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 Des courbes dans le sable

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Message Sujet: Des courbes dans le sable   Des courbes dans le sable EmptyVen 24 Juin 2016 - 21:08


Livre I, Chapitre 4 • L'Ordalie de Diamant
Mélusine de Séverac & Raphaël de Virevent

Des courbes dans le sable

Un portrait innocent à Sinsarelle.




♦️ Date : 13 juin
♦️ Statut du RP : Privé
♦️ Résumé : Pour un portrait nu de la marquise Mélusine, on ne peut échapper à toutes les remarques d'un Raphaël candide.

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Message Sujet: Re: Des courbes dans le sable   Des courbes dans le sable EmptyVen 24 Juin 2016 - 21:10

Tu observes les dunes mouvantes qui se languissent dans la chaleur du jour, et dont les courbes ont des allures de femmes. Le crissement du sable dans le vent léger bat ton esprit fragile, tu sembles confus lorsque de petits tourbillons dorés se forment à la surface du sol. Tu n’aimes pas ces étendues unies et illusoires que sont les déserts, les ergs ternes et les chaînes montagneuses qui isolent Erebor des autres duchés ibéens. La chaleur rapidement embrume tes sens ; tu fermes longuement les yeux, au pied du palais de l’oasis de Sinsarelle. Bien que ton cœur penchât davantage pour les landes enneigées de Valkyrion, proche voisin de la petite baronnie de Virevent, les couleurs vives et chaudes d’Erebor, pleines de mollesse et de soleil, nourrissent infiniment ta perception. Tu te laisses aller au scintillement des bijoux dans l’éclat du jour, aux couleurs primaires et chatoyantes des tuniques. Tu contemples les épices bigarrées, leurs formes parfois improbables, leurs senteurs.

Malgré tout, tu ne te serais certainement jamais rendu à Sinsarelle sans la demande explicite de Mélusine de Séverac. Tu ignores pourquoi Côme s’est soudain emporté lorsque tu lui as annoncé ton départ de Virevent pour une poignée de jours. « Je ne la sens pas, elle a beau être marquise, tu ne sais pas à qui tu as affaire. » avait-il scandé derrière ton épaule, tandis que tu t’affairais à la contemplation d’un prisme de lueurs sur ton chevalet, que la fenêtre de ta chambre difractait. Sa voix portait de ces inquiétudes tenaces et inéluctables, si caractéristiques des personnes qui aiment. Non, en effet, tu ignores qui a beau être Mélusine de Séverac, malgré les dires de Castiel, que tu saisis sans trop comprendre, et les rumeurs de la Cour, qui t’échappent toutes autant qu’elles sont. Tu te demandes pourquoi les hommes se méfient des femmes, et les femmes se méfient des hommes. Tu aimes seulement ce regard quand elle s’aperçoit que tu la regardes comme un tableau.


Le salon n’est pas très grand, mais il respire la richesse. Pour peu, tu songes que Castiel aurait pu entrer par cette porte, te lancer une remarque à la volée en se servant un verre de liqueur. Mais le duc de Sombreciel, si efféminé soit-il lorsqu’il joue avec ses courtisans, n’a ni hanches ni seins. Près de toi, sur un petit tabouret joliment équarri, tu as déposé ta palette, et de deux doigts tu mêles l’huile siccative à différents pigments, pour obtenir une couleur proche de celle du sable érebien. Les pinceaux que tu choisis sont fins, tu t’appliques avec l’attention d’un enfant à l’ouvrage. Parfois, tu relèves les yeux de la toile lâche que tu étires sur tes genoux – tu songes que le chevalet ne te permet pas tous tes mouvements. Tes traits au fusain noircissent le matériau si caractéristique. Tu relèves les yeux, l’air quelque peu hagard, car concentré.

On, tu marques une courte pause pour saisir un nouveau pinceau, on parle beaucoup de toi. Castiel, parfois, parle, oui.

Tu la tutoies, car les pronoms ne signifient rien dans ton esprit. Sa dignité, sa prestance ne sont dues qu’aux couleurs qui la parent, tu songes. Enfin, la paraient, étant donné qu’elle demeure désormais entièrement nue, installée sur la longue table devant toi. Tu as tracé son dos, ses hanches, ses cuisses ; il te semble qu’un détail t’échappe. Sa peau est lisse comme un lac cielsombrois, bien plus pâle encore que toutes tes estampes sur papier blanc. Tu songes aux prostituées des bordels d’Euphoria, et tu lâches sans relever le nez de la toile :

Tu ne ressembles pas aux femmes des bordels.

Dans le creux de ses seins, un tatouage érebien s’ouvrant comme une dentelle marque sa peau. Il n’est pas le seul, son cœur aussi, rehaussant sa poitrine d’un soleil et d’une lune entremêlés, et son nombril, où une flèche travaillée, gothique, se discerne. Tu saisis leur finesse, et ils te paraissent beaux, constellant ainsi son corps. Mais que sais-tu de la beauté, toi ?

Des tatouages, tu commences, pourquoi, des tatouages ?
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Mélusine de Séverac
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Message Sujet: Re: Des courbes dans le sable   Des courbes dans le sable EmptySam 2 Juil 2016 - 17:13


Des courbes dans le sable
Pour se lover entre les dunes
Raphaël & Mélusine • 13 juin 1001


Il est intéressant, ce petit peintre recommandé par Castiel. Je me suis un peu méfiée, de prime abord, des personnes que mon turbulent jeune frère est susceptible de fréquenter, mais quelques mots aux Espions de la Cour des Miracles m’ont rassurée sur son compte. Il est étrange, cet homme-là, tous s’accordent à le dire ; fait de discours choquants et de remarques cryptiques, mais totalement respectable pour les enfants des pavés de Lorgol que nous sommes.

Lorsqu’il a su que je cherchais à faire réaliser un portait de moi à installer sur le mur de la galerie des marquises, à Sinsarelle, il a sauté sur l’occasion pour me recommander l’un de ses favoris. Selon Castiel, il fallait que la toile montre la femme que je suis, pas celle que je semble être ; et si sa formulation m’a paru suspicieuse, je n’en ai compris la réelle teneur que lorsque le petit peinte s’est présenté, et m’a dit sans gêne aucune de me déshabiller. Un portrait nu, bien sûr. Cher Castiel. Je préfère ne pas me demander s’il a demandé copie de l’œuvre  au peintre… Je me suis prêtée au jeu avec curiosité, amusée de cette nouvelle expérience intéressante. J’ai l’habitude du regard des hommes sur moi ; mais celui-là me contemple comme un tableau, et c’est suffisamment inédit pour me plaire.

C’est dans le salon du Levant que je me suis installée, assise sur la table de bois précieux, renversée en arrière pour mieux exposer ma chair, avec dans le dos la splendeur de la mer des dunes étalée par la large baie menant au-dehors. Il s’est installé face à moi, la toile sur ses genoux, et le doux crissement du fusain peuple le silence. Ses remarques sans queue ni tête me tirent un cortège de sourires. « Castiel ne parle pas, il babille. Tout le temps, perpétuellement, lorsqu’il est content, et c’est souvent le cas lorsqu’il s’agit de moi. » Fierté. Je l’ai bien élevé. Il est presque équilibré. Il y a juste ce petit détail de non-mariage qui semble le contrarier, mais il finira bien par passer à autre chose, n’est-ce pas ? Après tout, je reste sa grande sœur, et il sait avoir toujours sa place en mon cœur. Son but ultime est de parvenir à épouser toute notre fratrie, mais j’ai confiance en Père pour recadrer gentiment ses ambitions.

Le peintre continue son œuvre, visiblement peu attentif à la divagation de mes pensées, concentré sur mon corps qu’il étale sur ses genoux. Lorsqu’il me compare aux femmes des bordels, c’est plus fort que moi : un fou rire m’échappe et me secoue un moment. « Certes. Elles, elles se font payer pour ce que je fais. » Et leur vie est bien plus misérable que la mienne, aussi – pour elles, l’amour des corps est un devoir mécanique pour assurer leur subsistance, alors que pour moi, c’est une autre manière de découvrir les gens. Ah, les privilèges de la noblesse… D’une main, je chasse un moucheron qui tourbillonne devant mes yeux, dégourdissant un peu mes membres raidis par la pose.

Il évoque mes tatouages, et je souris devant l’ignorance des Cielsombrois lorsqu’il est question des coutumes erebiennes. « Pour me sentir vraiment d’ici. Chaque marque est une promesse, chaque tatouage est comme un serment que je me fais à moi-même. » Du revers de la main, j’effleure la lune et le soleil enlacés sur mon cœur. « Celui-là est pour me souvenir que ma sœur est toujours avec moi, quelle que soit la distance qui nous sépare. » Du bout du doigt, je descends entre mes seins, suivant le tracé délicat de la dentelle figurée par le parcours de l’aiguille. « Celui-ci, c’est un voile cielsombrois, pour clamer que même si je n’en porte pas, je n’en reste pas moins fille d’Euphoria. » Je pose ensuite la paume sur le motif élégant qui décore mon ventre, disposé autour de mon nombril. « L’arc et la flèche sont l’engagement que j’ai pris : pour atteindre mon but, quel qu’en soit le prix. C’est le sacrifice que je consens ; et la récompense à laquelle je prétends. C’est un symbole de coopération, tu sais ? Ils doivent travailler ensemble pour atteindre l’objectif, et ainsi, je me rappelle que je ne suis jamais – jamais – vraiment seule, où que j’aille, et quoi que je fasse. »

Je relève les yeux vers l’artiste, reprenant ma pose abandonnée. « Tu n’as jamais envisagé de décorer ta peau, toi, Raphaël ? »


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Message Sujet: Re: Des courbes dans le sable   Des courbes dans le sable EmptyVen 15 Juil 2016 - 18:06

Tu sursautes. Son rire est clair, dénué de toute contenance, de toute appréhension, il cueille ton attention dans son entière simplicité. Tu l’écoutes comme une parenthèse glissée entre un premier et un second instant, ouverte dans l’espace comme une arabesque. Cette femme te semble l’exact enfant de Sinsarelle, tant elle épouse avec justesse le contour des ombres et des lueurs érebiennes ; et soudain tu comprends pourquoi elle n’est pas comme les femmes des bordels d’Euphoria, et pourquoi tu la peins elle. Durant cette insignifiante parenthèse, ton fusain sur la toile n’a pas cillé, et aucun stigmate de cette étrange excursion ne demeure, comme si ce rire n’avait jamais émoussé les ombres du salon. Tu reprends ton œuvre comme d’ordinaire, attentif comme un enfant à chacun de tes tracés. La réponse de Mélusine se perd dans l’entrelacs de sensations qui est ton quotidien.

Pour exposer plus commodément ses tatouages, la jeune femme quitte sa pose quelques secondes, te figeant instantanément dans un tracé inachevé. Tu redresses la tête, dépose le pinceau que tu avais saisi. Ton regard plus candide qu’un enfant suit curieusement la main de Mélusine, qui s’approche d’un tatouage, puis d’un autre, et ainsi de suite jusqu’à effleurer les dessins disposés autour de son nombril. Les explications qu’elle t’apporte s’entremêlent dans ton esprit comme des serpents maladroits, et si une grande rationalité émerge de chacun de ses tatouages, il demeure un mystère inéluctable que personne ne semble à même d’éclairer. Lorsque la jeune femme reprend sa pose délicate, tu ne parviens pas à te replonger immédiatement dans ton œuvre. Elle songera peut-être que tu es obnubilé par sa langueur sensuelle et ses courbes, mais ton regard ne s’arrête pas sur son corps. Tu te redresses sur ton tabouret, la toile étirée sur tes genoux.

Non, tu réponds soudain, comme si une idée fulgurante venait de traverser ton esprit. Je ne saurai pas quoi dire à moi-même, tu ajoutes en reportant ton attention sur Mélusine.

La toile choit de tes genoux. Un léger frottement accompagne sa chute sur le sol, comme une étoffe de soie déliée dans le vide. Tu t’es relevé, et tu époussettes maladroitement ton veston bleu, tout tâché de peinture et empêtré dans les pinceaux qui jaillissent de tes poches. Tu saisis la toile échappée avant de t’approcher de Mélusine, d’une démarche singulière, qui n’est pas tout à fait celle d’un homme, ni tout à fait celle d’une femme. À une distance raisonnable de la marquise, quelque peu surprise de ta brusque approche, tu lâches d’un air effronté :

Et pourquoi, toi, tu marques une pause, oui, toi, ne serais-tu pas seule ?

Tu fais écho aux paroles évoquant le tatouage cerclant son nombril, et ces quelques mots qui résonnent avec fulgurance dans ton esprit : Je ne suis jamais – jamais – vraiment seule. Tu observes Mélusine, et une franche incompréhension berce ton regard. Tout d’abord, elle te semble une femme malheureuse. Et puis, le portrait se nuance. Tu aimerais savoir que penser d’elle. Enfin, tu redresses la toile, et en désignant les ébauches de tatouages que tu as commencé à peindre tandis que Mélusine t’offrait le sens de chacun d’entre eux, tu lances :

Tu veux être assurément nue, ou non ?

Tu songes que les tatouages qui l’habillent masquent toute une part d’elle-même, et que sa beauté est alors amputée d’une certaine véracité, justesse. Cette femme t’intrigue dans ses efforts pour paraître et s’expliquer elle-même sur son corps, comme si elle ressentait la nécessité t’expliquer sa propre histoire sous peine de la perdre à jamais. Tandis que tu lâchais cette question abrupte, tu te détournais déjà pour récupérer ton petit tabouret de bois, et t’installer plus en avant de la large table sculptée. Tu songes que Mélusine est une femme-perspectives.
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Mélusine de Séverac
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Message Sujet: Re: Des courbes dans le sable   Des courbes dans le sable EmptyVen 2 Sep 2016 - 10:50


Des courbes dans le sable
Pour se lover entre les dunes
Raphaël & Mélusine • 13 juin 1001


Curieux petit homme. Ses réactions sont rafraîchissantes tant elles sont imprévisibles, et notre conversation décousue me fait sourire. Il y a trop peu d’êtres aussi affranchis des conventions, et je m’applique à répondre à ses questions, désireuse d’alimenter ses réflexions, curieuse de voir jusqu’où elles vont le mener. Il s’approche brusquement, et je cille à plusieurs reprises, déroutée par ce soudain mouvement. Sa question me fait sourire. Pourquoi, en vérité, ne suis-je jamais vraiment seule ?

La réponse la plus évidente concerne Rhéa de Sombreciel qui partage mes pensées, chuchote dans mon sang et observe chacun de mes moments d’éveil, partageant avec moi réflexions, souvenirs et conseils. Rhéa, la voix dans ma tête, l’esprit caché dans mon âme, devenue après plus de dix ans une amie si proche qu’elle connaît le moindre aspect de ma vie… Il y a Fantasme, aussi, cette dragonne un peu évaporée, à la logique sidérante et aux idées loufoques, mais tant éprise des étoiles et de l’horizon qu’elle fait vibrer mon cœur cielsombrois. Mais ça, bien sûr, je ne peux pas le dire à Raphaël : alors, je lui parle de cette troisième qui ne me quitte jamais vraiment. « Jamais seule, Raphaël, jamais : je porte en moi l’amour et la tendresse de ma jumelle, qui m’est tout aussi chère : nous sommes chacune l’extension de l’autre, tout en restant fort différentes par certains aspects. Elle est… Elle est moi, telle que j’aurais pu être ; et je suis celle qu’elle n’est pas devenue. Nous nous reflétons tout autant par la similitude de nos visages que par la différence de nos âmes, comprends-tu ? »

Il comprend sûrement, avec cet étrange esprit qui est le sien, et qui fonctionne si peu comme le reste de nous s’y attendrait. Un instant, je songe qu’il serait intéressant de voir un portrait de ma chère Mélisende et moi côte à côte sous son pinceau, pour voir s’il capterait en nous plutôt nos ressemblances ou nos divergences – il faudra que j’en parle à ma tendre sœur, cela ferait assurément un beau présent pour Mère, recluse sans nous entre les murs de Séverac.

Un sourire étire mes lèvres lorsqu’il me questionne sur ma nudité. Les tatouages sont une manière de me parer, c’est vrai ; une manière de me dérober derrière mille aspects juxtaposés, mais également un engagement, une promesse, et je pense qu’il faut être d’Erebor pour pleinement en saisir les nuances et les implications. « Je marque ma peau parce que ces tatouages appartiennent à la femme que je veux être. Ils font partie de moi, c’est le reflet de mon âme qui s’affiche sur ma peau, Raphaël. Ce n’est pas mon corps que je mets à nu, mais les secrets de mon esprit que j’écris à la vue du monde entier, pour peu que l’on sache les lire. » Qui saurait trouver Vespéral autour de mon nombril ? Il y est pourtant clairement visible, mais personne encore n’a su l’y découvrir. Un jour, peut-être… « J’ai mes mystères comme n’importe qui, sais-tu ? Il y en a certains que j’aime à promener sous les yeux des autres, cela dit. Une manière de dévoiler une part de moi, tout en restant secrète. Appelle ça une coquetterie de femme. Je ne suis pas cielsombroise pour rien : même si Erebor coule dans mes veines, j’ai été élevée à Séverac… » Et Séverac est connu en Sombreciel. Je ne sais pas si Raphaël est très au fait des potins mondains, et soudain une idée point dans mon esprit. « Toi, tu ne parles jamais de Virevent. Comment est-ce ? » Peins avec des mots le paysage de ton enfance, pour moi, Raphaël.


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