| La Ville Haute recèle les Tours les plus somptueuses et vibre au rythme des bien nés et des mieux nantis. Elle donne sur le port commerçant qui frémit d'activité à toute heure de la journée. C'est du côté de la Ville Haute que se situe l'Académie de Magie et du Savoir, à plusieurs kilomètres des remparts toutefois : on la voit au loin, depuis le chemin de ronde.
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| | La Ville Basse est parsemée de canaux et donne directement sur le port des pirates. C'est le repaire de la Cour des Miracles et de la Confrérie Noire, il peut être dangereux de s'y aventurer seul à la nuit tombée. La Milice de Lorgol n'ose pas trop s'y rendre, la prudence est donc de mise : sauf si vous êtes l'un de ses enfants, bien sûr. Lorgol connaît les siens, et les habitants des Tours délabrées y sont chez eux en tout sécurité.
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| | La Cour des Miracles a vu le jour quand Lorgol a été bâtie. Située dans la Ville Basse, on y accède par un chemin pavé tenu secret, ou par un canal enchanté qu’on ne peut emprunter que si l’on sait déjà où il se trouve. Ses pavés ont été ensorcelés : seul un Voleur peut y pénétrer de sa propre initiative, les étrangers tels que les éventuels apprentis ou les visiteurs occasionnels ne peuvent entrer dans la Cour que guidés par un Voleur.
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| | Cylindre massif intégralement noir, sans entrée visible, la Tour de la Confrérie règne sur un quartier mal famé de la Ville Basse. Seuls les Assassins en connaissent les entrées et elle est reliée à un dédale de souterrains également utilisés par les Voleurs.
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| | Propriété de Freyja de Brunante, cette taverne qui sent bon la piraterie et l'abordage est un havre de paix. Protégée par la Cour des Miracles, c'est un lieu prospère, repaire central pour les activités des Voleurs et des Espions - on murmure également que des agents de la Rose Écarlate s'y rencontrent parfois.
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| | Intrigue 2.3 - Trame Alternative. Situé à l'extérieur des limites de la ville, il a été installé par celles et ceux qui s'éveillaient dans une réalité qui n'était pas la leur. À mesure que les jours s'écoulaient, ils étaient de plus en plus nombreux à investir le terrain et à monter des tentes, dans l'espoir de retrouver leur propre vie.
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