a un peu trop de mages par ailleurs, mais peut-être résoudrons-nous ce problème un jour..
Les dieux majeurs ont visiblement déserté le Panthéon. Es-tu croyant ? Qu'est-ce que cette disparition implique pour toi ?• L'absence de Lida et de Sithis m'inquiète beaucoup ; mais c'est une situation que nous avons déjà connue. Je veux croire que si nous sommes dignes d'eux, nos dieux nous reviendront ; et si, pour attirer leur attention, je dois faire couler des rivières de sang... Qu'il en soit ainsi. La Chasse Sauvage est libérée et arpente librement le continent. Qu'est-ce que cela t'inspire ?• Je n'ai pas peur de la Chasse Sauvage. S'ils viennent me chercher, soit, je périrai : mais leur merveilleuse liberté me fait tourner la tête, car personne n'est trop puissant pour échapper à leur portée. Ils vont faire régner une nouvelle loi en Arven, et je me réjouis du vent de changement qu'ils apportent. Sithis saura bien ouvrir les portes de ses couloirs à ceux qu'ils faucheront ! Que penses-tu de Lorgol, la ville aux Mille Tours ? Est-ce que tu t'y promènes sereinement ou est-ce que la capitale des peuples libres t'oppresse ? • C'est devenu mon second foyer. Je m'y sens en sécurité, même si apercevoir au lointain les tours de l'Académie me fait froid dans le dos. Il y a un peu trop de mages par ailleurs, mais peut-être résoudrons-nous ce problème un jour... La lame et la fiole Mélisende de Séverac & Ljöta de Hvergelmir 3 juillet 1001 Astrid s’en est bien sortie, je dois le reconnaître. Elle tient son rang de duchesse pendant tout le séjour, représentant dignement ma famille ; mais moi, toute princesse que je suis, je ne puis arborer son calme serein. L’on nous a attribué une suite luxueuse, et dans la chambre qui m’est réservée, je tourne en rond sans trouver le repos. Il se passe des choses qui me dépassent : je connais Calibourne, je connais Realia, et je sais que leur nom n’est jamais invoqué en vain. Nerveuse, j’enfonce les ongles dans ma paume, me retenant de hurler ma frustration. Tremblante, j’inspire, j’expire, à fond – il faut que je me calme. Rien ne sera accompli dans le tumulte et l’affront, c’est une certitude. Les affaires des Faës les regardent, et je ne vais pas m’en mêler en dépit de l’invocation des noms consacrés ; par contre, la curieuse vague de maladie qui frappe les invités éveille mes soupçons, et plus j’y réfléchis, plus j’ai de soupçons quant aux personnes impliquées. Le soleil se couche à l’extérieur : j’aperçois les derniers rayons caresser l’horizon en flammes flamboyantes, et je me décide à rendre cette visite à laquelle je réfléchis depuis la veille. Je laisse ici mes bijoux et le diadème d’argent des princesses de Svaljärd – je préfère voyager incognito dans les couloirs, sans attirer l’attention. La robe que je porte me désigne comme membre de la noblesse – mais personne ne reconnaît dans ce manque d’attrait la sœur du duc de Valkyrion. Arpentant les couloirs d’un pas que je me force à garder mesuré, je me dirige vers l’appartement attribué aux sœurs du duc de Sombreciel, les jumelles de Séverac. Si la fantasque Mélusine est bien connue en Ibélène pour la litanie ininterrompue de ses frasques diverses et variées, la sage Mélisende est en revanche réputée pour la pertinence de ses avis et la portée de son intelligence. Quel dommage que nous ne sachions nous entendre. Je ne sais pas au juste ce qui me déplaît chez elle : la manière qu’elle a d’exprimer ses avis en douceur, mais comme si c’étaient des évidences et que nous étions trop stupides pour en convenir ? Cette façon qu’elle a de se déplacer, avec sa démarche de noble, regardant autour d’elle avec le regard des nantis, sans sembler voir les miséreux ? Elle porte tant de Sombreciel en elle – cet air de supériorité, cette logique qui veut qu’elle ait raison et les autres tort, qu’elle mérite plus que nous, et que tout lui est dû. Mais n’en déplaise à Son Altesse du Poison, les assassins de la Lame sont plus nombreux, et mes légions sont denses. Oui, la Lame a plus de prestige que le Poison, et oui, la Lame est plus demandée par les clients – est-ce ma faute ? Elle n’avait qu’à choisir un autre Aspect à son entrée au sein de la Confrérie. Me jalouse-t-elle mon entrée précoce, mon ascension rapide ? Je ne sais pas. Au final, peu importe. Tant qu’elle tient ses empoisonneurs et moi mes lames, tout va bien. Espérons qu’elle sera dans de bonnes dispositions ce soir… De quelques coups secs à la porte de la suite, j’annonce ma présence. A la servante venue s’enquérir des raisons de ma venue je demande simplement si la baronne de Chamaar est visible – quelle idée, ça aussi, d’étaler partout son titre comme ça ! Comme si je rappelais dans chaque conversation, moi, que je suis princesse de Valkyrion ou baronne de Thalmor… On me fait attendre dans l’antichambre, et au bout d’un instant, Mélisende me rejoint. Je la dérange peut-être dans l’organisation de sa soirée, allez savoir – c’est vrai qu’une personne de sa stature doit être tellement occupée… Combattant la petite voix persiffleuse dans ma tête, je m’incline poliment. « Si d’aventure ma venue a interrompu quelque importante occupation, je t’en présente mes excuses. La situation au-dehors est urgente, cependant, et je dois savoir – l’empoisonnement, sont-ce tes assassins à l’œuvre ? »Je n’ai pas le temps de m’embarrasser de circonvolutions verbales. Je dois savoir, oui – poursuit-elle quelque sombre dessein dans le plus grand secret ?
Dernière édition par Ljöta d'Evalkyr le Dim 3 Déc 2017 - 19:11, édité 7 fois |
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