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| Sujet: Solveig de Sovnheim Jeu 18 Mai 2017 - 5:05 | |
| [Irisiam] présente Solveig de Sovnheim Natalie Dormer « La vie ce n'est pas d'attendre que les orages passent, c'est d'apprendre à danser sous la pluie. » Bornée • Joviale • Désinvolte • Honnête • Susceptible • Avare • Habile • Autonome • Combative • Solitaire • Joueuse |
LUX AETERNA |
Elle ne connait pas très bien la honte la guerrière. Mais depuis peu, alors qu'elle s’entraîne à manier l'épée de sa main gauche, une insidieuse gêne la pousse à se cacher des autres. Jamais le rouge n'est autant monté aussi haut sur ses joues. Elle qui à une réputation à tenir ne supporte que très peu de redevenir une novice avec cette main si maladroite
Love | Âge : 33 ans Date et lieu de naissance : 27 novembre 969 à Vatr (Valkyrion) Statut/profession :Skjaldmö, ex membre de la guilde des guerriers, ex pirate Allégeance : Hjalden d’Evalkyr l'empire ibéen. Dieux tutélaires : Née sous Aldor, elle garde certaines de ses prières pour Kern et Vigdis. Groupe principal : Les Hérauts du Renouveau Groupes secondaires : Guerriers / Peuple
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Les chants populaires ont plusieurs thèmes privilégiés. L'alcool, les femmes, la guerre. Chantés par les ivrognes ou lors de fêtes un peu trop arrosées, elles sont de façon générale acceptées avec philosophie et bonhomie, même par les Kyréens. Sauf par la petite Solveig comprenant trop vite et trop jeune que certaines paroles chuchotées étaient à destination de sa maman lorsqu'elles s'aventurait dehors. Rien de festif, seulement un détournement insultant . Cramponnée à sa main, la fillette hésitait autant dans ses réactions que dans ses actions. Elle aurait voulu s’interposer, ses petites mains sur ses hanches et préserver sa maman de ce type d'affronts tout en mourant d'envie de pleurer. Malgré cette petite tempête intérieure il lui était tout aussi important de lever son regard sur le visage aimé, apeurée d'y voir de la souffrance et des larmes. Avait elle entendue ? Était elle triste ? Impossible d'en juger, sa démarche restait souple et à portée de celle de son enfant, le visage apaisé et sobre tout en gardant ses doigts solidement dans sa main, sans altérer en la pression. Ragnhild n'était pas une femme faible. Pas forte non plus. Quelques insultes proférées sur son passage par des adolescents et jeunes adultes n'étaient rien comparées à l’indifférence froide ou la réprobation silencieuse et glaciale de leurs aînés.
Son crime avait été de succomber à un homme en dehors des liens du mariage. Elle était devenue la catin de Vatr. Solveig était née, fruit d'un sacrifice à la hauteur d'une vie. Pour sa fille, Ragnhild fit le deuil de sa réputation, de son héritage, de sa famille. Mais pas de l'amour. Sa fille, son joyau, le sang de son sang, chair de sa chair, os de ses os. L'élever avait été un défis, coupée de sa famille et de leur aide, il lui avait fallu compter sur ses seules ressources. Principalement ses muscles à vrai dire. Le fruit de ses chasses avaient finis par porter ses fruits. La vente de la viande et du cuir avait eu raison de ceux qui refusaient tout commerce avec elle. Le produit était bon, le prix plus bas, de mauvaise grâce ils avaient accepté son commerce. Avec ses économies elle avait pu finalement acheter quelques moutons et la maigre maisonnée qu'elle louait difficilement.
« Maman »
Un sourire, un regard. L'enfant et sa mère s'en allèrent, chez elles.
Ragnhild avant d'être la honte familial en avait été la fierté. Trois frères, seule femme, sa propre mère fit d'elle une Skjaldmö. Guerrière d'élite, brillante en société, elle aurait pu trouver un mari idéal et fonder un foyer digne de ce nom. Mais un homme, un Belliférien, était rentré dans sa vie le temps d'une soirée pour s'en aller comme il était venu. Son tempérament guerrier fut transmis à sa fille comme le voulait la tradition. Au moins une de respectée se disait elle.
Du petit bouclier de bois rond pour enfant et de la simple branche, Solveig était passée progressivement à un armement maison héritage du passé de sa propre mère, toujours modeste mais plus lourd. Plus dangereux. Le caractère brûlant de l'enfant et ses prédispositions pour le maniement des armes avaient encouragé sa mère à l'amener sur la voix de l'épée. Le temps était passé, la fillette devint une jeune fille. Avec des muscles fins mais aussi un sens de la répartie à terrasser un Kyreen au crépuscule de sa vie. Ses cheveux blonds aux reflets d'argents encadraient des yeux bleus toujours un peu trop grands pour son visage mais un sourire rêveur faisant oublier les disgrâces de l'adolescence. Cette vie paisible mais recluse aurait pu continuer ainsi, indéfinitivement.
Vous le sentez venir le mais ? Il arrive. A ses vingt ans ce fut Ragnhild qui poussa Solveig à s'en aller. Cette vie de solitude était un gâchis, il était temps que sa fille découvre le monde, sorte de cet isolement qui était sa punition à elle et elle seule. Solveig devait partir, devenir plus indépendante que ce que pouvait lui promettre Valkyrion. S'arracher au froid, aux tempêtes, vivre sa vie pleinement. N'était elle pas prête ? Tout son art lui était transmis, il ne servait à rien de continuer à maltraiter des mannequins de bois.
•••••
« Tu as triché femme. »
C'était faux bien sûr. Comment voulez vous tricher quand vous pariez pouvoir planter votre couteau à saucisson entre chacun de vos doigts sans en perdre un. Sans se formaliser Solveig se contenta de tendre la main pour récupérer son dû. Il lui avait fallu plusieurs mois pour arriver à Lorgol. A cheval. Avec pour seule expérience la chevauchée d'un renne lorsqu'elle était gamine en Valkyrion. Si elle savait monté une grosse vache duveteuse avec des bois, ce n'était quand même pas un cheval qui allait l'arrêter. Son postérieur n'était toujours pas d'accord avec elle, mais actuellement sa seule préoccupation était de récupérer la dernière clé de cette auberge miteuse qu'elle venait de gagner dans un duel tout à fait honnête. Malheureusement cet homme n'avait pas l'air de son avis. Empoignant les bords de la table avec des grognements menaçants, il se leva de son banc, histoire de lui montrer qui était le patron. Sol ne fit pas mine de l'imiter. Non seulement elle n'était pas impressionnée mais elle perdait patience. Son attitude n'était pas au goût de son camarade de jeu, une main se détacha du bois pour prendre du recule. Le rustre l'envoya de toute ses forces vers la gamine présomptueuse qui se contenta de rentrer sa tête entre ses épaules en abandonnant son banc. Toujours le couteau à la main et à genoux sous la table, elle fit ce qui lui paru le plus logique et le moins fatiguant. Elle empala le pied de ce malandrin sans le moindre remord. Un cris tonitruant résonna dans les locaux mais Sol ne l'entendait pas. Seule la clé qu'il venait de lâcher résonna a ses oreilles. La récupérant prestement, elle se jeta dans la foule, un sourire satisfait aux lèvres, plaquant sa capuche sur ses cheveux. Il était temps qu'elle disparaisse le temps qu'on foute ce crétin à la porte.
Se mêler a la foule était un jeu d'enfant. Ne pas se perdre était beaucoup plus compliqué. Elle avait cru comprendre qu'elle se situait à mi chemin entre la Ville Basse et Haute. Profitant d'une ruelle, elle s'engouffra prestement le temps de reprendre son souffle et de lever un peu les yeux sur les tours qui se profilaient dans le ciel. Plus que cette petite course, elle avait la sensation que c'était la ville qui lui coupait le souffle. Adieu grandes étendues de neiges, habitations basses et uniformes. L'odeur de la glace, du froid gelant l'air respiré par les poumons. Lorgol était faite en hauteur et dégageait une odeur plus chaude et acre. Cela faisait plus d'un mois qu'elle était partie mais le dépaysement restait une actualité mordante. Une mains s’abattit sur son épaule provocant en même temps chez elle une panique sans nom. Sans réfléchir, elle ramena son sac de voyage conte elle pour s'en servir comme d'un bouclier et attrapa le majeur qui dépassait sur son épaule non sans pivoter vers l'inconnu. La prise se resserra, l'homme ayant deviné ses attentions belliqueuses.
« Calme toi gamine, je ne vais pas dénoncer ton petit coup d'éclat. Et retire cette main de mon doigt, si tu le casses c'est toi que je casserais en deux. »
Toujours méfiante, Solveig relâcha progressivement sa prise.
« C'est mieux. Dis moi, est ce que tu sais te servir d'une épée ? »
Les plus romantiques d'entre vous se diront qu'enfin elle venait de rencontrer la guilde des guerriers et que cet homme, subjugué par sa maîtrise du couteau à saucisson allait en faire une apprentie. Non. On ne fait pas d'une femme une apprentie parce qu'elle est passée sous une table.
« Tu as compris, si tu bas ce garçon, je gagne une semaine de boissons gratuites. Mes compagnons sont deux Bellifériens de souche vois tu, ils ont parié qu'une femme de son age ne pourrait pas le mettre au sol autrement que par... bon. C'est un coup de chance de croiser une gamine de ton genre, tu peux gagner. »
Entraînée par ce guerrier jovial, Sol s'était détendue, plus amusée qu’apeurée.
« Qu'est ce que j'y gagne moi ? »
Un coup d'oeil vers la fille fit sourire le barbu.
« Tu manques pas d'air, je te fais rentrer dans un lieu qu'en général les femmes ne voient jamais. Sauf pour balayer. Ou cuisiner. C'est pas suffisant ? Non ? Bon qu'est ce qui t’intéresserait. »
C'était pas très difficile a deviner. La jeune fille lorgnait le pommeau du guerrier avec intérêt. L'arme avait l'air de bonne facture. Coûteuse et lourde, trop lourde pour elle, mais les négociations ne faisaient que commencer.
« Une arme de bonne facture que je puisse manier. »
Elle repensa quelques secondes à la clé qui se balançait dans sa poche.
« Et un jour ou deux logée et nourrie histoire de pouvoir retourner dans cette taverne sans que l'autre m'attende. »
Un rire gras accueillit ses demandes.
« Tu manques pas d'air mais allons y, de toute façon va falloir gagner pour mériter tout ça. »
De son large épaule il fit pivoter une porte solide. La partie de la ville qu'ils avaient traversé était toute aussi animée mais changeait de style et de badauds. Plus soigneux, moins pressés. Le bâtiment dans lequel ils entrèrent était moins luxueux, plus fonctionnel que le style de la Haute Ville, mais robuste et chaque écussons, armes, boucliers et bannières valaient son petit pesant d'or.
« Allez viens, on va te trouver une épée. Hey machin. Appelle les deux autres, j'ai trouvé ma championne. »
Un garçon d'a peu près son age, pris le temps de la dévisager avant de tourner les talons, chercher les « deux autres »
« Il n'a pas l'air ravi de prendre part à votre jeu. »
Farfouillant dans un râtelier d'arme disposé prêt d'un escalier, le guerrier lui coula un coup d’œil.
« Je ne le serais pas non plus. Prendre le risque de perdre face à une femme quand deux Bellifériens s'attendent à te voir lui mettre une raclée, c'est pas très rentable comme histoire. Mais vu qu'il n'a pas le choix et que moi, ça m'amuse... Tient essaye moi ça. »
Lui fourrant une épée longue mais plus fine et légère que la sienne, Solveig la soupesa.
« Vise les parties basses ma fille. Et sa cuisse gauche, cet apprentie a été blessé il y a plusieurs semaines. Fais de ton mieux, j'ai pas envie de leur devoir le double de ce tu peux me rapporter. »
L'épée était parfaite dans la paume de la demoiselle. Le maniement des boucliers l'avait musclé, elle ne craignait pas le poids de l'arme. En revanche elle ne s'était jamais vraiment battue contre quelqu'un d'autre que sa mère. Le guerrier se retourna une dernière fois vers elle. La guidant dans un couloir il débouchèrent dans une salle d’entraînement où l'attendait deux guerriers en armure et le jeune apprenti aperçu en rentrant.
« Je m'appelle Alrik de Sovnheim. Vise les roubignoles ma fille, vise ces putains de roubignoles et cette jambe gauche. Tu m'as l'air assez agile pour y arriver ».
Sur ce dernier chuchotement, Solveig jeta un unique regard aux deux nouveaux qui la dévisageaient d'un œil réprobateur. Pas le temps pour eux. Jetant son sac contre un mur, elle se débarrassa de son manteau pour ne garder qu'un chemiser en cuir fin confectionné par sa mère. Une protection relative. Gardant son épée à la main elle se contenta de regarder son adversaire. Elle était fermement décidée à attendre la première attaque. Qui ne tarda pas.
La passe d'arme fut brève mais rude. Le garçon avait l'air décidé de l'abattre par la force. Son poignet était douloureux, Solveig se décida à reculer le voyant de nouveau foncer sur elle. Ces mouvements se répétèrent, encore et encore laissant place aux rires des spectateurs. En confiance et désormais certain de gagner l'apprenti leva une nouvelle fois son arme et se jeta sur elle. Solveig était prête. S'effaçant, elle se glissa dans son dos lorsqu'il la dépassa emporté par son élan et lui asséna un violant coup de talon dans l'arrière de la cuisse gauche. Son adversaire alla s'écraser au sol et s’assomma comme un demeuré contre un banc. Persuadé qu'il rencontrerait de nouveau une résistance il n'avait pas pris la peine de prendre en compte la règle des distances.
Se retournant vers les trois hommes, elle adressa un petit sourire à Alrik qui jubilait dans sa barbe.
« Pas foufou ce combat, j'ai même pas eu à attaquer avec ça. »
Crâneuse.
Les jours passèrent et ne se ressemblèrent pas. Solveig devint à son tour une apprentie. Elle était beaucoup trop douée et drôle pour qu'on la laisse partir jugeait Alrik. Merci Alrik.
•••••
Pour certains vieillir est une peur ancrée au plus profond d'eux. Mais pour d'autres, vieillir est une chance inespérée. Surtout quand votre métier est de trouer la peau des autres pour servir ceux qui ont le moyen de payer. Cela fait un peu plus de dix ans que Solveig a intégré la guilde des guerriers. Après avoir terminé son apprentissage elle a finalement délaissé la pratique du bouclier pour se concentrer sur la pratique de l'épée à une main. Son épée d'apprenti a désormais été remplacé. Une armure légère à aussi été commandée sur mesure pour la demoiselle. Aux yeux de beaucoup de ses camarades, cela fait longtemps qu'elle n'est plus considérée comme une vrai femme. Elle est un peu comme la fougère que l'on met dans son hall d'entré. Toujours là, un peu réconfortante, jolie à regarder mais qu'on n'essaye pas de cueillir. Les assiduités du départ se sont taries, les doigts cassés aussi.
Aujourd'hui la jeune femme prépare son paquetage. Peut être que si elle se rend aux cuisines elle réussira à avoir une ration supplémentaire... Un marchand l'attend sur le quai de la Ville Basse. Elle estime qu'elle a encore du temps devant elle, de toute façon il n'osera pas partir sans elle. Il a payé assez cher pour se faire accompagner par un véritable guerrier de la guilde. Elle se demande simplement quelle tête il fera quand il comprendra que c'est une femme qui tiendra ce rôle. Certains, déconcertés, finissent simplement par hausser les épaules. D'autres prennent leur respiration pour exprimer à quel point ils sont scandalisés avant de relativiser presque par magie. Oui Solveig est un peu magicienne à sa façon aussi.
Un petit sourire aux lèvres et elle s'en va, comme à son habitude après avoir salué deux ou trois personnes. La ville est devenue sa seconde maison, l'odeur et la température ne la dérangent plus tant que ça même si la rudesse de Valkyrion continue à lui manquer ponctuellement. Mais le port de Lorgol à quelque chose de plus que ceux de son duché d'origine. Plus vivant. Plus dangereux aussi. Quelques marins, quelques marchands. Quelques poignées de mains, des regards en coins, beaucoup de cris. Sur le port, elle trouve enfin le Poulet des mers. Un véritable petit coin douillet pour vomir un soir son salaire. Elle passe la porte resserrant sa prise sur son sac, coincé sur son épaule droite. Elle ne tarde pas a trouver le marchand qui l'attend patiemment, une plume et le contrat disposés devant lui.
Sans se faire prier, elle alla tout droit sur lui et s’asseya en face. Un peu d'embonpoint, des épaules et des mains larges, un sourire franc mais une calvitie un peu moite. Un marchand tout ce qu'il y avait de plus marchand. L'indécision pouvait tout de même se lire sur son visage. Autant se présenter.
« Je suis votre guerrier. Solveig de Sovnheim. Je peux ? »
Avec le temps elle avait finis par adopter le nom de son mentor qui le lui avait offert avec une discrétion inhabituelle pour lui. Pointant du doigt le contrat, elle se pencha dessus sans plus tarder, ignorant avec superbe quel genre d'expression il pouvait afficher. Les termes et la prime n'avaient rien de transcendants mais bon. C'était acceptable. De mauvaise grâce, elle attrapa la plume, prête à signer. Elle était un peu fatiguée de renouveler mission après mission le même schéma. Ne pas être acceptée par tous, devoir faire ses preuves, prendre des risques et revenir pour un salaire un peu décevant pour les efforts engagés. Ce fut un gloussement qui stoppa sa main. Un homme se tenait derrière elle, lisant les clauses par dessus son épaule.
« Nous on paye plus. Et on a du rhum. Oh regarde, ce n'est même pas une vivenef. »
Lâchant la plume, elle tendit la main que l'homme attrapa par réflexe.
« Adjugé. »
L'homme la regardait les sourcils levés, ne sachant pas trop quoi dire de plus devant cette embauche imprévue. Tant pis pour lui, fallait pas se vanter. Plus légère, retrouvant le frisson qu'elle avait éprouvé les premières années de son engagement dans la guilde, elle reprenait du plaisir à se lancer de nouveau dans l'inconnu. Une vivenef ! Soulagée d'abandonner une mission qui allait lui peser, elle se tourna vers le marchand qui ne comprenait plus grand chose.
« C'est le plus offrant. Vous pouvez retourner à la guilde pour vous plaindre on vous trouvera autre chose. » « Mais vous êtes consciente que cet homme est un pirate notoire ? Qu'est ce que je dois dire a votre guilde moi ? »
« Ah bon ? » Son nouvel employeur acquiesça.
« Ah ba oui. Pourquoi pas après tout. Bon ba dites leur que je viens de changer de profession. »
• Pendant le livre II : Les pirates ? Elle a tenu environs six mois. Peut être aurait ce été plus si elle n'avait pas entraîné Géralt et Vira avec elle à Lughnasadh. L'attaque terroriste qui a touché son duché d'origine l'a secoué suffisamment pour qu'elle décide de rejoindre le front et d'enfin assumer ses obligations de Skjaldmö. Et pour mieux marquer le coup, c'est celui de Bellifère/Outrevent qu'elle a intégré. Avant d'en être sortie en novembre par Ljöta elle même.
- Spoiler:
Es-tu serein à l'idée d'altérer le passé, ou est-ce que cette perspective t'inquiète ? • C'est absolument terrifiant. L'idée de recoudre les braies d'un éventuel époux, de finir planteuse de poireaux ou de se découvrir élue meilleure couturière de l'année ne l'enchante guère.
Décris ta vie alternative dans la trame temporelle alternée de ce chapitre, 2.3 La Roue Brisée. • Son "père" serait resté une journée de plus. Puis une autre. Et finalement aurait épousé sa mère. Elle aurait reçu une éducation stricte et aurait finalement finis par étudier la vie passionnante des Yaks et la répercussion de la reproduction massive des hermines sur leur territoire au sein de l'Académie avant d'en devenir une grande spécialiste reconnue dans tout l'empire. Courtisée assidûment par un autre savant, elle serait sur le point d'accepter le mariage. Une vie pleine de passion quoi...
Que penses-tu de Lorgol, la ville aux Mille Tours ? Est-ce que tu t'y promènes sereinement ou est-ce que la capitale des peuples libres t'oppresse ? • C'est devenu sa seconde maison, c'est avec naturel qu'elle arpente ses rues. La Chasse Sauvage est libérée et arpente librement le continent. Qu'est-ce que cela t'inspire ?• Un sourd sentiment de danger bien qu'elle n'a pas assisté à leur sortie remarqué, elle en a suffisamment entendu parler pour savoir qu'elle même n'est pas à l'abris sous son armure et avec son épée. Une trêve hivernale a été déclarée entre Ibélène et Faërie. Comment ton personnage voit-il la guerre entre les deux empires ?• Dans son for intérieur c'est un soulagement. Tellement de vies perdues, tellement de mise à mort vécues et revécues en rêves. Le moral des soldats devait être au plus bas avec l'annonce de la Chasse sauvage parcourant Arven. Et d'autant plus avec la mort officielle de l'empereur. Elle était donc nécessaire du point de vue de Solveig. Mais elle estime qu'elle ne durera pas et qu'elle reprendra, plus sauvage que jamais. Que penses-tu de Lorgol, la ville aux Mille Tours ? Est-ce que tu t'y promènes sereinement ou est-ce que la capitale des peuples libres t'oppresse ? • C'est devenu sa seconde maison, c'est avec naturel qu'elle arpente ses rues. Dans la vie, je m'appelle Adèle et j'ai 22 ans. J'ai découvert le forum via Abigaïl et voici ce que j'en pense : c'est cosy dit donc.. Pour les inventés : Je ne vous autorise pas. Récapitulatif Solveig de Sovnheim Mise à jour des registres et bottins Natalie Dormer Compte principal : Oui
Hiérarchie : Skjaldmö / guerrière
Dernière édition par Solveig de Sovnheim le Ven 8 Déc 2017 - 10:30, édité 37 fois |
| | | Les Voltigeurs • Admin Rejwaïde Sinhaj Messages : 530 J'ai : 30 ans Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : l'Ordre du Jugement, et Anthim, sultan d'EreborMes autres visages: Mélusine ♦ Quitterie ♦ Chasteté ♦ Ljöta ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade | Sujet: Re: Solveig de Sovnheim Jeu 18 Mai 2017 - 5:17 | |
| Bienvenue en Arven, Solveig ! J'espère que tu te plairas parmi nous J'ai hâte de découvrir ton personnage ! Pense à aller demander un parrain, tu as un mois pour terminer ta fiche, en nous tenant informées chaque semaine de ta progression ! N'hésite pas à poster en section Demandes et Questions en cas de besoin. Bon courage pour ta fiche ! |
| | | Les Voltigeurs Grâce de Séverac Messages : 5649 J'ai : 39 ans Je suis : Voltigeuse, major de la division d'Est d'Erebor, sigisbée de la cour d'Erebor, dame de Sombregemme, marquise d'Automnal Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Anthim, duc d'EreborMes autres visages: Astrée Aubétoile, Tristan d'Amar | Sujet: Re: Solveig de Sovnheim Jeu 18 Mai 2017 - 5:22 | |
| Bienvenue Solveig J'ai hâte d'en savoir davantage sur ton personnage ! Et de te voir jouer parmi nous |
| | | | Sujet: Re: Solveig de Sovnheim Jeu 18 Mai 2017 - 5:24 | |
| OH mais que faites vous encore debout DAMN ! Je m'attendais pas du tout à ça En tout cas merci beaucoup pour votre accueil ! |
| | | Les Voltigeurs • Admin Rejwaïde Sinhaj Messages : 530 J'ai : 30 ans Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : l'Ordre du Jugement, et Anthim, sultan d'EreborMes autres visages: Mélusine ♦ Quitterie ♦ Chasteté ♦ Ljöta ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade | | | | | | | | La Cour des Miracles • Admin Mélusine de Séverac Messages : 5858 J'ai : 34 ans Je suis : marquise de Sinsarelle, dame de Séverac, Voleuse de la Cour des Miracles Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : la Cour des MiraclesMes autres visages: Quitterie ♦ Ljöta ♦ Rejwaïde ♦ Faustine ♦ Pénélope ♦ Shéhérazade ♦ Chasteté | Sujet: Re: Solveig de Sovnheim Jeu 18 Mai 2017 - 5:33 | |
| Il me semblait bien avoir reconnu les bases du personnage dont elle m'avait parlé. Mon oreiller m'appelle, bonne nuit quand tu iras ! |
| | | | Sujet: Re: Solveig de Sovnheim Jeu 18 Mai 2017 - 5:36 | |
| Oh '-' JE LUI AVAIS POURTANT DIS QUE JE N’ÉTAIS PAS CERTAINE DE VENIR. Elle a beaucoup trop confiance en moi c'est fou ça. Hein Didi. Bonne nuit ! Je vais continuer ma fiche moi ! |
| | | Les Chevaucheurs Lionel de Rivepierre Messages : 894 J'ai : 35 ans Je suis : Capitaine du Vol d'Outrevent, mage de l'Été (destruction) et comte de Rivepierre. Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Liam d'OutreventMes autres visages: Castiel • Louis • Octavius • Maelenn • Matvei • Hermine | Sujet: Re: Solveig de Sovnheim Jeu 18 Mai 2017 - 5:54 | |
| Bienvenue ici, Solveig Au plaisir de découvrir ce personnage ! Mon pirate est plus que ravi ! Et Abigaïl, petite, tu ramènes des gens, c'est bien |
| | | | | | | | | | | La Confrérie Noire Aubrée de Sombregemme Messages : 2266 J'ai : 21 ans Je suis : Apprentie Assassin de la Lame Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Grâce de Séverac et à la Confrérie NoireMes autres visages: Rhapsodie & Octave | | | | | | | | Le Pavillon Noir • Modo Géralt d'Orsang Messages : 10987 J'ai : 28 ans Je suis : chirurgien à bord de l'Audacia et baron d'Orsang Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Philippe Jedidiah, ma familleMes autres visages: Melbren de Séverac | | | | | | | | | | | | | | | | Les Guerriers Serenus Dardalion Messages : 1267 J'ai : 36 ans Je suis : Guerrier a l'antenne de la Volte. Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : La Guilde des GuerriersMes autres visages: | | | | La Noblesse • Admin Alméïde de Sombreflamme Messages : 17441 J'ai : 33 ans Je suis : dame de Sombreciel et médecin Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Castiel, duc de Sombreciel, mon époux ; l'empire d'IbélèneMes autres visages: Ilse, Liselotte, Teagan | | | | Peuple Astarté des Sables Messages : 2640 J'ai : 27 ans Je suis : gitane et joaillière Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Mélusine, marquise de Sinsarelle, et Anthim, Roi des Gitans et duc d’EreborMes autres visages: Agathe de Vigdir • Gabrielle de la Volte • Sifaï Sinhaj • Tancélie le Sustain | | | | | Sujet: Re: Solveig de Sovnheim Jeu 18 Mai 2017 - 13:58 | |
| Merci à tous c'est très gentil Je vais m'armer de courage promis ! @Abi: Pfrrr bien entendu qu'on va de nouveau rp ensemble. |
| | | | | | | La Noblesse Denys du Lierre-Réal Messages : 6155 J'ai : 34 ans Je suis : le duc de Lagrance, marquis du Lierre-Réal Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Lagrance avant tout, à l'Ordre du Jugement et dans une moindre mesure à l'empire de FaërieMes autres visages: Hiémain ◊ Anthim ◊ Rackham ◊ Shahryar ◊ Nicolas | | | | | | | | La Noblesse Marjolaine du Lierre-Réal Messages : 984 J'ai : 28 ans Je suis : duchesse de Lagrance Feuille de personnageJ'ai fait allégeance à : Denys, mon épouxMes autres visages: Séverine de Bellifère, Lancelot l'Adroit, Liry Mac Lir, Anwar Sinhaj et Antonin de Faërie | | | | | | | | |
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