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La Cour des Miracles Agathe de Vigdir Messages : 3857 J'ai : 19 ans Je suis : morte. Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la cour des Miracles et Mélusine de Sylvamir.Mes autres visages: Astarté des Sables • Gabrielle de la Volte • Sifaï Sinhaj • Tancélie le Sustain | Sujet: Agathe Martel Mer 15 Mar 2017 - 15:04 | |
| Maître de mon destin Cour des Miracles
️️️️ Alaska |
Agathe
de Vigdir
ft. Elle Fanning
« Agathe partage un secret avec sa mère, Grâce de Séverac : une petite fiole opaque. Celle-ci lui permettrait d'étouffer une éventuelle grossesse, s'il advenait qu'elle s'abandonne enfin à son fiancé. » |
En bref
️️️️ Lemon Tart |
Âge : 19 ans Date et lieu de naissance : 21 novembre 984 , à Brumecor (Bellifère) Statut/profession : Apprentie voleuse du Charme, sous la tutelle de Mélusine de Sylvamir Allégeance : Cour des miracles ; Mélusine de Sylvamir Dieux tutélaires : Idril a bercé son enfance et une grande partie de son adolescence. C’est toutefois en prêtant serment à la cour des miracles qu’Agathe a appris à murmurer ses prières à Isil, la voleuse.
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Peureuse • Gourmande • Diligente • Futile • Coquette • Perspicace • Patiente • Indiscrète •Imaginative • Nerveuse • Attentive
Peureuse • Si les Bellifériens ont le Chêne comme emblème, tu n’en est que la feuille, petite pousse. À la moindre brise, tu trembles et menaces de t'étioler. C’est que la peur, dans ton ventre, gronde comme les dragons qui survolent le ciel de Faërie. À force de subir la colère incessante de ton père, à force de voir tes frères prendre des coups pour toi, tu en es venue à craindre ta propre ombre.
Gourmande • Tu l’ignores probablement, mais ta maman aussi serait prête à faire beaucoup pour une pâtisserie à la noisette. C’est un vice tout masculin, que tu crois, que de se faire charmer par l’estomac et les papilles. Une petite faiblesse, une honte que tu aimerais garder pour toi, mais tes yeux brillants devant les confiseries ne trompent pas.
Diligente • Lorsqu’on ordonne, tu t’exécutes, en digne Belifférienne que tu es. Si la peur fut la plus grande motivation de ton zèle, durant ta prime jeunesse, tu as appris qu’un travail bien exécuté et fait rapidement était gratifiant. Ton efficacité et ta discipline sont d’autant plus exacerbés par la présence de ton mentor, Mélusine de Sylvamir : pour la mère qu’elle représente, à tes yeux, tu ne souhaites pas la décevoir. Pour elle, tu désires exceller.
Futile • On te dit futile, naïve, peut-être, ou alors candide. Tu crois simplement qu’un titre définit la grandeur d’une personne, que le sexe fort n’est pas qu’une expression pour enjoliver la vulgarité masculine et que le sexe faible l’est littéralement. La petite pousse que tu es a grandi dans un univers où il était normal pour une femme de ne pas trop réfléchir et de s’arrêter aux futilités du monde. Tu n’y es pour rien, et déjà, la présence de Mélusine déteint sur toi pour ouvrir tes horizons. Le chemin sera laborieux, mais tu empruntes déjà la bonne voie.
Coquette • C’est qu’on ne t’a pas permise de l’être vraiment, à Bellifère. Sobriété et austérité furent tes compagnes de quotidien. Il faut dire que tu ne connaissais pas vraiment autre chose. Le Duc de Sombreciel fut le premier à te couvrir d’autant de dorure et de parures, de confiseries et de carnet aux reliures incroyables. Même si tu t’en es d’abord offusquée jusqu’à en rougir, il faut bien avouer qu’autant de joliesse t’a impressionnée. Sauf, peut-être, cette robe échancrée…
Perspicace • Malgré ta futilité, malgré ton imagination débordante, tu es une fille intelligente. À force d’observer les gens et d’être spectatrice de ta propre vie, tu as appris à déduire adroitement des maigres informations qu’on te fournissait. Ça te permet également d’apprendre plutôt rapidement ce que l’on t’apprend.
Patiente • Longtemps, tu as patienté que maman revienne. Ensuite, tu patientais que l’on t’enlève pour te soustraire à ton père difficile. Ta passivité imposée a fait de toi une jeune fille calme apte à affronter l’adversité. N’est-ce pas ce que l’on attend d’une jeune femme, après tout?
Indiscrète • Curieuse, tu l’es. Tu te préoccupes des gens autour de toi, tout comme tu te découvres des passions pour tout et n’importe quoi. Tu aimes apprendre, tu questionnes beaucoup. Le problème, Agathe, c’est que tu peines à garder ta langue. Parfois, tu te dis que c’est parce que tu es trop petite pour la grandeur du secret découvert; il t’excède, il déborde, et tu n’as pas d’autre choix que de te confier.
Imaginative • C’est une habitude que tu as depuis que tu es toute petite. Ta vie, si lisse, si prévisible, si réconfortante par sa monotonie, t’ennuyait quelque peu. Pour te divertir, tu t’amusais à imaginer les secrets des uns et des autres, par leur mimique, par les petits détails qu’ils laissaient derrière eux, sans le vouloir, sans le savoir. Qu’est-ce que tu t’en es racontée, comme histoire!... Mais encore aujourd’hui, il t’arrive de croire encore aux scénarios tantôt crédibles, tantôt fantasques que tu imagines.
Nerveuse • Ton père n’était pas un poète. La seule métaphore qu’il n’ait jamais faite à ton sujet est de t’associer à l’un de ces ridicules chiens de prairies parsemant les contrées bellifériennes. Aussi nerveuse qu’eux. Petite. Risible. Si l’insulte t’a blessée et a humidifié tes yeux, il n’en demeure pas moins qu’il n’avait pas tout à fait tort, ton papa. Le climat dans lequel tu as vécu t’a imposé une nervosité perpétuelle qui s’est avérée salvatrice, tout compte fait. C’est grâce à elle que tu es constamment aux aguets, ce qui n’est pas dénué d’utilité pour les cours particuliers que t’offre ton mentor.
Attentive • Pour les menus détails tout comme pour les êtres que tu aimes, tu te montres attentive. Si tu l’étais déjà à Brumecor, tu l’es d’autant plus depuis que tu as débuté ta formation. Tes nouvelles occupations t’imposent de l’être, et le Destin fait bien les choses : tu l’es deux fois plutôt qu’une!
| Caractère
️️️️ Mio |
Derrière l'écran Dans la vie, je m'appelle Mary et j'ai 32 ans. Sur le Net, on m'appelle plutôt Bibounette Skyfall. J'ai découvert le forum via Cora et voici ce que j'en pense : . Histoire «J’ai longtemps pensé que maman était la femme de ma vie. Que si j’étais assez gentille et docile, elle reviendrait et demanderait pardon. Que si je patientais assez longtemps pour qu’on vienne m’enlever et me marier, elle viendrait se réjouir de ma pureté. Évidemment que non! Sur toute la ligne : Évidemment que non!» Elle ne sait pas grand chose de sa naissance, Agathe. Une voisine a toutefois assisté sa jeune mère, lors de son troisième accouchement, et de cette voisine, Agathe a frôlé des sommets inégalés en indiscrétion. Quand? Il pleuvait? C’était la nuit? Maman a souffert? Qui c’est qui arrivé en premier? Pfeuh, je suis la plus petite, alors? Aubrée m’a aimée tout de suite? J’étais plus jolie qu’Arnaut? Une pluie incessante de questions pour une vieille dame un peu éreintée qui ne ne lui a offert que quelques bribes d’information. De ces confidences, la blondinette s’est fabriquée une image très romantique de sa venue au monde. Il pleuvait à boire debout, le soir de sa naissance. Grâce a dû travailler longtemps, jusqu’au matin du 21 novembre de l’an 984, pour enfin entendre Arnaut et Agathe pleurer de concert. C’est lorsqu’elle est née, précisément, que la pluie diluvienne s’est arrêtée pour laisser place à un éclat de soleil. Pendant longtemps, les jumeaux s’encourageaient mutuellement en ajoutant ici et là des détails afin de rendre leur arrivée plus vraie que nature. Ce n’est qu’un souvenir savamment fabriqué, certes, mais Agathe en est très fière et très attachée. Tout au long de son enfance et de son adolescence, la plus jeune des Martel a cru que si sa mère les avait quittés, la faute était uniquement sienne. Elle n’aurait peut-être pas dû naître, ce matin-là. Une bien vilaine surprise. Maman s’attendait sans doute à un fils vigoureux et la honte s’est abattue sur elle en voyant qu’elle avait une autre fille, encore, toute frêle et pâle. Elle ne s’est jamais confiée sur ce mal-être, si ce n’est à Arnaut, lorsqu’elle était petite et avant que l’adolescence ne complique leur relation. Elle a tout fait, la blondinette, pour se montrer irréprochable aux yeux de son père, de racheter sa faute originelle, de préserver ses frères des coups qui ponctuaient leur quotidien. Mais ce n’était jamais assez… La ressemblance avec Grâce Martel était là, sous les yeux du paternel, et la simple vision de l’une ou l’autre de ses filles était un affront. Être une gentille Belliférienne l’a rapprochée de ses frères qui ne manquaient pas l’occasion de prouver à leur père combien ils étaient protecteur envers la cadette. À force de discrétion, à force de subir la violence verbale de son père, elle y a cru, Agathe, à ce qu’on lui racontait, au sujet des femmes et de son propre rôle. Une vie calme, placide et lisse. Un ennui aliénant pour une fillette intelligente et imaginative comme la petite Agathe. Pour se divertir un peu, elle se permettait de se faire des histoires sur les gens qu’elle rencontrait. Une question pour toute chose. Elle récoltait les informations et les assemblaient en ragots croustillants comme d’autres jeunes filles créaient des broderies. À chacune de ces rumeurs colportées, un fil se rompait, entre les soeurs Martel. Si elles étaient fusionnelles tout le long de leur enfance, à concourir la plus jolie tresse ou se gaver de pâtisseries à leur anniversaire respectif, l’adolescence les a éloignées; l’aînée cherchant l'émancipation, la cadette s’effaçant dans le triste rôle qu’on lui avait choisi. Ce fut une enfance bercée dans la violence et la solitude. «J’ai visité des endroits incroyables. Des endroits où la neige est abondante, des endroits où les fêtes s’étirent jusqu’à l’aube dans une décadence totalement choquante, des endroits crasseux où même une autruche n’aimerait pas se cacher la tête. Je ne sais pas encore si j’apprécie ou non cette vie, car le calme de Bellifère et la sécurité que tu me portais me manquent, mais toute cette vie, à perte de vue, me rend plus curieuse que je ne l’aurais imaginé… Elle me coupe le souffle. Je crois que j’aimerais parler à Aubrée qui doit vivre les mêmes incertitudes que moi.» Elle était arrivée un bon soir, cette femme grande, blonde, majestueuse et impérieuse qui l’informa qu’elle quittait sur le champ la demeure familiale. Vite, avant qu’Ils ne reviennent. C’était sa maman. Aubrée semblait soulagée, alors qu’elle jetait elle-même un châle sur les épaules de sa cadette. Pour aller où…? C’était la question qu’elle désirait poser, la petite Agathe, mais les mots restaient coincés dans sa gorge ou sa poitrine. Elle ne savait plus trop. Désoeuvrée, la jeunette se laissa guider loin de tout ce qu’elle connaissait, des larmes plein les yeux et les poches vides de tous souvenirs. Ce n’était certes pas un mari, qui l’enlevait, ce soir là, mais n’était-elle pas une petite créature fragile et frêle, incapable de se défendre? Alors elle se laissa guider sans grande protestation jusqu’à ce qu’elle pose les pieds sur l’Audacia. La liberté qui entourait le bâtiment lui donna le vertige plutôt qu’une exaltation semblable à celle qui transcendait sa soeur. Discrète, elle se mêla bien peu à tous ces gens haut en couleur, préférant les observer de loin, intriguée bien malgré elle par tout ce qu’elle voyait, tout ce qu’elle n’avait jamais osé inventer, malgré son imagination débordante. Le voyage sur l’Audacia lui donna l’impression de retenir son souffle, et ce n’est qu’en Sombreciel, ironiquement, que la toute blonde retrouva la respiration et la voix. On disait tant de chose, au sujet du Duc, que leur première rencontre la figea tout à fait et la fit se draper encore plus étroitement dans sa pudeur et sa méfiance. Tout ce qu’il disait, ce grand Duc, tout ce qu’il lui offrait, tous les compliments, les sourires, complètement tout choqua Agathe. Gâtée, couverte de présents, invitée à une danse, puis une autre, parée de bijoux scandaleusement voyants et submergée de confiseries les plus exquises… La petite pousse se demandait régulièrement comment Aubrée faisait pour sembler si à l’aise, elle. C’est à force d’amusement, d’attentions et de patience que le Duc de Sombreciel fit se produire l’inconcevable: La plus jeune et la plus guindée des Martel en vint à démontrer un certain intérêt -du moins, partiellement et jamais, au grand jamais, de vive voix- pour la vie qu’on lui imposait dans ce duché de décadence et de douce folie. «La dame dont je suis la suivante est une grande Dame. Elle m’a offert quelque chose d’incroyable qui occupe tout à fait mes rares moments libres. Je suis la maman d’un hérisson aussi petit que la paume de ma main. Je l’ai nommé Hallebarde. À chaque fois que je l’appelle, je revois Brumecor et je pense à combien mon Arnaut me manque. Aussi, et peut-être m’en voudras-tu, l’idée d’associer une arme aussi destructrice à une si mignonne chose m’amuse beaucoup. Ne t’emporte pas… Hallebarde possède plusieurs piques qui blesseraient les prédateurs trop curieux!» Quelques petits mois et on présenta Agathe à celle qui serait sa mentor, la scandaleusement décadente Mélusine de Severac. Beaucoup trop intimidée pour refuser la grandeur de ce qu’on lui offrait, Agathe accepta sans hésitation de devenir son apprentie, sa petite ombre. Il y avait déjà plusieurs mois, qu’on l’avait enlevée à ses frères qu’elle aimait pourtant toujours autant, et même la plus réfractaire des Bellifériennes devait se rendre à l’évidence, tôt ou tard : C’était ça, sa vie, désormais. Suivante de la Marquise de Severac aux yeux de tous, apprentie voleuse du charme, pour la Cour des Miracles. Auprès de sa Marquise, on lui apprit à évoluer au sein des hautes sphères, on lui apprit à lire, à écrire, on lui apprit le monde et la vie, on la polit avec délicatesse afin qu’elle ne détonne pas trop dans ce nouveau monde qui lui ouvrait les bras. «C’est étrange, j’ai l’impression que ma place n’est nul part, maintenant. Je ne suis à l’aise ni auprès de la noblesse que je fréquente, ni en Bellifère qui m’a vue grandir. Me déraciner de Brumecor m’a déracinée du monde. » Le Tournois des Trois Opales l’avait fait réfléchir. Peut-être était-ce là les prémisses d’une prise de conscience? Les premiers pas dans la voie qui serait sienne? Retourner en Bellifère l’avait inquiétée sans qu’elle n’en parle ouvertement. Si son père la voyait ainsi parée, en misérable petite trainée, il la détesterait plus intensément encore. Et ses frères… La simple idée de croiser ses frères chéris et de leur déplaire par ce qu’elle était devenue la tourmentait assez pour lui faire perdre l'appétit. Si elle avait cru pleurer à chaude larmes pour retourner auprès des siens, en foulant le sol aride de Bellifère, il n’en fut rien. La nostalgie était immense, certes, et même les câlins les plus adorables du petit Arsène n’y changeait rien, mais elle n’était plus certaine de vouloir retourner à son ancienne vie. Ce qu’elle avait vu, lorsque Mélusine de Sylvamir lui avait enfin permis d’ouvrir les yeux, lui avait plu, malgré tout. Lorsque ses frères tentèrent de l’enlever, elle n’avait pas vraiment protesté. D’une part, il y avait la docilité qui avait bercé son enfance qui lui intimait de ne pas faire de vague, tout comme elle n’avait pas vraiment réagi lorsque sa mère était venue la chercher en secret. D’une autre part, il y avait la peur. Son père était mort. Pouvaient-ils lui faire du mal pour se venger? Arnaut n’oserait pas… Mais l’aîné, lui? Chavirée, endeuillée, la joliette peinait à trouver des mots pour comprendre la complexité de son trouble. Quelque part, là, dans son coeur, au plus profond d’elle-même, Agathe Martel ne retrouverait plus jamais sa Bellifère natale. Non pas parce que sa famille avait souffert, parce que le père, le pilier des Martel, celui qui l’avait malgré tout nourrie et laissée vivre n’était plus, mais bien parce qu’elle-même, la petite Agathe, la fragile et docile poupée, n’était plus la même. • Pendant le livre I : Élève perspicace et appliquée, elle apprend vite, Agathe Martel. D’un duché à un autre, elle suit Mélusine de Sylvamir jusqu’à ce fameux Tournoi des Trois Opales où elle sent, pour la première fois, son coeur battre de détresse pour celle qui l’a mise au monde. Avec le recul et loin de l’influence de son père et ses frères, la toute jeune Belliférienne commence peu à peu à remettre ses opinions en question. À se remettre en question. La vie qu’elle découvre la fascine de plus en plus, les gens qu’elle côtoie l’intriguent. Lentement, elle se permet de s’écouter, la jolie Agathe, afin de mieux comprendre ce qu’elle ressent et ce qu’elle désire. • Pendant le livre II : Ce fut une année chargée d'émotions pour la mignonne. Une année décisive dans sa vie : celle où elle est passée de grande enfant à jeune femme. Depuis Valkyrion jusqu'à Lorgol, elle s'est soumise peu à peu à la curiosité d'Idril, la Vierge, en acceptant les nouvelles rencontres, les situations incroyables et toutes les merveilles que la vie souhaitait bien lui offrir. Émerveillée, Agathe a pu rencontrer Malice, se lier d'amitié à une Outreventoise, se faire courtiser par un conteur reconnu et visiter le théâtre de la Cour des Miracles. Toutefois, le Destin est bien cruel, et devant tant d'innocence et d'enchantement, il a su compenser par le sang et les larmes. Lughnasad. Agathe a vécu une tragédie qui a hanté longtemps ses rêves et qui la fait trembler encore aujourd'hui. Devant les Sentinelles assassines, elle a vu Mélusine et Hiémain endosser les voiles des Pièces de la Rose. Elle a aidé, Agathe, ce soir là, elle a gardé leur secret dans son coeur. Elle a vaincu son angoisse, sa peur et sa nervosité pour aider cette organisation millénaire. Agathe ne regrette en rien et éprouve une certaine fierté à s'être montrée si brave, ce jour-là. D'autant plus que, grâce à cette force d'âme, elle fut introduite comme Épine. À ses dix-huit ans, Agathe se voit offrir par Mélusine et Hiémain de Sylvamir un domaine à la limite de leurs terres, en Valkyrion. Elle accepte alors de porter le nom de ces landes, désormais dame de Vigdir. Au-delà de ce présent incroyable qui lui assure un refuge, la jeunette perçoit ce geste comme un accueil officiel dans cette famille bien unique. Lorsqu'elle a appris que la Rose s'était sacrifiée pour amenuiser les dégâts de la Chasse Sauvage, Agathe a éprouvé une bien grande peine. Elle ne compte pas renoncer et aimerait bien aider de son mieux les Épines à se reconstruire. Le temps tissera peut-être une loyauté entre la Belliférienne et cette organisation qui renaît d'une tragédie. ▬ TRAME ALTERNÉE (Intrigue 2.3 La Roue Brisée) → Cadette des filles bâtardes d’Augustus d’Ibelène et d’une Compagne belliférienne, Agathe fut abandonnée dès la naissance, à l’instar de sa sœur qu’elle n’a jamais connue. Toute petite, déjà, elle s’est tournée vers l'alchimie, plus particulièrement la science des poisons. Pupille d’un alchimiste de talent, elle a trouvé refuge auprès de lui, à Roc-Épine, où elle apprend depuis quelques années déjà à distiller les célèbres Mortessence et Mortesprit. Agathe Martel s’est réveillée le 19 avril et c’est la peur, qui l’a accueillie. Terrorisée par cet endroit qu’elle ne connaissait pas, horrifiée par le manque total de repère, la blondinette peinait à respirer, tant l’angoisse était grande. C’est Melbren qui a su la réconforter et la protéger, soulagé de ne plus être le seul à percevoir l’illusion. Ensemble, ils ont rejoint Lorgol et son camp de réfugiés. → Agathe a accepté de se souvenir. Malgré la peur et les pleurs, elle désire se souvenir de la gentillesse de Melbren et qu’elle est capable, en dépit de ses craintes, d’affronter l’adversité. • Pendant le livre III : Ce fut une année pleine de bons sentiments, pour Agathe. Dès le début de l’an 1003, elle accepte la demande de fiançailles de Lancelot et convient, avec lui, de patienter la fin de son apprentissage à la Cour des Miracles pour s’unir à lui. La jeunette se réconcilie avec Grâce, sa mère, à qui elle demande même quelques conseils. Son avancée en tant qu’apprentie se poursuit, et elle s’efforce de mettre en pratique les enseignements de Mélusine et les conseils de Césaire et Merle. Chronologie • 21 novembre 984 : Naissance à Brumecor, en Bellifère • 4 mars 1001 : Enlèvement par Grâce de Sombregemme • Avril - Juin 1001 : Séjour en Sombreciel auprès du duc Castiel • 9 juin 1001 : Présentation à Mélusine et serment prêté à la Cour des Miracles • 16 juin 1001 : Hallebarde est adopté • 14 - 20 septembre 1001 : Tournoi des Trois Opales - Agathe voit sa mère combattre et tremble pour elle. Ses frères tentent de l’enlever et échoue. Son père y perd la vie. • Hiver 1001-1002 : Séjour à Sylvamir lors de la grossesse de Mélusine • Mai 1002 : Lors de la Roue Brisée, Agathe quitte Roc-Épine pour Lorgol, en compagnie de Melbren • Août 1002 : Recrutée comme Épines suite à ses actes lors de la fête de Lughnasadh • 21 novembre 1002 : Agathe se fait offrir le domaine de Vigdir-des-Sorbets et en devient la dame • 26 novembre 1002 : Mission « Leste main sur haute cambriole », Tyr mène un petit groupe de Voleurs au sein de l'Académie. Agathe se trouve parmi eux et parvient à ne faire aucun faux pas, devant le Second des Ombres. • 6 février 1003 : Agathe a assisté au mariage de Castiel de Sombreflamme à Alméïde d'Erebor, et s'est fiancée à Lancelot l'Adroit. • 28 mars 1003 : Agathe assiste au couronnement d'Octave. Elle comprend qu’il est ce barde lorgois qu’elle aimait tant. • 15 mai 1003 : Hallebarde est papa de Conquête, Fléau, Espérance et Clémence. • 20 juillet 1003 : Sa mère Grâce épouse Melsant de Séverac en sa présence. • 28 juillet 1003 : Agathe assiste à l’invasion de momies qui frappe Automnal. Questions Les dieux majeurs ont visiblement déserté le Panthéon. Es-tu croyant ? Qu'est-ce que cette disparition implique pour toi ?• Elle n'est pas la plus dévouée des fidèles, Agathe. Toute petite, déjà, elle a tôt fait de comprendre qu'il valait mieux se méfier de la cruauté et de la violence des hommes plutôt que du courroux des dieux. Depuis le départ des dieux majeurs, Agathe n'a pas perdu sa pureté, protégée d'Idril, et bénéficie encore du regard d'Isil. Elle continue de prier les dieux déesses, inquiète de la disparition des autres dieux, certes, mais non pas anéantie de ce silence. La Chasse Sauvage est libérée et arpente librement le continent. Qu'est-ce que cela t'inspire ?• De la peur. De l'épouvante. Lorsque Mélusine lui a raconté ce que signifiait la Chasse Sauvage et la vulnérabilité des victimes, Agathe a retrouvé ce même sentiment de terreur que lorsque ses frères lui narraient des récits d'horreur, le soir venu. Sauf que cette fois-ci, c'est vrai. Elle a des économies, Agathe, et elle compte bien les utiliser pour endormir sa petite famille, si le besoin se fait pressant. Que penses-tu de Lorgol, la ville aux Mille Tours ? Est-ce que tu t'y promènes sereinement ou est-ce que la capitale des peuples libres t'oppresse ? • La toute jeune Belliférienne a appris à apprivoiser cette ville en perpétuelle mouvement et la considère peu à peu comme sa demeure. Depuis son premier passage, à son premier été de liberté, Agathe s'est forgée des souvenirs dans l'enceinte de la Ville aux Mille Tours. Des amitiés y sont nées, une romance s'est tissée, une famille auprès des enfants des Miracles s'est créée. Si elle évite encore de traîner dans les rues lorsque le soir arrive et si elle accepte volontiers une escorte lors de ses sorties, ce n'est pas par crainte de Lorgol, mais bien par peur qu'on l'enlève pour Bellifère. Mais ça... Agathe n'est pas prête à l'avouer haut et fort. - Livre II:
La guerre est déclarée en Arven, les troupes de Faërie ont lancé la première attaque et pour l'instant, l'Empire de la Magie a le dessus. Que penses-tu de cette situation ? Penses-tu que la guerre est légitime ou au contraire qu'elle n'a pas lieu d'être ? • Avant… Avant, elle aurait dit que la magie avait quelque chose de.. Malfaisant. Qu’ils étaient bien mais dangereux que les hommes la combattent. Mais depuis qu’elle est la petite ombre mignonne de Mélusine de Sylvamir, elle ne sait plus trop, Agathe. Son éducation lui rappelle que le savoir supplante en tout point la magie. Elle lui fait peur, la magie. Du moins, elle lui faisait peur. Maintenant, elle l’intrigue un peu plus à chaque démonstration. Mages et savants foulent les pavés de la cour des Miracles sans discrimination. N’a-t-elle pas prêté serment?
Les pirates écument les mers d'Arven depuis des siècles, épris de liberté. Ils pillent les côtes et volent les bonnes gens du continent. Quel est ton avis sur ces femmes et hommes des flots ? • Ils vont venir l’enlever pour la manger, ou encore pire! C’était ce que lui disait son frère aîné, lorsqu’Agathe l’embêtait avec ses questions incessantes. La vérité n’est peut-être pas si loin de là. Lors de sa fuite improvisée et forcée, elle les a rencontrés, sur l’Audacia. Ils font peur, les pirates, oui, mais il y a quelque chose d'intrigant, à les voir vivre et agir comme si le monde leur appartenait. Peu importe la fascination qu’ils exercent auprès Belliférienne, ils n’en demeurent pas moins dangereux, vulgaires, tatoués et passablement choquants. Sa nature peureuse et nerveuse lui dicte de s’en tenir loin. Très loin!
Que penses-tu de Lorgol, la ville aux Mille Tours ? Est-ce que tu t'y promènes sereinement ou est-ce que la capitale des peuples libres t'oppresse ? • Elle lui fait peur, cette ville. Une ville haute à en cacher le ciel, une ville pleine de dédales et de mystères. Lorsqu’elle s’y rend, Agathe suit son mentor aux pas par crainte de se perdre et se trouve si aux aguets devant chaque personne croisée que chacune des visites l’épuise. Malgré tout, malgré cette crainte de grandeur, Agathe se demande secrètement quand sera sa prochaine visite.
- Livre III:
La Chasse Sauvage est libérée et arpente librement le continent. Qu'est-ce que cela t'inspire ? • De la peur. De l'épouvante. Lorsque Mélusine lui a raconté ce que signifiait la Chasse Sauvage et la vulnérabilité des victimes, Agathe a retrouvé ce même sentiment de terreur que lorsque ses frères lui narraient des récits d'horreur, le soir venu. Sauf que cette fois-ci, c'est vrai. Elle a des économies, Agathe, et elle compte bien les utiliser pour endormir sa petite famille, si le besoin se fait pressant.
Une trêve hivernale a été déclarée entre Ibélène et Faërie. Comment ton personnage voit-il la guerre entre les deux empires ? • Lorsque Agathe a appris la nouvelle de la trêve, elle s'est empressée de serrer le petit Meldred contre son coeur afin de lui murmurer un souhait : celui que la trêve se transforme en paix, et que cette même paix berce son enfance. Elle n'est pas crédule, elle sait bien qu'il ne s'agit que d'un battement de coeur avant que la guerre ne revienne déchirer ses amis et blesser ceux qu'elle aime. La blondinette s'efforce de ne pas penser au retour de la guerre, déjà prévue, et de profiter de ce moment de repos pour pleurer les pertes et son Empereur tombé.
Que penses-tu de Lorgol, la ville aux Mille Tours ? Est-ce que tu t'y promènes sereinement ou est-ce que la capitale des peuples libres t'oppresse ? • La toute jeune Belliférienne a appris à apprivoiser cette ville en perpétuelle mouvement et la considère peu à peu comme sa demeure. Depuis son premier passage, à son premier été de liberté, Agathe s'est forgée des souvenirs dans l'enceinte de la Ville aux Mille Tours. Des amitiés y sont nées, une romance s'est tissée, une famille auprès des enfants des Miracles s'est créée. Si elle évite encore de traîner dans les rues lorsque le soir arrive et si elle accepte volontiers une escorte lors de ses sorties, ce n'est pas par crainte de Lorgol, mais bien par peur qu'on l'enlève pour Bellifère. Mais ça... Agathe n'est pas prête à l'avouer haut et fort.
Maman dis-moi pourquoi Agathe de Vigdir & Grâce de Séverac 18 mars 1002 Hallebarde somnolait sur ses genoux, tout le temps qu’elle tentait de trouver les mots justes pour cette lettre. Il y a un an, seulement, elle ne se serait pas embarrassée de jolis mots pour ménager son destinataire. Il y a un an, Agathe aurait eu bien du mal à rédiger la plus simple des lettres, il fallait dire. Si l’idée d’aborder un faux prétexte pour appâter sa mère l’avait hantée bien longtemps, la jeune fille avait renoncé en cours de route. Elle était une enfant de Bellifère, quoi qu’en montre les parures qui ornaient son cou et ses oreilles nouvellement percées. Elle se devait d’être franche, le plus possible. Cela dit… Elle n’était pas tout à fait prête à assumer son inquiétude pour Grâce de Sombregemme. Pour Grâce Martel. Il y avait eu des attaques, il y avait eu des batailles, et la fille espérait que la mère se porte bien, malgré leur relation ..difficile. C’était tôt, un matin, qu’elle avait eu l’illumination : Il était d’une vérité absolue que l’anniversaire de sa sœur approchait à grand pas. Rien ne lui semblait ridicule dans cette requête. Malgré les attaques qu’avaient probablement subies sa mère, une requête pour planifier un anniversaire ne détonnait pas vraiment aux yeux de la petite demoiselle. Grâce,
Aubrée aura un âge important, un âge de jeune femme. Je crois qu’elle serait heureuse que nous ayons de petites attentions pour elle. Je ne sais plus ce qu’elle aime, depuis la nouvelle vie qu’elle s’est choisie. Pourrais-tu m’aider à aimer un peu mieux ma grande sœur?
Agathe
J’espère que vous vous portez bien, Corail et toi.
La grande enfant questionna le hérisson endormi, du regard. Aucune réaction. Vilain Hallebarde. Une moue incertaine au minois, elle avait néanmoins envoyé la lettre avec ces misérables dix mots trahissant son inquiétude réelle et sa motivation première. La réponse n’avait pas tardé. Agathe s’était empressée de demander pâtisseries, confiseries, tout ce qu’elle aimait vraiment, pour s’arrêter, hébétée et chavirée, devant l’angoisse et la fébrilité qui l’habitaient à la simple idée de voir sa mère en tête à tête. De ses caprices gustatifs, on s’en était amusé et on avait cédé. Être la pupille de Mélusine avait probablement quelques bénéfices, dont celui-là. La voltigeuse était arrivée quelques jours plus tard sous une poudrerie fine. À chaque tempête, depuis le début de mars, on s’entêtait à faire croire à la blondinette qu’il s’agissait de la dernière. Et elle, crédule, acquiesçait avec plein d’espoir jusqu’à la prochaine chute de neige. - Grâce…Ses joues n’étaient déjà plus aussi rondes, sa taille s’affinait. Agathe Martel était une jeune femme en devenir, à n’en point douter. Elle avait hésité longtemps sur sa tenue, sur ses parures, d’une part ne voulant pas être une vilaine fille coquette et lui déplaire, de l’autre, ne voulant pas être une gamine Belliférienne et lui déplaire encore plus. Misère. La blondinette avait opté pour une robe chaude et sobre qui cachait la moindre parcelle de sa peau -sans doute la préférée de l’adolescente prude qu’elle était-, mais avait tout de même pris soin de couvrir ses jolis doigts de bagues qu’on lui avait si généreusement offertes, à son passage en Sombreciel. De son mieux, un peu maladroitement et sans le moindre mot, elle s’efforçait de montrer à sa mère qu’elle avait changé au moins un tantinet. Qu’il n’y avait plus de raison de la détester, maintenant. Tant d’effort, tant de minutie, tant de stratégie; il aurait probablement fallu être devin pour comprendre réellement ce message subtil. Devant tous ses efforts, Agathe ne se reconnaissait même pas. Ne la détestait-elle pas, cette mère absente? Un peu. Peut-être. Elle ne savait plus. - J’ai demandé des pâtisseries et de la confiture de châtaigne, et il y a une infusion chaude, pour te réchauffer. OH! Et.. Ton voyage était agréable?Elle avait accompagné la grande dame, la voltigeuse de renom, la salvatrice d’enfants perdus autour d’une petite table confortable, dans la pièce qui lui servait de lieu d’études lors des visites de ses précepteurs. Le hérisson s’était trouvé une place de choix non de loin de l’âtre et ses épines luisaient joliment à la lueur des flammes, semblable à des lances miniatures. Agathe sentait la nervosité la gagner de plus en plus, alors que Grâce Martel pénétrait son refuge. - Tu.. Vous… Près de la cheminée, ce serait mieux. Avec ce froid… Je ne pensais pas qu’il pouvait faire si froid, dans ce monde. Je…Parler, parler, parler. Babillage. Futilité. Tout pour meubler un possible silence qui l’effrayait au plus haut point. Agathe se posa néanmoins devant sa mère sous une posture soignée et droite, quoiqu’un peu crispée par la nervosité; déjà, les efforts de Mélusine portaient fruit et la petite avait affiné ses manières. Elle prit soin de verser un peu d’infusion dans une tasse large, à l’intention de sa mère, puis s’était servie, elle aussi, en dernier. Ses prunelles claires se posèrent enfin sur Grâce pour l’ausculter avec attention. Un mélange étrange de rancœur farouche, de curiosité et de tiède affection lui enserrait la poitrine. N'était-elle pas trop petite pour subir autant de sentiments à la fois?
Récapitulatif Agathe de Vigdir Mise à jour des registres et bottins Elle Fanning Compte principal : Non Groupes secondaires : La noblesse / La Cour des Miracles
Noblesse : Dame / Vigdir-des-Sorbets / Valkyrion Hiérarchie : Cour des Miracles / Apprentie Affiliation : Épine
Dernière édition par Agathe de Vigdir le Mer 19 Déc 2018 - 20:24, édité 41 fois |
| | | Les Voltigeurs Grâce de Séverac Messages : 5649 J'ai : 39 ans Je suis : Voltigeuse, major de la division d'Est d'Erebor, sigisbée de la cour d'Erebor, dame de Sombregemme, marquise d'Automnal Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Anthim, duc d'EreborMes autres visages: Astrée Aubétoile, Tristan d'Amar | | | | La Cour des Miracles Agathe de Vigdir Messages : 3857 J'ai : 19 ans Je suis : morte. Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la cour des Miracles et Mélusine de Sylvamir.Mes autres visages: Astarté des Sables • Gabrielle de la Volte • Sifaï Sinhaj • Tancélie le Sustain | | | | La Cour des Miracles • Admin Mélusine de Séverac Messages : 5858 J'ai : 34 ans Je suis : marquise de Sinsarelle, dame de Séverac, Voleuse de la Cour des Miracles Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Cour des MiraclesMes autres visages: Quitterie ♦ Ljöta ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade ♦ Chasteté | | | | La Noblesse Denys du Lierre-Réal Messages : 6155 J'ai : 34 ans Je suis : le duc de Lagrance, marquis du Lierre-Réal Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Lagrance avant tout, à l'Ordre du Jugement et dans une moindre mesure à l'empire de FaërieMes autres visages: Hiémain ◊ Anthim ◊ Rackham ◊ Shahryar ◊ Nicolas | | | | | Sujet: Re: Agathe Martel Mer 15 Mar 2017 - 16:50 | |
| Tu es faible !! x3 Bienvenue avec ce nouveau perso en tout cas, j'espère que tu vas t'amuser avec ce perso. |
| | | La Noblesse • Admin Alméïde de Sombreflamme Messages : 17441 J'ai : 33 ans Je suis : dame de Sombreciel et médecin Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Castiel, duc de Sombreciel, mon époux ; l'empire d'IbélèneMes autres visages: Ilse, Liselotte, Teagan | | | | La Noblesse Maximilien de Séverac Messages : 357 J'ai : 56 ans Je suis : Premier Conseiller du Duc Castiel de Sombreflamme, ancien régent de Sombreciel, Comte de Séverac. Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Castiel de Sombreflamme et à IbélèneMes autres visages: Mayeul de Vifesprit - Arsène Albe | | | | La Noblesse Liam d'Outrevent Messages : 1199 J'ai : 34 ans Je suis : Duc d'Outrevent, Seigneur des Marches d'Argent Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : L'Empereur Gustave de FaërieMes autres visages: Maelys Aigrépine, Tyr Parle-d'Or | | | | La Cour des Miracles Agathe de Vigdir Messages : 3857 J'ai : 19 ans Je suis : morte. Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la cour des Miracles et Mélusine de Sylvamir.Mes autres visages: Astarté des Sables • Gabrielle de la Volte • Sifaï Sinhaj • Tancélie le Sustain | | | | La Confrérie Noire Aubrée de Sombregemme Messages : 2266 J'ai : 21 ans Je suis : Apprentie Assassin de la Lame Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Grâce de Séverac et à la Confrérie NoireMes autres visages: Rhapsodie & Octave | | | | | | | | Les Chevaucheurs Lionel de Rivepierre Messages : 894 J'ai : 35 ans Je suis : Capitaine du Vol d'Outrevent, mage de l'Été (destruction) et comte de Rivepierre. Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Liam d'OutreventMes autres visages: Castiel • Louis • Octavius • Maelenn • Matvei • Hermine | | | | La Noblesse Séverine de Bellifère Messages : 2138 J'ai : 27 ans Je suis : duchesse de Bellifère, autrefois astronome à l'Observatoire de Val-du-Ciel, mon observatoire. Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Martial de BellifèreMes autres visages: Marjolaine du Lierre-Réal & Lancelot l'Adroit & Liry Mac Lir & Anwar Sinhaj & Antonin de Faërie | Sujet: Re: Agathe Martel Jeu 16 Mar 2017 - 12:46 | |
| Oh une Agathe! Eh bien! BON CHOIX! Re-bienvenue et bon courage pour ta fiche! |
| | | | Sujet: Re: Agathe Martel Sam 18 Mar 2017 - 8:26 | |
| Coucou Fifille ! Ta fiche est vraiment bien, tu as magnifiquement cerné Agathe ! Je voudrais juste que tu fasses un petit ajout sur son enlèvement raté par ses frères durant le Tournoi, suite à l'assassinat de son père (je ne pense pas qu'elle sache que sa mère est impliquée) ! Ça a du la marquer la petite ! Et peut-être dire ce que ça lui fait de revenir en Bellifère |
| | | | | | | La Cour des Miracles Agathe de Vigdir Messages : 3857 J'ai : 19 ans Je suis : morte. Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la cour des Miracles et Mélusine de Sylvamir.Mes autres visages: Astarté des Sables • Gabrielle de la Volte • Sifaï Sinhaj • Tancélie le Sustain | Sujet: Re: Agathe Martel Sam 18 Mar 2017 - 23:32 | |
| Merci à tous pour vos gentils mots, ça fait toujours chaud au coeur! J'ai ajouté deux petits paragraphes pour expliquer comment Agathe se sent face à son enlèvement et la mort de son papounet. Je me suis avancée pour parler de son trouble de retourner à Brumecor, et je me permets donc de situer Agathe un peu plus dans la voie qu'elle choisira. Je ne sais pas si c'est trop tôt, selon vous, ou si c'est bien comme ça. Dans tout les cas, merci tout plein pour votre lecture et vos commentaires! Oh! Et j'ai mis des séparateurs pour épargner vos yeux. Chercher dans un texte dense, ça tue! Édit : Après lecture des commentaires pour Raphaël, j'ai vu que je n'avais pas crédité la bonne personne pour l'icône. Voilà chose faite. |
| | | Les Chevaucheurs Tristan d'Amar Messages : 4809 J'ai : 33 ans Je suis : Capitaine de Vol de l'Escadron de Chevaucheurs de Lagrance
Marquis d'Amar Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Fluctuante. S'il était fidèle à l'impératrice, il l'est nettement moins à l'empereur, bien qu'il se soit éloigné de Chimène de son vivant, par son attitude envers les mages du Sang. Il est malgré tout toujours fidèle à son duc, à son duché, et à Faërie.Mes autres visages: Grâce de Sombregemme | Sujet: Re: Agathe Martel Mar 21 Mar 2017 - 9:38 | |
| Je lis tout ça dès ce soir Désolée, j'ai pas pu m'en occuper en rentrant hier soir |
| | | | | | | Les Voltigeurs Grâce de Séverac Messages : 5649 J'ai : 39 ans Je suis : Voltigeuse, major de la division d'Est d'Erebor, sigisbée de la cour d'Erebor, dame de Sombregemme, marquise d'Automnal Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Anthim, duc d'EreborMes autres visages: Astrée Aubétoile, Tristan d'Amar | Sujet: Re: Agathe Martel Mer 22 Mar 2017 - 10:54 | |
| Ibélène • Cour des Miracles Bienvenue ! Agathe Martel Me revoilà fifille !
Désolée pour l'attente, tu pourras aller tirer une carte supplémentaire pour elle
C'est parfait, tu as vraiment magnifiquement cerné Agathe, je suis ravie de te voir la jouer et j'ai hâte de voir son évolution déjà bien exprimée dans ta fiche Tu peux aller tirer tes deux cartes de validation et une troisième pour l'excellence de ta fiche !
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| | | Les Chevaucheurs Tristan d'Amar Messages : 4809 J'ai : 33 ans Je suis : Capitaine de Vol de l'Escadron de Chevaucheurs de Lagrance
Marquis d'Amar Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Fluctuante. S'il était fidèle à l'impératrice, il l'est nettement moins à l'empereur, bien qu'il se soit éloigné de Chimène de son vivant, par son attitude envers les mages du Sang. Il est malgré tout toujours fidèle à son duc, à son duché, et à Faërie.Mes autres visages: Grâce de Sombregemme | Sujet: Re: Agathe Martel Ven 8 Déc 2017 - 21:31 | |
| Il faut que tu changes son nom dans ta fiche (et dans le récap pour les registres en bas), si elle prend celui de Vigdir, son âge (elle a 18 ans), et son groupe (elle n'est plus du peuple), fifille ! À part ça, c'est tout bon |
| | | La Cour des Miracles Agathe de Vigdir Messages : 3857 J'ai : 19 ans Je suis : morte. Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la cour des Miracles et Mélusine de Sylvamir.Mes autres visages: Astarté des Sables • Gabrielle de la Volte • Sifaï Sinhaj • Tancélie le Sustain | Sujet: Re: Agathe Martel Sam 9 Déc 2017 - 1:20 | |
| Je pense que c'est bon. Je ne fais plus partie de cette plèbe galeuse et odorante. Merci pour les rappels! |
| | | Les Chevaucheurs Tristan d'Amar Messages : 4809 J'ai : 33 ans Je suis : Capitaine de Vol de l'Escadron de Chevaucheurs de Lagrance
Marquis d'Amar Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Fluctuante. S'il était fidèle à l'impératrice, il l'est nettement moins à l'empereur, bien qu'il se soit éloigné de Chimène de son vivant, par son attitude envers les mages du Sang. Il est malgré tout toujours fidèle à son duc, à son duché, et à Faërie.Mes autres visages: Grâce de Sombregemme | Sujet: Re: Agathe Martel Sam 9 Déc 2017 - 10:55 | |
| Validation Livre III
C'est tout bon, deux cartes communes de validation ! |
| | | La Noblesse Séverine de Bellifère Messages : 2138 J'ai : 27 ans Je suis : duchesse de Bellifère, autrefois astronome à l'Observatoire de Val-du-Ciel, mon observatoire. Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Martial de BellifèreMes autres visages: Marjolaine du Lierre-Réal & Lancelot l'Adroit & Liry Mac Lir & Anwar Sinhaj & Antonin de Faërie | Sujet: Re: Agathe Martel Mer 19 Déc 2018 - 22:57 | |
| Validation Livre IV
C'est tout bon, deux cartes communes de validation ! |
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