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| Arsène - Voleur, brigand, mais toujours adorable | |
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Auteur | Message |
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La Cour des Miracles Arsène de Sylvamir Messages : 515 J'ai : 14 ans Je suis : Le fils adoptif de Mélusine et Hiémain, protecteur auto-désigné de ses frères et soeurs. Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Mélusine et Hiémain de Sylvamir. A la Cour des Miracles, aussi.Mes autres visages: Mayeul de Vifesprit - Maximilien de Séverac | Sujet: Arsène - Voleur, brigand, mais toujours adorable Dim 5 Juin 2016 - 0:56 | |
| Sous le regard des Dieux Cour des Miracles
️️️️ caf_pow |
Arsène
de Sylvamir
Asa Butterfield
« La vie d'Arsène a énormément changé ces dernières années, mais une chose est sûre : il est et restera un enfant des Miracles, qu'importe l'endroit où il se trouve. Et pour le moment, cet endroit est celui ou sa famille se trouve.» |
En bref
️️️️ Yusuradreams |
Âge : 14 ans Date et lieu de naissance : 18 septembre 989 à Chamaar (Erebor) Statut/profession : Héritier de Brimir / Futur aspirant voleur Allégeance : A Mélusine, Hiémain et à la Cour des Miracles Dieux tutélaires : Placé sous la protection d’Osir à la naissance, Arsène s’est très vite confié à Isil, dès son arrivée à la Cour des Miracles. Il lui arrive aussi de prier Valda, déesse des Astres, alors qu’il regarde les étoiles scintiller dans le ciel. Il porte d’ailleurs la marque de Valda, de même que celle de Sithis.
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Qualités : Habile * Malicieux * Téméraire * Espiègle * Protecteur Défauts : Menteur * Agité * Distrait * Indécis * Gourmand
Lettre rédigée par Cassandre à sa soeur Anne, dix jours avant sa mort Lorgol, le 03 Mars 1000 Ma très chère soeur.
J’espère que ma lettre te trouvera en bonne santé, ainsi que tes enfants. Nous, ici, nous portons bien. Arsène a bien grandi depuis la dernière fois où nous t’avons rendu visite mais en même temps, il n’a pas changé. Toujours aussi espiègle et malicieux, toujours prêt à jouer un mauvais tour, accompagné de ce sourire si désarmant que chacun à peine à le gronder. Et pourtant, il le faut : avec l’âge, il devient téméraire, ce petit être que les dieux m’ont confié. Lui qui se contentait d’essayer ce que d’autres voleurs lui ont appris a pris de l’assurance, et plus d’une fois je l’ai pris la main dans le sac dans la Ville Basse, à exercer ses talents sur les passants. A exceller, même : Isil veille sur lui, je n’en ai aucun doute. Il est doué, et s’il pouvait se montrer moins distrait et bien plus calme, il aurait de fortes chances d’être encore plus prometteur. Il est impossible à cet enfant de rester immobile, j’en jurerais : aucun doute que mes tentatives pour lui apprendre à lire ont été laborieuses, bien qu’au final couronnées de succès. Je lui ai expliqué, patiemment, l’intérêt pour un Voleur de déchiffrer missives et documents importants, et il a daigné s'y intéresser. Il ne sait tout simplement pas rester calme, préférant jouer et courir que d’apprendre. Enfin, c’est ce qu’il semble, mais je sais que c’est faux. Arsène est avide d’apprendre, oui, mais il choisit ses enseignements: il attache ses pas à quiconque peut lui enseigner quelque chose, et ne le lâche pas jusqu’à ce qu’il ait obtenu gain de cause. Récemment, il a appris à crocheter les serrures les plus simples et depuis, je ne peux plus le tenir éloigné de mes placards à sucreries! Et lorsque je le gronde, il m’adresse ce sourire désarmant, et passe vite à autre chose. Comment rester en colère contre lui? Arsène, mon petit Arsène, parfois si insouciant qu’on le dirait bien plus jeune que ses dix ans, parfois si concentré qu’on a du mal à l’imaginer plein d’espièglerie.
Je l’aime, mon petit. J’aime tout de lui, ces histoires qu’il invente, ces mensonges qu’il débite avec un sourire qui vous pousse à le croire. Ses yeux pleins de malice et sa perpétuelle activité. Ses yeux bleus et ses cheveux en bataille. Mon enfant, autant que celui de sa mère. Ses cousins lui manquent, même s’il ne manque pas d’amis ici : il est d’un naturel avenant, et à son âge, les amitiés sont bien plus faciles, elles se font et se défont au gré du vent, ce vent rare et chaud dont il porte le nom. Il est ainsi, Arsène : solaire, bouillant d’envies et de désirs auxquels il s’adonne selon sa volonté du moment. Mais j’achève là ma lettre, et te remercie encore de demander des nouvelles de mon petit protégé. Nous nous reverrons dans quelques semaines, nous emprunterons le portail qui mène à La Volte. A bientôt ma douce soeur. Cassandre
| Caractère
️️️️ Imdb |
Derrière l'écran Dans la vie, je m'appelle Céline et j'ai 34 ans. Sur le Net, on m'appelle plutôt Danette. J'ai découvert le forum via un top-site et voici ce que j'en pense : Je t'aime Arven !. Pour les inventés : Je vous autorise/ne vous autorise pas à faire de mon personnage un scénario si mon compte était supprimé. Histoire Il avait fui, courant de toute la vitesse de ses petites jambes, fuyant pour sa vie, ne sachant pas le temps dont il disposait avant que quelqu’un ne parte à sa recherche. Il connaissait l’endroit, bien évidemment : les voleurs font toujours attention à connaître le lieu de leur méfait, et il était un enfant des Miracles, né sur ces pavés, ou presque. Presque, parce qu’il savait n’être pas né ici. Il était de noble ascendance, né quelque part en Arven, un enfant confié à une servante parce que sa mère ne pouvait s’occuper de lui. Cela en choqueraient certains, sans doute, s’ils savaient : pas lui. La personne à qui il avait été confié était sa deuxième maman, et elle ne lui avait jamais rien caché sur ses origines, si ce n’était l’identité de sa mère. Mais il comprenait, et lui avait pardonné depuis longtemps. Cassandre avait été tellement douce avec lui, qu’il n’aurait pu rêvé de meilleure maman. Quand à sa vraie mère, et bien, elle avait sans doute fait du mieux qu’elle pouvait, il en était persuadé. Un cri le fit revenir au moment présent, et il accéléra encore. Un de ses compagnons avait été pris : il ne pouvait se permettre de gâcher ses chances de fuir en rêvassant. Il tourna à gauche, une fois, deux, avant de marquer une pause et de plonger vers une cachette potentielle. Un chariot renversé, qui attendait qu’on le répare, serait sa porte de sortie. Une cachette parfaite. Lui qui partait souvent à l’aventure dans les rues de la Cité aux Mille Tours, chapardant parfois allègrement, savait repérer les cachettes les plus improbables. Arsène rampa en-dessous, avant de s’y recroqueviller. Il était petit, cela passait, tout juste, mais cela passait. Lui qui était si plein de vivacité, toujours en mouvement, s’efforça de calmer sa respiration et de demeurer immobile. Il concentra ses pensées sur son enfance, heureuse autant qu’elle avait pu l’être. Il avait grandi ici, protégé par Cassandre et la Cour des Miracles, libre et intéressé par tout ce qui passait à la portée de ses yeux. Il avait appris à lire et à écrire à force de persévérance, traînant derrière tous ceux qui pouvaient lui enseigner quelque chose, petit fantôme à l’identique de ceux qui étaient réputés habiter la Cour des Miracles et ses pavés. Il avait beaucoup appris oui, et lorsque ses yeux bleus et sa bouille adorable ne lui permettaient pas d’obtenir gain de cause, il changeait pour une approche bien moins adorable : il était malicieux, plein d’audace et de témérité, et n’hésitait jamais à s’imposer pour obtenir ce qu’il voulait. Arsène avait la faculté d’inventer d’improbables histoires, tour à tour tristes ou amusantes, emplies de pitié ou destinées à faire sourire ses interlocuteurs. Certains appelaient cela des mensonges, lui préférait se dire qu’il brodait la réalité comme une couturière un vêtement. Il la pliait à sa volonté, et en faisait ce qu’il voulait. Et les gens cédaient, amusés ou déconfit. Peu importe, il obtenait gain de cause. Un bruit de pas suspect. De sa cachette, l’enfant ne pouvait pas voir grand chose, mais il gardait tous ses sens aux aguets, luttant contre la peur qui le submergeait petit à petit, essayant de toutes ses forces de combattre l’envie puérile de se boucher les oreilles et de fermer les yeux. Il était grand, il était brave, il était l’un des Voleurs de la Cour des Miracles. A six ans, lorsqu’il était tombé du haut d’un chariot qui avait basculé, le menton en premier sur les pavés impitoyables de la Cour, il avait pleuré toutes les larmes de son corps. Mais il n’était plus un bébé, les cicatrices qu’il avait en attestait. Il était retombé, à 9 ans, et s’était relevé en serrant les dents, le menton ensanglanté et la bouche pleine de sang. Il n’avait pas pleuré, cette fois. Et la fois où il s'était retrouvé sur ce bateau, sauvé par un Chevaucheur et son gigantesque dragon, il n'avait pas eu peur. Enfin, presque pas. Parce qu'il était un enfant des Miracles. Plus un bébé. Il n’avait pas peur. Ce mantra résonna dans sa tête, encore et encore, jusqu’à calmer ses battements de cœur en un rythme plus apaisé. Cela avait toujours marché: quand il était terrifié, il se répétait encore et encore que cela irait. Qui il était. A quel point sa mère adoptive était fière de lui. Elle ne lui avait pas dit, pas précisément : elle était morte loin de lui, ayant poussé son dernier soupir lors d’un vol qui avait mal tourné. Mais il savait qu’elle était fière, elle le lui répétait assez souvent à quel point sa mère aurait aimé ce qu’il était devenu. Un petit garçon juste et droit, ne baissant pas la tête face à l’adversité. Comme maintenant. Il l’avait pleuré, pourtant. Cassandre, si elle n’était pas sa vraie maman, lui avait appris tellement de choses. Elle avait soutenu ses premiers pas, rit de ses premiers mots, s’était émerveillée devant ses progrès. Evidemment, qu’il l’avait pleuré, jusqu’à ce qu’il décide de prendre son destin en main. A dix ans, il était grand, et s’était présenté devant le Fils des Ombres, demandant ce qu’il adviendrait de lui désormais qu'elle n'était plus là, sa maman, sa protectrice, son seul lien véritable avec sa véritable maman. Le Conseil des Ombres avait débattu de son cas, et l’avait intronisé novice. Enfin, c’est ce qu’il se disait, car rien n’était officiel. Il serait apprenti bien plus tard, en attendant, il était futur apprenti voleur, et ça lui plaisait bien. Il vivait au jour le jour, dormant parfois dans un lit, parfois dans un chariot abandonné, d'autres, simplement à la belle étoile, avec un pavé en guise d'inconfortable oreiller. Nourri, habillé, mais depuis Cassandre, plus personne pour guider ses pas et le prendre en main. Il était libre comme l'air, un vagabond, un polisson, toléré par la Cour des Miracles. Et rien que ce statut, qui ne le protégeait pas de grand chose, lui faisait venir des étoiles dans les yeux. Il était fier, de devenir un voleur plus tard, de rendre à la Cour tout ce qu'elle lui avait donné. sa maman, sa vraie maman, n'aurait pu lui promettre une meilleure vie, il en était persuadé. Les pas se rapprochaient, et il se recroquevilla davantage. Ils étaient plusieurs, cette fois : d’autres s’étaient joint à la chasse. Il avait été prudent, pourtant, s’efforçant d’effacer ses traces, mais les pas se rapprochaient, inexorablement. Arsène s’efforça de calmer ses battements de coeur, ignorant l'appréhension qui l'envahissait, mobilisant ses muscles et son esprit. Et quand l’un d’eux passa la tête sous le chariot, l’enfant se glissa dans l’ouverture avec violence, renversant celui qui l’avait découvert. Il devait fuir : derrière lui, déjà, les cris de ses poursuivants retentissaient. Sautant, plongeant, esquivant avec facilité les obstacles, l’enfant courrait à toutes jambes vers le salut. Il était intelligent, rapide et savait parfaitement ce qu’il avait à faire. Il s’en sortirait. Mais cette conviction fut soudain ébranlée par un bruit sourd à ses côtés, avant que le choc d’un corps contre le sien ne l’envoie rouler à terre. Agile comme un chat, il se releva, mais son élan de fuite se retrouva réduit à néant lorsque des bras entourèrent ses jambes, le retenant littéralement couché contre le sol. Le regard haineux, il dévisagea son assaillant, ne cherchant même pas à cacher son air choqué lorsqu’il vit de qui il s’agissait. Guy, son meilleur ami. Ce sale traître! Un dernier regard vers le salut, hors de portée désormais, et l’enfant se prit la tête dans les mains, sonné par sa défaite. Qu’allait-on faire de lui? La mort, la torture peut-être? Il ne se laisserait pas faire. Relevant bravement la tête, il dévisagea fièrement son bourreau qui s’avançait, ne vacillant pas quand celui-ci lui donna une tape amicale sur l’épaule en clamant à haute voix : «Vu, Arsène! T’es le dernier trouvé, c’est à toi de chercher!» Son sort était scellé, donc. Guy s’était relevé, et il accepta la main tendue, bien que toujours un peu vexé de ce geste d’une traîtrise insoupçonnée. Il se vengerait. Mais pour l’instant, il brossa la poussière de ses vêtements, avant de poser son regard sur les autres enfants qui l’entouraient. Des enfants des Miracles, tous, entre dix et treize ans peut-être. Ses amis, ceux avec qui il jouait, s’imaginant devenir un apprenti de la Cour. Bientôt. En attendant, les autres attendaient son signal pour commencer une nouvelle partie de cache-cache, et il leur adressa un sourire carnassier. Il n’était plus la proie, désormais, il était le chasseur. L’Espion qui se glisse dans les maisons la nuit, à la recherche d’informations. Le Voleur qui grimpe par une fenêtre mal verrouillée, ombre parmi les ombres. Oh oui, il allait tous les trouver. Il adorait ce jeu, et les pavés de la cour des Miracles n’avaient pas de secrets pour lui. Il les trouverait, cela ne faisait aucun doute. • Pendant le livre I : Enlevé par une Vivenef et sauvé par le Capitaine des Chevaucheurs Tristan d’Amar, Arsène en a conçu un vif intérêt pour ces navires impressionnants. Orphelin depuis la mort de sa mère adoptive, Mélusine de Sylvamir, née de Séverac, l’a pris sous son aile et emmené avec elle dans sa propriété de Sinsarelle. Plongé subitement au coeur de la vie de la noblesse d’Arven, Arsène a pu assister à l’édition spéciale du tournoi des Trois Opales, où il a tremblé pour Ilse et Hiémain dans l’arène, avant de manquer mourir dans l’effondrement des gradins. Plus tard, il s’est rendu avec Castiel et Mélisende à la commémoration de la Trève, assistant à la prise de pouvoir de Gustave. Il est mitigé, Arsène : Faërie ne le concerne que peu, et Gustave ne leur a pas fait de mal, alors que tous semblaient particulièrement agressifs à son égard, mais il se souvient des Anges de pierre et de la Magie du sang qui revendiquaient ce qui s’était passé. Alors vraiment, il ne sait pas trop. Il est encore bien jeune pour choisir. Et puis, il ne se destine pas à prendre les armes, dans le futur. Sauf s’il devient Voltigeur ou Chevaucheur, évidemment. Ou pirate. • Pendant le livre II : La vie du petit Voleur a bien changé depuis qu'il est couvé par Mélusine et Hiémain. Il a fait sienne la famille que la bonté de Mélusine lui a offerte, et ne veut pas les décevoir. La naissance de bébé Meldred l'a fait devenir grand frère, et il voue un amour farouche à l'enfant. Au cours de cette année, il a surtout cherché à découvrir qui est sa vraie mère, recherche concrétisée par une lettre qu'il a confié à Hiémain, qui a accès à de nombreuses informations par son affiliation à la Cour des Miracles. Il ignore cependant que le baron Kyréen en sait bien davantage qu'il ne l'indique. Et surtout, surtout, Mélusine et Hiémain on fait de lui leur enfant en l'adoptant. Il porte un nom désormais, héritera quand il sera grand d'un petit domaine mais surtout,désormais, il a la chance d'avoir un père et une mère, une grande sœur mais aussi un petit frère à qui il voue une profonde admiration. ▬ TRAME ALTERNÉE (Intrigue 2.3 La Roue Brisée) Il ne se souvient de rien, le petit voleur. Il était le fils de Mélisende et Anthim dans cette réalité, un petit garçon indolent et trop gâté, un noble pourri par les drogues de son duché natal. Il ne sait pas, Arsène, qu’il est mort assassiné, et que sa mère, son père et même son oncle ont pleuré sur son corps. Non, il ne se souvient pas d’être un Séverac. Peut-être que d’autres s’en souviendront pour lui. • Pendant le livre III : Il apprend à être un Sylvamir Arsène, et ce n'est pas forcément évident. Souvent en balade à travers le duché, en compagnie de Mélusine ou d'Agathe, il a beaucoup grandi cette année là. Envolé, le petit garçon innocent ! Il a subi de nombreuses épreuves Arsène, qui l'ont vu grandir et mûrir. Protecteur passionné du petit Meldred, il vous un amour profond à Hiémain et Mélusine. Il envisage de tenter les épreuves pour devenir apprenti voleur à l'équinoxe de printemps, mais l'idée d'abandonner les siens le perturbe profondément. Il se cherche encore Arsène. Chronologie 18 Septembre 989, Naissance à Chamaar, en Erebor Septembre 989, à peine né, Cassandre l'emmène dans ses bagages jusqu'à la Cour des Miracles. Fruit d'un viol, la mère d'Arsène n'a pas pu l'assumer et l'a confié à une servante de confiance. Juin 995, Arsène, 6 ans, décide de devenir Voleur. Ou Pirate. Ou les deux, peut-être. Mars 1000, à la mort de Cassandre, il se retrouve livré à lui-même et le Conseil des Ombres le laisse rester à La Cour des Miracles jusqu'à ce qu'il ait l'âge d'être nommé apprenti voleur. Septembre 1001, pour ses 12 ans, Arsène se voit offrir un toit dans la demeure des époux Sylvamir et le meilleur cadeau d'anniversaire de tout les temps : Clochette. Décembre 1001, Arsène demande à Hiémain de l'aider à identifier sa mère. 01 Mars 1002, Arsène devient grand frère de cœur avec la naissance de bébé Meldred, sur qui il se promet de veiller. Juillet 1002, Arsène est présent lors de Lughnasadh, et est transporté par le Cavalier Noir auprès de Mélusine, blessé, à Lorgol où il veille sur Mélusine et sur bébé Meldred. 21 Novembre 1002, le petit Arsène est officiellement adopté par Mélusine et Hiémain de Sylvamir; Il se voit doté d'un petit domaine mais surtout, surtout, d'une famille. Mars 1003 : Arsène renonce à se présenter aux épreuves pour devenir apprenti-Voleur. Loin de penser qu'il n'est pas à la hauteur, il appréhende plutôt de quitter sa famille nouvellement trouvée. Mai 1003, Arsène s'auto-désigne protecteur de ses frères et sœurs. 26 juillet 1003, son deuxième petit frère voit le jour. Il n'est pas aussi patient que son frère aîné, et Arsène s'attache à s'en occuper pour soulager Mélusine. Questions - Questions Livre II:
L'Ordre du Jugement sème le chaos sur le continent, en réclamant le retour des magies scellés et des savoirs perdus, sacrifiés pour entériner la trêve il y a mille ans. La guerre est à présent déclarée. Qu'en penses-tu ? • La Guerre, je suis résolumment contre. Tous ces gens qui meurt pour le bénéfice d’autres. Mais en même temps, ils défendent leurs terres, leurs maisons, et ça je peux comprendre. L’Ordre du jugement a tort de s’y prendre comme ça, ce n’est pas en exigeant les choses qu’elles leur reviendront. D’un autre côté... C’est bien triste pour tous ceux qui ont été mis de côté, ce n’est pas leur faute. Mais vraiment, ils sont bien trop agressif pour espérer être entendu.
La Rose Écarlate tente de sauver les vestiges de la Trêve pour ramener la paix sur le continent. Trouves-tu leur combat pertinent ? Que penses-tu de ces douze agents ? • La Rose Écarlate, ce sont des héros. Combien de fois j’ai assisté à l’envol de leurs dragons et griffons, du haut de leur Tour ? Autant de fois que possible, je crois. Ils sont les Rois et Reines passés, ils sont les protecteurs d’Arven, ils sont... Géniaux ! Et j’espère qu’ils vaincront et ramèneront la Paix, même si cela semble compromis. Ils sont bien peu, et l’Ordre du Jugement a des agents partout, on dirait.
Que penses-tu de Lorgol, la ville aux Mille Tours ? Est-ce que tu t'y promènes sereinement ou est-ce que la capitale des peuples libres t'oppresse ? • Je ne suis pas né ici c’est vrai, mais Lorgol, c’est ce que j’ai toujours connu alors non, je n’ai pas peur. On m’a toujours dit que la Cour reconnaissait les siens, et c’est sans doute vrai : combien de fois aies-je erré sur ses pavés sans qu’il ne m’arrive rien, à l’heure où d’autres sont couchés depuis longtemps? J’aime bien la nuit, vous savez? Et les canaux. J’adore cette ville, mais surtout, j’adore les canaux qui la parsèment. Quand je fais les yeux doux aux bateliers qui m'ont vu grandir sur les pavés, il m’arrive de m’y promener en bateau, et je trouve ça magique. Lorgol, c’est ma maison. Une grande maison, belle et remplie de gens, que je ne voudrais quitter pour rien au monde.
- Questions Livre III:
La Chasse Sauvage est libérée et arpente librement le continent. Qu'est-ce que cela t'inspire ? • Les légendes qui courent sur la Chasse Sauvage sont parmi les plus effrayantes que je connaisse, et le fait qu'elle soit désormais libre est particulièrement effrayant. Oh, je fanfaronne bien un peu, comme tous les adolescents, mais la vérite est que je ne m'endors jamais sans avoir vérifié que Hiémain, Mélusine, Agathe et bébé Meldred sont en sécurité. Qu'ils sont là, pas très loin. J'ai appris à le faire discrètement, mais je ne suis pas sûr qu'ils l'ignorent réellement.
Une trêve hivernale a été déclarée entre Ibélène et Faërie. Comment ton personnage voit-il la guerre entre les deux empires ? • Arsène est bien jeune, et la guerre ne le touche pas réellement, si ce n'est par ses conséquences. Il craint pour la vie de ses proches mais ayant grandi à Lorgol, il n'éprouve aucun élan de patriotisme pour l'un ou l'autre des partis en présence. Il comprend pourtant que l'on veuille se battre pour ce qui est juste.
Que penses-tu de Lorgol, la ville aux Mille Tours ? Est-ce que tu t'y promènes sereinement ou est-ce que la capitale des peuples libres t'oppresse ? • Je ne suis pas né ici c’est vrai, mais Lorgol, c’est ce que j’ai toujours connu alors non, je n’ai pas peur. On m’a toujours dit que la Cour reconnaissait les siens, et c’est sans doute vrai : combien de fois aies-je erré sur ses pavés sans qu’il ne m’arrive rien, à l’heure où d’autres sont couchés depuis longtemps? J’aime bien la nuit, vous savez? Et les canaux. J’adore cette ville, mais surtout, j’adore les canaux qui la parsèment. Quand je fais les yeux doux aux bateliers qui m'ont vu grandir sur les pavés, il m’arrive de m’y promener en bateau, et je trouve ça magique.
Les dieux majeurs ont visiblement déserté le Panthéon. Es-tu croyant ? Qu'est-ce que cette disparition implique pour toi ?• Il croit, Arsène, de toute ses forces, que les dieux répondent aux prières des hommes. Il n'a jamais été naïf mais cette idée qu'une aide extérieure peut parfois faire des miracles l'apaise. Et puis, les Dieux veillent sur lui, non ? Il porte fièrement la marque de Valda sur l'épaule. Il le sent bien, que le monde ne va plus si bien depuis la disparition des Dieux majeurs. La Chasse Sauvage est libérée et arpente librement le continent. Qu'est-ce que cela t'inspire ?• Il est terrifié Arsène, à l'idée de perdre un membre de cette famille qu'il a construite autour de lui. Il ne comprend pas forcément le phénomène mais l'idée qu'une force extérieure peut venir tout chambouler en quelques secondes, sans que personne ne puisse l'en empêcher,le perturbe profondément. Il ne dit rien de ses craintes pourtant, mais il vérifie toujours que tout le monde va bien avant de se coucher. Que penses-tu de Lorgol, la ville aux Mille Tours ? Est-ce que tu t'y promènes sereinement ou est-ce que la capitale des peuples libres t'oppresse ? • Lorgol, c'est chez lui, depuis toujours. Il connaît ses ruelles et ses cachettes, ses canaux et les endroits où il vaut mieux ne pas mettre les pieds. C'est ici qu'il a grandit et s'y promène sans peur : il est un enfant de Lorgol, un enfant des Miracles. Laisse-moi t'aimer Quitterie des Deux-Ancres & Arsène de Sylvamir 20 juin 1001 Il s’était réveillé dans un lit, ce matin. Un vrai lit, avec de vrais draps qui sentaient bon les fleurs, un lit chaud et accueillant. Une très belle récompense, pour une soirée passée à servir des choppes et à aider au récurage des bols et des casseroles d’une des taverne de la ville. Il avait accroché son plus beau sourire, Arsène, avait d’aller demander s’il pouvait aider pour la soirée en échange d’un lit et de quelques piécettes, expliquant que sa mère l’avait jeté à la rue, qu’il n’avait pas mangé depuis deux jours, et s’il vous plaît, je veux vous aider, donnez moi du travail. Il avait gagné un bol de soupe, un lit douillet et même quelques pistoles pour acheter à manger. Et ce matin, quant il avait fini par se réveiller, le tavernier l’avait laissé repartir avec son argent et une bonne moitié de miche de pain frais, qu’il avait attaqué avec délice en se promenant dans les rues de Lorgol. Ce n’était pas un gros mensonge, mais il avait si bien dormi qu’il chercherait à l’élaborer, peut-être, parce qu’il était bien utile. Arsène n’avait rien contre dormir à la belle étoile, pourtant. C’était beau, les étoiles, surtout quand il venait de pleuvoir et que le ciel était brillant, si brillant qu’on ne pouvait en détacher son regard. Cassandre lui avait appris leur nom, à toutes ces étoiles, et s’il ne se rappelait pas de la moitié, confondant les constellations sans vergogne, il aimait les regarder, et se souvenir d’elle. C’était un souvenir heureux, et de toute façon, elle n’aurait pas voulu qu’il soit triste. Il ne l’était pas : si sa maman de coeur s’en était allé, il en avait une autre, bien réelle, qu’il retrouverait un jour. Il était confiant en l’avenir, et en attendant, il ne servait à rien de s’en soucier. Mordant avec entrain dans son pain, dévorant son petit déjeuner comme s’il n’avait rien mangé depuis des jours, ce qui était encore un mensonge, Arsène arpenta les rues et les ruelles de la Ville Haute, s’abreuvant des merveilles qui passaient sous son nez. Échoppes colorées, passants habillés avec finesse, il n’avait pas assez de ses yeux pour tout regarder, tout découvrir. Il avait beau vivre ici, il éprouvait toujours le même émerveillement, et si la Ville Basse était son terrain de jeu, la Ville Haute était une source inépuisable de merveilles. Il s’y promenait d’un pas léger, sautillant d’échoppes en étals, vibrant d’énergie et dansant presque sur place. Il était petit, presque invisible, personne ne faisait attention à lui, et c’était bien là ce qu’Arsène préférait : il y avait tant à découvrir, et à dérober, quand personne ne faisait attention à vous! Un coup de poignard, une main tendue, et une bourse pleine de fleurons venait s’ajouter à votre collection. Mais il n’était pas un voleur, ce matin, seulement un enfant émerveillé, reposé et le ventre plein, qui grignotait encore distraitement sa miche de pain frais, ne pouvant se résoudre à l’abandonner tant elle était délicieuse. Un bond, un saut, et il s’écarta de la rue principale, dérivant dans une ruelle à laquelle il ne prêta guère attention pourtant. Car dans cette ruelle, en plein milieu de cette ruelle d’ailleurs, se tenait la chose la plus belle qu’il n’ait jamais vu. Une cigogne. Une cigogne, posée en plein milieu de la rue, et qui le regardait en hochant la tête. Distrait par cette vision, Arsène oublia totalement son entourage, gardant ses yeux bleus braqué sur l’animal. Qu’est-ce que faisait une cigogne ici? Elle était sans doute blessée, ça devait être l’explication. Sans nul doute, elle avait besoin d’aide. Et, sans nul doute encore, il était celui qui allait l’aider. Prudent et circonspect, l’enfant s’approcha, retenant sa respiration de peur que l’animal ne décide de s’envoler. «Petit petit, n’aies pas peur, viens!» Évidemment, les cigognes ne comprenaient pas le langage humain, mais il avait déjà observé les gens s’approcher d’animaux apeurés en usant cette méthode, et ne rechignait pas à se l’approprier. «Tiens!» continua-t-il en lui lançant quelques miettes de pain, dans l’espoir un peu fou qu’elle n’ait pas peur et ne s’envole pas. En même temps, si elle était blessée, elle ne s’envolerait peut-être pas? Il avança d’un pas, puis d’un deuxième, retenant presque sa respiration. Lui qui bruissait d’énergie était capable de se faire calme et presque immobile quand il le voulait, et il avança d’un troisième pas. La cigogne était près, si près! Il lui lança à nouveau quelques miettes, espérant l’apprivoiser. Qu’est-ce qu’il serait fier, de revenir à la Cour avec une cigogne domestique! Les autres seraient tous jaloux, mais il accepterait de leur prêter, en échange de quelques services sans doute. Il avait remarqué que l’un de ses amis avait une nouvelle chemise, et il lui échangerait volontiers contre une journée avec la cigogne. «Viens, je ne vais pas te faire de mal.» Promit-il à l’animal, avant de s’approcher encore un peu, doucement, oublieux de tout ce qui pouvait bien l’entourer, concentré uniquement sur son objectif, des rêves plein la tête. Plus personne ne comptait : ni les gens, ni la ruelle, seulement lui et le magnifique animal. Nouvelles miettes de pain, nouveau pas. Encore un ou deux, et il pourrait toucher l’animal, et l’apprivoiser peut-être. Il avait déjà décidé qu’il allait l’appeler Joli-Bec. Oui, ça lui allait bien!
Récapitulatif Arsène de Sylvamir Mise à jour des registres et bottins Asa Butterfield Compte principal : Non Groupes secondaires : La noblesse / La Cour des Miracles
Noblesse : Fils adoptif de Hiémain et Mélusine de Sylvamir
Dernière édition par Arsène de Sylvamir le Dim 16 Déc 2018 - 18:04, édité 13 fois |
| | | La Noblesse • Admin Alméïde de Sombreflamme Messages : 17441 J'ai : 33 ans Je suis : dame de Sombreciel et médecin Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Castiel, duc de Sombreciel, mon époux ; l'empire d'IbélèneMes autres visages: Ilse, Liselotte, Teagan | | | | La Cour des Miracles Hiémain de Sylvamir Messages : 516 J'ai : 37 ans Je suis : baron de Sylvamir, sénéchal et ambassadeur de la couronne kyréenne, voleur de la Cour des Miracles et ancien Fils des Ombres Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Cour des Miracles et Astrid, duchesse de ValkyrionMes autres visages: Denys ◊ Anthim ◊ Rackham ◊ Shahryar ◊ Nicolas | | | | La Noblesse Castiel de Sombreflamme Messages : 2436 J'ai : 26 ans Je suis : duc décadent de Sombreciel et mage de l'Été amateur d'explosions Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Sombreciel et à l'empire d'Ibélène.Mes autres visages: Louis • Octavius • Maelenn • Lionel • Matvei • Hermine | | | | La Cour des Miracles • Admin Mélusine de Séverac Messages : 5858 J'ai : 34 ans Je suis : marquise de Sinsarelle, dame de Séverac, Voleuse de la Cour des Miracles Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Cour des MiraclesMes autres visages: Quitterie ♦ Ljöta ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade ♦ Chasteté | | | | La Cour des Miracles Arsène de Sylvamir Messages : 515 J'ai : 14 ans Je suis : Le fils adoptif de Mélusine et Hiémain, protecteur auto-désigné de ses frères et soeurs. Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Mélusine et Hiémain de Sylvamir. A la Cour des Miracles, aussi.Mes autres visages: Mayeul de Vifesprit - Maximilien de Séverac | | | | Les Voltigeurs Grâce de Séverac Messages : 5649 J'ai : 39 ans Je suis : Voltigeuse, major de la division d'Est d'Erebor, sigisbée de la cour d'Erebor, dame de Sombregemme, marquise d'Automnal Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Anthim, duc d'EreborMes autres visages: Astrée Aubétoile, Tristan d'Amar | | | | | | | | | | | | La Cour des Miracles Arsène de Sylvamir Messages : 515 J'ai : 14 ans Je suis : Le fils adoptif de Mélusine et Hiémain, protecteur auto-désigné de ses frères et soeurs. Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Mélusine et Hiémain de Sylvamir. A la Cour des Miracles, aussi.Mes autres visages: Mayeul de Vifesprit - Maximilien de Séverac | | | | | | | | | | | | | | | | La Cour des Miracles Arsène de Sylvamir Messages : 515 J'ai : 14 ans Je suis : Le fils adoptif de Mélusine et Hiémain, protecteur auto-désigné de ses frères et soeurs. Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Mélusine et Hiémain de Sylvamir. A la Cour des Miracles, aussi.Mes autres visages: Mayeul de Vifesprit - Maximilien de Séverac | | | | | | | | | | | | La Cour des Miracles Arsène de Sylvamir Messages : 515 J'ai : 14 ans Je suis : Le fils adoptif de Mélusine et Hiémain, protecteur auto-désigné de ses frères et soeurs. Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Mélusine et Hiémain de Sylvamir. A la Cour des Miracles, aussi.Mes autres visages: Mayeul de Vifesprit - Maximilien de Séverac | Sujet: Re: Arsène - Voleur, brigand, mais toujours adorable Dim 5 Juin 2016 - 16:59 | |
| C'est Arsène qui m'a obligé à l'incarner! Et oui, je choisi que des beaux gosses, même s'ils sont en devenir^^ Et pas encore Quitterie, mais je m'en occupe ce soir, l'après-midi je me connecte en pointillé donc c'est compliqué. |
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